Honda VFR 1200 DCT, deux embrayages. Une Révolution !
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Honda VFR 1200 DCT, deux embrayages. Une Révolution !
Honda VFR 1200 DCT, deux embrayages. Une Révolution !
24 ans après la première VFR 1200, Honda présentait au monde fin 2009 son nouveau messie… la VFR 1200 F 2010.
Et à l’occasion de sa commercialisation, qui a démarrée le 28 mai (tarif : 16 290 euros), nous revenons vers elle. Le premier constructeur mondial l’a en effet dotée (en option) d’une technologie encore inconnue, dont les conclusions pourraient bousculer les habitudes des constructeurs pour les prochaines années à venir…
Cette avancée se résume en trois lettres : DCT (Dual Clutch Transmission). L’idée ? La transmission, c’est-à-dire le passage des vitesses, repose sur deux embrayages. Un intérêt particulier ? Juste une petite Révolution !
Avec son système DCT, Honda annonce des avancés significatives en terme de fluidité dans le passage des rapports, d’où une consommation de carburant réduite et une courbe de puissance bien plus régulière. De prime abord, on se demande par quel miracle cela est possible. Explications.
Grâce à deux embrayages, Honda dissocie les vitesses paires (2, 4 et 6) des vitesses impaires (1, 3, 5) au travers de deux « demi-boites ». Ainsi, lorsqu’une vitesse est en fonctionnement, les vitesses supérieure et inférieure (situées dans l’autre demi-boite donc) sont déjà pré-engagées. Le passage des rapports est beaucoup plus doux et de surcroît piloté électroniquement par une ECU (Engine Control Unit) ; ce qui nous amène au second point…
L’absence de levier d’embrayage et de pédale de vitesse… In-envisageable pour les plus conventionnels d’entre-vous, une aubaine pour les mous du doigt ! C’est en cela que le système DCT s’annonce comme révolutionnaire. Par souci de commodité, la VRF 1200 offre cependant deux types de passages de vitesse.
Une transmission manuelle classique (MT) utilisant deux gâchettes à la manière d’un guidon de vélo et une transmission automatique (AT) où tout est entièrement automatisé. Et pour s’adapter à des styles de conduite différents (comprenez pour « pousser les rapports »), le système AT offre deux comportements : S pour Sport et D pour… « Soft » ? Spécificité du mode MT lors du freinage, les vitesses sont rétrogradées automatiquement, de quoi éviter les rugissements moteurs inutiles…
Tellement révolutionnaire, cette nouveauté souffrira – au début seulement ? – de contestations. Une boîte automatique, bien que présente sur certaines voitures, était encore impensable il y a peu sur une moto grande série. Honda l’a fait à la manière d’un cataclysme et entend bien protéger cet avantage concurrentiel… La course aux brevets a déjà commencé !
HONDA VFR 1200 DTC (Le repaire des motards)
Source
Essai Honda VFR 1200 DTC Automatique
L'âme automatique
Décevante en boîte traditionnelle, il semble que la VFR 1200 à double embrayage prend toute sa mesure avec la sélection automatique. Dans cette livrée, la machine est plus que convaincante.
C'est toujours déroutant de changer ses habitudes. Pas de levier d'embrayage, pas plus que de sélecteur. Pas question pour la VFR de proposer de faire comme si. Quand Honda décide de passer à l'automatique, ce n'est pas pour vendre un shifter. Alors on fait comme en voiture, on démarre et on passe le « manche » en mode Drive. Là, il s'agit d'un simple bouton enfoncé par le pouce qui verrouille son action en témoignant d'un D sur le cadran à cristaux liquides du tableau de bord. En route donc.
Le pied gauche ne sait plus à quoi il sert. Il hésite à se poser sur le repose pied, bouge encore par habitude. Mais le conditionnement s'évapore très vite, à mesure que l'oreille du pilote est surprise par les bruits mécaniques subits plus que voulus. La main douce, les rapports se succèdent à l'approche des 2,500 tr/min. Une, deux, puis trois, la mécanique semble empruntée aux bavaroises qui font « klonk » à chaque changement de rapport. Et puis plus de bruit. Comme sur un tapis volant, les quatre, cinq et six passent comme des fleurs livrées à grande vitesse, toujours à 2,500 tr/min, avec l'incroyable audace de croiser à 65 km/h en sixième.
Un autre moteur
C'est sur cette plage d'utilisation que la VFR « normale » se montrait un peu creuse, soit avant les 4,000 tr/min. Là, avec la boîte automatique, le moteur n'a pas changé, mais la douceur du mode modifie les attentes du pilote en matière de déplacement. On ne cherche plus l'attaque ou encore la rage d'un V4, mais la fluidité. Si l'on jouait avec le pot d'échappement qui modifiait sa sonorité à 3,500 tr/min, libérant quelques décibels à ce pallier, on ne chevauche plus la même machine. Ce qui marque d'emblée, c'est la position très symétrique que permet l'absence de geste à fournir. Le pied gauche ne servant plus à rien, il se plaque contre le cadre de la machine, comme un vulgaire pied droit. De fait, le pilote sent de manière plus perceptible la partie-cycle qui le transporte.
Très vite, on se fait à cette nouvelle boîte de vitesses, douce dans ses rétrogradages, volontaire dans ses remises de gaz, virile lorsque les nécessités du trafic l'imposent. En mode D, la VFR préfèrera un style coulé qui correspond parfaitement aux autoroutes ou grandes voies rapides, aux trajets urbains où le rapide passage des rapports se révèle très reposant pour le pilote comme pour son environnement.
Mode S réussi
Pour ce qui est des trajets plus sportifs de type départementales ou nationales viroleuses, c'est le mode S pour « sport » qui semble le plus adapté. Et pas seulement pour attaquer. Là, les rapports passent aux frontières des 5,000 tr/min. C'est 1,000 tr/min plus haut que le vilain creux du V4 et à peu près à mi-régime. Il faut évidemment prendre le risque de croiser à 145 km/h pour passer la six, ce qui n'est pas une obligation.
A tout moment, que le mode choisi soit D ou S, une gâchette située à l'index gauche/pouce gauche permet de tomber ou de passer un rapport, sa symétrique, index droit, permettra de réenclencher le mode initial, sachant que la gâchette séquentielle garde la priorité sur tout autre mode.
Revenu en mode S, le vrai visage mécanique de la VFR peut s'exprimer. Il se révèle plus agréable et aussi très adapté à un usage routier et même coulé pour qui n'aime pas modifier l'assiette de sa machine en prenant trop souvent les freins. Le fait d'être systématiquement au-delà des 5,000 tr/min, permet, à l'approche d'un virage où l'on décide de rendre les gaz, de passer un rapport en dessous. Ce rétrogradage procure la sensation réelle de tirer la roue arrière vers l'arrière de la machine. Une modification de la répartition des masses qui facilite le placement sur l'angle. Toujours à plus de 5,000 tr/min, le moteur n'aura pas de mal à aider le pilote à extraire la machine de sa courbe en délivrant ce qu'il faut de puissance. Et ainsi de suite si la route a été bien choisie.
Défauts de jeunesse
Car il faut bien composer avec une machine lourde de 277 kg, que le système de boîte automatique a fait grossir d'environ 10 kg sur la balance. En dynamique, la différence n'est pas flagrante. En tout cas pas handicapante pour préférer l'une plus que l'autre. Ce qui peut faire pencher la balance des plus rétifs au progrès, ceux qui auront l'impression d'avoir un scooter déguisé en moto plutôt que le dernier cri de la technologie, réside sur quelques mises au point.
D'abord, les trois premiers rapports sont un peu bruyants. Ensuite, comme d'autres motos qui ne sont pas équipées de boîtes automatiques, la VFR 1200 a tendance à hoqueter lorsque le moteur n'est pas en charge, notamment en ville et en mode D où le moteur hésite à faible allure. La solution du mode S ou de la gâchette séquentielle peut très vite y remédier. C'est ce même mode qui pourra retirer de l'esprit la crainte de rétrograder en première juste avant une épingle en ville et de repartir sur des oeufs plutôt qu'en léger sous-régime, les jours de pluie. Ce n'est jamais très naturel en effet de passer le premier rapport, ce que la boîte automatique se permet. Pour le faire, il faudra d'abord se familiariser avec la quantité inhabituelle de fonctions dévolues à la main gauche.
On ne sait plus quel doigt pour quoi. Le pouce gauche est mis à rude épreuve et klaxonne tantôt qu'il devrait actionner les clignotants, passe un rapport alors qu'il voulait faire un appel de phare, au-dessus des feux de détresse. L'habitude devrait venir à bout de ces désagréments.
Un réel progrès
Pour la philosophie générale de la machine, on hésite un peu. Très routière sur le papier avec sa cylindrée de 1,237 cm3, son cardan et sa boîte automatique à l'image pépère, la VFR 1200 n'est pas comparable à une Yamaha FJR 1300.
On la vit plus sportive, notamment avec cette boîte de vitesses qui ôte de l'esprit l'intendance de l'embrayage et du sélecteur. Dès lors, l'esprit plus libre, le pilote peut ne se concentrer que sur le prochain virage, la nouvelle courbe à embrasser. Sa jambe gauche ne vient plus contrarier l'équilibre de la machine par des mouvements parasites. Ce n'est pas une moto GP mais on est assurément en communion avec le châssis de cette motomatique dont l'étagement du mode S est particulièrement réussi pour un usage enlevé. A l'attaque, le mode séquentiel est redoutable de rapidité. On découvre véritablement, et dans le confort d'un selle de routière, une nouvelle façon de faire de la moto avec une boîte automatique que l'on aimerait bien voir équiper les plus incisives des parties cycles. A l'image de l'ABS qui a fait son apparition sur les CBR.
Conclusion
Honda a peut-être commis une erreur en présentant d'abord la VFR en mode traditionnel. Malmené dans sa présentation en boîte mécanique, le vrai visage de cette machine est bien celui du mode automatique. Si la 1200 a fait changer de catégorie la lignée VFR, c'est assurément cette nouvelle philosophie qui peut tirer le modèle vers le haut. Si le système reste perfectible en terme de bruit pour les trois premiers rapports, il est très convaincant à l'usage, et particulièrement en mode S pour un usage de routière sportive. Il gomme, sans que le pilote ne s'en soit jamais rendu compte, le creux avant les 4,000 tr/min de la version sélecteur. Pour livrer une partie-cycle au-dessus de tous soupçons, bien servie par un freinage rassurant et performant. Avec un cardan et du confort. Bref, une vraie Béhème. A 16,290€.
Points forts:
partie-cycle
mode S
cardan
Points faibles:
rétrogradage en première
autonomie pour une routière
position un peu basculée
La Fiche technique du VFR 1200
Note : Outre le choix d'une machine automatique, Honda ouvre également la voie à la moto sans grosses transformations aux victimes d'accidents de la route. Amputés d'une jambe ou autres handicapés verront surement d'un bon oeil cette nouvelle machine qui ne demande que 1,300€ de plus que sa version standard pour proposer un mode automatique. Le freinage combiné pourvu de l'ABS, présent d'origine, parfait le tableau. Et permettra peut-être à des side-caristes résignés de goûter à nouveau aux plaisirs de la moto solo. C'est tout ce qu'on leur souhaite.
disponible en rouge, noir et blanc
Essai Honda VFR 1200 DTC Automatique
L'âme automatique
Décevante en boîte traditionnelle, il semble que la VFR 1200 à double embrayage prend toute sa mesure avec la sélection automatique. Dans cette livrée, la machine est plus que convaincante.
C'est toujours déroutant de changer ses habitudes. Pas de levier d'embrayage, pas plus que de sélecteur. Pas question pour la VFR de proposer de faire comme si. Quand Honda décide de passer à l'automatique, ce n'est pas pour vendre un shifter. Alors on fait comme en voiture, on démarre et on passe le « manche » en mode Drive. Là, il s'agit d'un simple bouton enfoncé par le pouce qui verrouille son action en témoignant d'un D sur le cadran à cristaux liquides du tableau de bord. En route donc.
Le pied gauche ne sait plus à quoi il sert. Il hésite à se poser sur le repose pied, bouge encore par habitude. Mais le conditionnement s'évapore très vite, à mesure que l'oreille du pilote est surprise par les bruits mécaniques subits plus que voulus. La main douce, les rapports se succèdent à l'approche des 2,500 tr/min. Une, deux, puis trois, la mécanique semble empruntée aux bavaroises qui font « klonk » à chaque changement de rapport. Et puis plus de bruit. Comme sur un tapis volant, les quatre, cinq et six passent comme des fleurs livrées à grande vitesse, toujours à 2,500 tr/min, avec l'incroyable audace de croiser à 65 km/h en sixième.
Un autre moteur
C'est sur cette plage d'utilisation que la VFR « normale » se montrait un peu creuse, soit avant les 4,000 tr/min. Là, avec la boîte automatique, le moteur n'a pas changé, mais la douceur du mode modifie les attentes du pilote en matière de déplacement. On ne cherche plus l'attaque ou encore la rage d'un V4, mais la fluidité. Si l'on jouait avec le pot d'échappement qui modifiait sa sonorité à 3,500 tr/min, libérant quelques décibels à ce pallier, on ne chevauche plus la même machine. Ce qui marque d'emblée, c'est la position très symétrique que permet l'absence de geste à fournir. Le pied gauche ne servant plus à rien, il se plaque contre le cadre de la machine, comme un vulgaire pied droit. De fait, le pilote sent de manière plus perceptible la partie-cycle qui le transporte.
Très vite, on se fait à cette nouvelle boîte de vitesses, douce dans ses rétrogradages, volontaire dans ses remises de gaz, virile lorsque les nécessités du trafic l'imposent. En mode D, la VFR préfèrera un style coulé qui correspond parfaitement aux autoroutes ou grandes voies rapides, aux trajets urbains où le rapide passage des rapports se révèle très reposant pour le pilote comme pour son environnement.
Mode S réussi
Pour ce qui est des trajets plus sportifs de type départementales ou nationales viroleuses, c'est le mode S pour « sport » qui semble le plus adapté. Et pas seulement pour attaquer. Là, les rapports passent aux frontières des 5,000 tr/min. C'est 1,000 tr/min plus haut que le vilain creux du V4 et à peu près à mi-régime. Il faut évidemment prendre le risque de croiser à 145 km/h pour passer la six, ce qui n'est pas une obligation.
A tout moment, que le mode choisi soit D ou S, une gâchette située à l'index gauche/pouce gauche permet de tomber ou de passer un rapport, sa symétrique, index droit, permettra de réenclencher le mode initial, sachant que la gâchette séquentielle garde la priorité sur tout autre mode.
Revenu en mode S, le vrai visage mécanique de la VFR peut s'exprimer. Il se révèle plus agréable et aussi très adapté à un usage routier et même coulé pour qui n'aime pas modifier l'assiette de sa machine en prenant trop souvent les freins. Le fait d'être systématiquement au-delà des 5,000 tr/min, permet, à l'approche d'un virage où l'on décide de rendre les gaz, de passer un rapport en dessous. Ce rétrogradage procure la sensation réelle de tirer la roue arrière vers l'arrière de la machine. Une modification de la répartition des masses qui facilite le placement sur l'angle. Toujours à plus de 5,000 tr/min, le moteur n'aura pas de mal à aider le pilote à extraire la machine de sa courbe en délivrant ce qu'il faut de puissance. Et ainsi de suite si la route a été bien choisie.
Défauts de jeunesse
Car il faut bien composer avec une machine lourde de 277 kg, que le système de boîte automatique a fait grossir d'environ 10 kg sur la balance. En dynamique, la différence n'est pas flagrante. En tout cas pas handicapante pour préférer l'une plus que l'autre. Ce qui peut faire pencher la balance des plus rétifs au progrès, ceux qui auront l'impression d'avoir un scooter déguisé en moto plutôt que le dernier cri de la technologie, réside sur quelques mises au point.
D'abord, les trois premiers rapports sont un peu bruyants. Ensuite, comme d'autres motos qui ne sont pas équipées de boîtes automatiques, la VFR 1200 a tendance à hoqueter lorsque le moteur n'est pas en charge, notamment en ville et en mode D où le moteur hésite à faible allure. La solution du mode S ou de la gâchette séquentielle peut très vite y remédier. C'est ce même mode qui pourra retirer de l'esprit la crainte de rétrograder en première juste avant une épingle en ville et de repartir sur des oeufs plutôt qu'en léger sous-régime, les jours de pluie. Ce n'est jamais très naturel en effet de passer le premier rapport, ce que la boîte automatique se permet. Pour le faire, il faudra d'abord se familiariser avec la quantité inhabituelle de fonctions dévolues à la main gauche.
On ne sait plus quel doigt pour quoi. Le pouce gauche est mis à rude épreuve et klaxonne tantôt qu'il devrait actionner les clignotants, passe un rapport alors qu'il voulait faire un appel de phare, au-dessus des feux de détresse. L'habitude devrait venir à bout de ces désagréments.
Un réel progrès
Pour la philosophie générale de la machine, on hésite un peu. Très routière sur le papier avec sa cylindrée de 1,237 cm3, son cardan et sa boîte automatique à l'image pépère, la VFR 1200 n'est pas comparable à une Yamaha FJR 1300.
On la vit plus sportive, notamment avec cette boîte de vitesses qui ôte de l'esprit l'intendance de l'embrayage et du sélecteur. Dès lors, l'esprit plus libre, le pilote peut ne se concentrer que sur le prochain virage, la nouvelle courbe à embrasser. Sa jambe gauche ne vient plus contrarier l'équilibre de la machine par des mouvements parasites. Ce n'est pas une moto GP mais on est assurément en communion avec le châssis de cette motomatique dont l'étagement du mode S est particulièrement réussi pour un usage enlevé. A l'attaque, le mode séquentiel est redoutable de rapidité. On découvre véritablement, et dans le confort d'un selle de routière, une nouvelle façon de faire de la moto avec une boîte automatique que l'on aimerait bien voir équiper les plus incisives des parties cycles. A l'image de l'ABS qui a fait son apparition sur les CBR.
Conclusion
Honda a peut-être commis une erreur en présentant d'abord la VFR en mode traditionnel. Malmené dans sa présentation en boîte mécanique, le vrai visage de cette machine est bien celui du mode automatique. Si la 1200 a fait changer de catégorie la lignée VFR, c'est assurément cette nouvelle philosophie qui peut tirer le modèle vers le haut. Si le système reste perfectible en terme de bruit pour les trois premiers rapports, il est très convaincant à l'usage, et particulièrement en mode S pour un usage de routière sportive. Il gomme, sans que le pilote ne s'en soit jamais rendu compte, le creux avant les 4,000 tr/min de la version sélecteur. Pour livrer une partie-cycle au-dessus de tous soupçons, bien servie par un freinage rassurant et performant. Avec un cardan et du confort. Bref, une vraie Béhème. A 16,290€.
Points forts:
partie-cycle
mode S
cardan
Points faibles:
rétrogradage en première
autonomie pour une routière
position un peu basculée
La Fiche technique du VFR 1200
Note : Outre le choix d'une machine automatique, Honda ouvre également la voie à la moto sans grosses transformations aux victimes d'accidents de la route. Amputés d'une jambe ou autres handicapés verront surement d'un bon oeil cette nouvelle machine qui ne demande que 1,300€ de plus que sa version standard pour proposer un mode automatique. Le freinage combiné pourvu de l'ABS, présent d'origine, parfait le tableau. Et permettra peut-être à des side-caristes résignés de goûter à nouveau aux plaisirs de la moto solo. C'est tout ce qu'on leur souhaite.
disponible en rouge, noir et blanc
Invité- Invité
Re: Honda VFR 1200 DCT, deux embrayages. Une Révolution !
Une moto automatique....
Moi ça me laisse perplexe.
Autant une voiture boite automatique, ça libère une main pour pouvoir téléphoner en roulant, se maquiller ou faire mille autres trucs, mais en moto...
Il faudrait essayer pour se rendre compte ce que ça donne.
Mais bof !
Moi ça me laisse perplexe.
Autant une voiture boite automatique, ça libère une main pour pouvoir téléphoner en roulant, se maquiller ou faire mille autres trucs, mais en moto...
Il faudrait essayer pour se rendre compte ce que ça donne.
Mais bof !
lous-
Nombre de messages : 18470
Age : 51
Localisation : Robinson
Moto : Heu... 600 Bandit...
Humeur : ...
Date d'inscription : 29/07/2008
Re: Honda VFR 1200 DCT, deux embrayages. Une Révolution !
Faut essayer, qui me la prête et je fais un essai lokal!
Pas la bécane idéalement adaptée ici, mais il y en a tellement qui roule sur des motos pas adaptées aux conditions lokales...en fait, existe t'elle,la moto adaptée idéale?
Pas la bécane idéalement adaptée ici, mais il y en a tellement qui roule sur des motos pas adaptées aux conditions lokales...en fait, existe t'elle,la moto adaptée idéale?
cobalt57co-
Nombre de messages : 11732
Age : 55
Localisation : Nouméa
Moto : T'es de la police?
Humeur : Bonhomme...
Date d'inscription : 27/02/2009
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