La moto à hydrogène
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Gil
Fab
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La moto à hydrogène
EnvBike se donne le défit de vendre des motos dont le moteur est alimenté par de l'hydrogène liquide.
Ce deux roues est non polluant avec son bouilleur à hydrogène et son moteur électrique.
Il pèse 80 kilos et peut atteindre 80 km/h avec une autonomie de quatre heures à cette allure...
Ce deux roues est non polluant avec son bouilleur à hydrogène et son moteur électrique.
Il pèse 80 kilos et peut atteindre 80 km/h avec une autonomie de quatre heures à cette allure...
Re: La moto à hydrogène
A vérifier bien sûr mais je crois savoir qu'il y a un problème de sécurité avec les moteurs à hydrogène.
(danger d'explosion!!)
Mais peut être que c'est le futur que nous avons là sous les yeux...
(danger d'explosion!!)
Mais peut être que c'est le futur que nous avons là sous les yeux...
Gil-
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Moto : HD 750 WLA bobbé de la mort qui tue!...
Humeur : Tutto va bene... :)
Date d'inscription : 02/11/2007
Re: La moto à hydrogène
pas mal la bécane!!!
l'hydrogène est très sur comme procédé !!mais ca dépend quels experts nous parlent...
Les puissants de ce monde on investit dans la fusion a chaud "le nucléaire"
et non pas dans la fusion a froid "l'hydrogène"!!!
qu'ils disent instable,
alors qu'elle est fiable depuis plus de 30 ans...
merci chers puissants!!!!!!de nous polluer autant!!!!
ce monde est un grand jeu de poker!!!
l'hydrogène est très sur comme procédé !!mais ca dépend quels experts nous parlent...
Les puissants de ce monde on investit dans la fusion a chaud "le nucléaire"
et non pas dans la fusion a froid "l'hydrogène"!!!
qu'ils disent instable,
alors qu'elle est fiable depuis plus de 30 ans...
merci chers puissants!!!!!!de nous polluer autant!!!!
ce monde est un grand jeu de poker!!!
Re: La moto à hydrogène
Ben si c'est ça le futur je le trouve pas terrible moi!
Enfin chacun ses goûts mais bon...
Mais par contre le concept est très bien!
A quand sur une "vraie" bécane?
Enfin chacun ses goûts mais bon...
Mais par contre le concept est très bien!
A quand sur une "vraie" bécane?
Crazy_Cha-
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Re: La moto à hydrogène
Apparemment le problème se situerait au niveau du remplissage du reservoir, en cas de fuite, BOUM!!!
Mais j'en sais pas plus à vrai dire...
Mais j'en sais pas plus à vrai dire...
Gil-
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Date d'inscription : 02/11/2007
Moteur à hydrogène.
Le moteur à hydrogène est un moteur à combustion interne utilisant l'hydrogène comme carburant.
Souvent improprement nommé « moteur à eau », ce moteur a comme principal avantage de réduire les émissions polluantes par rapport aux autres moteurs à combustion interne (utilisant des hydrocarbures) : les produits de combustions sont seulement la vapeur d'eau et éventuellement des NOx.
L'hydrogène possède une énergie massique de combustion très importante, mais comme c'est également l'élément le plus léger, l'énergie volumique de combustion est faible. Dans le cas d'un véhicule, le problème du stockage de l'hydrogène ou de sa production à bord se pose.
Combustion de l'hydrogène
Le classique moteur à piston est peu adapté à la combustion de l'hydrogène. La faible densité du gaz nécessite des conduits d'admission et des soupapes de grand diamètre, et la course sinusoïdale du piston crée un pic de pression trop long au point mort haut pour permettre un fonctionnement en détonation.
Il existe toutefois des alternatives comme la quasiturbine ou le moteur Wankel.
Stockage
La nature fortement inflammable de l'hydrogène en présence de l'oxygène de l'air fait souvent craindre les risques d'explosion quand il est stocké en quantité. Les catastrophes qui ont touché des dirigeables gonflés à l'hydrogène, comme le Hindenburg, ont marqué les esprits. On notera toutefois que l'hydrogène est très volatil et se dissipe rapidement en cas de fuite, et que s’il entre facilement en combustion, les véritables explosions sont très rares.
Stockage gazeux (pression faible)
C'est la méthode la plus simple, mais elle nécessite un volume très important.
Stockage gazeux (pression élevée)
Volume de stockage plus faible, mais nécessite une dépense d'énergie pour effectuer la compression.
Stockage liquide (cryogénique)
Volume de stockage encore plus faible, mais nécessite une dépense d'énergie très importante pour effectuer la compression avec changement d'état. Cette technique est notamment utilisée dans le domaine spatial.
Cependant, l'hydrogène étant le plus petit élément chimique, son stockage nécessite l'utilisation de matières spéciales empêchant toute fuite. Cette propriété de traverser les éléments implique d'énormes précautions, ne permettant pas de rentabiliser facilement son utilisation.
Stockage moléculaire («Éponges à hydrogène»)
C'est un des axes de recherche prometteurs qui va permettre d'utiliser l'hydrogène pour nos voitures. L'hydrogène est plus inflammable et explosif que l'essence et son stockage constitue cependant un problème. Afin de le résoudre, quelques équipes à travers le monde étudient la piste des hydrures métalliques. Ces alliages sont, en effet, capables d'absorber et de stocker l'hydrogène, à l'image d'une éponge, de manière stable et sûre. Seulement, on ne connaît que très mal les mécanismes qui permettent à ces composés d'absorber l'hydrogène gazeux. Un mystère que l'équipe de Klaus Yvon, professeur au Laboratoire de cristallographie de l'Université de Genève, a réussi à éclaircir grâce à une étude soutenue par le Fonds national suisse (FNS) et parue récemment dans la revue Physical Review Letters.
L'alliage métallique LaMg2Ni (lanthane, magnésium, nickel) est un conducteur électrique. En présence d'hydrogène (H2), il forme l'hydrure métallique LaMg2NiH7 qui, lui, est un isolant. Cette propriété pourrait en faire un détecteur d'hydrogène efficace et bon marché. De plus, les chercheurs ont enfin compris le mécanisme d'absorption pour ce type d'hydrures, qui peuvent contenir une plus grande densité d'hydrogène que l'hydrogène liquide lui-même ! Enfin, un hydrure métalique à été trouvé par les allemands en 2003 afin de construire un réservoir pour un sous-marin militaire à hydrogène. Comme tous les hydrures, ce réservoir allemand chauffe en stockant de l'hydrogène et refroidit en libérant l'hydrogène. Pour conclure, cet hydrure est lourd, cher et complexe à créer. Néanmoins des sous-marins allemands et bientôt grecs fonctionnent grâce à ce type de stockage.
Production embarquée
Afin de contourner les problèmes de stockage de l'hydrogène, il est possible de le produire à la demande à partir d'un composé riche en hydrogène, mais dont le stockage est plus simple.
Production par photosynthèse (cyanobactéries)
Certaines bactéries peuvent décomposer chimiquement l'eau en oxygène et hydrogène à l'aide de réactions photosynthétiques. Ceci permettrait de produire de l'hydrogène à l'aide d'énergie solaire. Des recherches sont en cours dans ce domaine, notamment en terme de génie génétique.
Production
Production par électrolyse de l'eau
La production d'hydrogène par électrolyse de l'eau consiste à dissocier la molécule d'eau (H2O) en molécules d'hydrogène et d'oxygène, en faisant passer un courant électrique dans l'eau.
Mais il y a un problème, une réserve d'hydrogène est très inflammable donc s'il y a accident, il y a risque d'explosion
Ajoutons que pour produire l'hydrogène il va falloir consommer beaucoup d'électricité.
Production par électrolyse pulsée
L'utilisation de courant alternatif à la "fréquence de résonance de la molécule d'eau" pourrait améliorer le rendement de l'électrolyse, et produit directement un mélange oxygène + hydrogène. Ce "procédé" n'a actuellement aucun fondement scientifique et semble relever du simple canular. Rappelons que selon la modélisation scientifique actuelle de l'univers ce procédé ne peut pas produire plus d'énergie qu'il n'en consomme. Voir Conservation de l'énergie. Cela ne signifie pas pour autant que de l'énergie en quantité quasi illimitée (à notre échelle) ne soit pas puisable sur des plans qui dépassent notre conscience. L'avenir le dira.
Production par reformage d'hydrocarbures
Ce procédé est utilisé dans l'industrie et dans certains projets de pile à combustible. Les résidus carbonés produits peuvent poser également des problèmes de pollution.
Production par réaction chimique
La production d'hydrogène peut également être obtenu par réaction chimique en mettant en contact de l'eau, de la soude et de l'aluminium. D'autres formules chimiques existent permettant d'extraire l'hydrogène de l'eau. Ce procédé a été utilisé avec succès pour produire de l'électricité.
Cette définition provient de l'encyclopédie libre Wikipédia publiée sous licence GNU FDL, elle est reprise sur techno-science.net à but informatif. Vous pouvez soumettre une modification ou un complément à cette définition sur la page correspondante de Wikipédia. La liste complète des auteurs de cet article est disponible sur cette page.
Il est possible que certains problèmes de mise en forme demeurent suite à l'importation de cette page, dans de tels cas veuillez vous reporter à la version originale sur Wikipédia.
Souvent improprement nommé « moteur à eau », ce moteur a comme principal avantage de réduire les émissions polluantes par rapport aux autres moteurs à combustion interne (utilisant des hydrocarbures) : les produits de combustions sont seulement la vapeur d'eau et éventuellement des NOx.
L'hydrogène possède une énergie massique de combustion très importante, mais comme c'est également l'élément le plus léger, l'énergie volumique de combustion est faible. Dans le cas d'un véhicule, le problème du stockage de l'hydrogène ou de sa production à bord se pose.
Combustion de l'hydrogène
Le classique moteur à piston est peu adapté à la combustion de l'hydrogène. La faible densité du gaz nécessite des conduits d'admission et des soupapes de grand diamètre, et la course sinusoïdale du piston crée un pic de pression trop long au point mort haut pour permettre un fonctionnement en détonation.
Il existe toutefois des alternatives comme la quasiturbine ou le moteur Wankel.
Stockage
La nature fortement inflammable de l'hydrogène en présence de l'oxygène de l'air fait souvent craindre les risques d'explosion quand il est stocké en quantité. Les catastrophes qui ont touché des dirigeables gonflés à l'hydrogène, comme le Hindenburg, ont marqué les esprits. On notera toutefois que l'hydrogène est très volatil et se dissipe rapidement en cas de fuite, et que s’il entre facilement en combustion, les véritables explosions sont très rares.
Stockage gazeux (pression faible)
C'est la méthode la plus simple, mais elle nécessite un volume très important.
Stockage gazeux (pression élevée)
Volume de stockage plus faible, mais nécessite une dépense d'énergie pour effectuer la compression.
Stockage liquide (cryogénique)
Volume de stockage encore plus faible, mais nécessite une dépense d'énergie très importante pour effectuer la compression avec changement d'état. Cette technique est notamment utilisée dans le domaine spatial.
Cependant, l'hydrogène étant le plus petit élément chimique, son stockage nécessite l'utilisation de matières spéciales empêchant toute fuite. Cette propriété de traverser les éléments implique d'énormes précautions, ne permettant pas de rentabiliser facilement son utilisation.
Stockage moléculaire («Éponges à hydrogène»)
C'est un des axes de recherche prometteurs qui va permettre d'utiliser l'hydrogène pour nos voitures. L'hydrogène est plus inflammable et explosif que l'essence et son stockage constitue cependant un problème. Afin de le résoudre, quelques équipes à travers le monde étudient la piste des hydrures métalliques. Ces alliages sont, en effet, capables d'absorber et de stocker l'hydrogène, à l'image d'une éponge, de manière stable et sûre. Seulement, on ne connaît que très mal les mécanismes qui permettent à ces composés d'absorber l'hydrogène gazeux. Un mystère que l'équipe de Klaus Yvon, professeur au Laboratoire de cristallographie de l'Université de Genève, a réussi à éclaircir grâce à une étude soutenue par le Fonds national suisse (FNS) et parue récemment dans la revue Physical Review Letters.
L'alliage métallique LaMg2Ni (lanthane, magnésium, nickel) est un conducteur électrique. En présence d'hydrogène (H2), il forme l'hydrure métallique LaMg2NiH7 qui, lui, est un isolant. Cette propriété pourrait en faire un détecteur d'hydrogène efficace et bon marché. De plus, les chercheurs ont enfin compris le mécanisme d'absorption pour ce type d'hydrures, qui peuvent contenir une plus grande densité d'hydrogène que l'hydrogène liquide lui-même ! Enfin, un hydrure métalique à été trouvé par les allemands en 2003 afin de construire un réservoir pour un sous-marin militaire à hydrogène. Comme tous les hydrures, ce réservoir allemand chauffe en stockant de l'hydrogène et refroidit en libérant l'hydrogène. Pour conclure, cet hydrure est lourd, cher et complexe à créer. Néanmoins des sous-marins allemands et bientôt grecs fonctionnent grâce à ce type de stockage.
Production embarquée
Afin de contourner les problèmes de stockage de l'hydrogène, il est possible de le produire à la demande à partir d'un composé riche en hydrogène, mais dont le stockage est plus simple.
Production par photosynthèse (cyanobactéries)
Certaines bactéries peuvent décomposer chimiquement l'eau en oxygène et hydrogène à l'aide de réactions photosynthétiques. Ceci permettrait de produire de l'hydrogène à l'aide d'énergie solaire. Des recherches sont en cours dans ce domaine, notamment en terme de génie génétique.
Production
Production par électrolyse de l'eau
La production d'hydrogène par électrolyse de l'eau consiste à dissocier la molécule d'eau (H2O) en molécules d'hydrogène et d'oxygène, en faisant passer un courant électrique dans l'eau.
Mais il y a un problème, une réserve d'hydrogène est très inflammable donc s'il y a accident, il y a risque d'explosion
Ajoutons que pour produire l'hydrogène il va falloir consommer beaucoup d'électricité.
Production par électrolyse pulsée
L'utilisation de courant alternatif à la "fréquence de résonance de la molécule d'eau" pourrait améliorer le rendement de l'électrolyse, et produit directement un mélange oxygène + hydrogène. Ce "procédé" n'a actuellement aucun fondement scientifique et semble relever du simple canular. Rappelons que selon la modélisation scientifique actuelle de l'univers ce procédé ne peut pas produire plus d'énergie qu'il n'en consomme. Voir Conservation de l'énergie. Cela ne signifie pas pour autant que de l'énergie en quantité quasi illimitée (à notre échelle) ne soit pas puisable sur des plans qui dépassent notre conscience. L'avenir le dira.
Production par reformage d'hydrocarbures
Ce procédé est utilisé dans l'industrie et dans certains projets de pile à combustible. Les résidus carbonés produits peuvent poser également des problèmes de pollution.
Production par réaction chimique
La production d'hydrogène peut également être obtenu par réaction chimique en mettant en contact de l'eau, de la soude et de l'aluminium. D'autres formules chimiques existent permettant d'extraire l'hydrogène de l'eau. Ce procédé a été utilisé avec succès pour produire de l'électricité.
Cette définition provient de l'encyclopédie libre Wikipédia publiée sous licence GNU FDL, elle est reprise sur techno-science.net à but informatif. Vous pouvez soumettre une modification ou un complément à cette définition sur la page correspondante de Wikipédia. La liste complète des auteurs de cet article est disponible sur cette page.
Il est possible que certains problèmes de mise en forme demeurent suite à l'importation de cette page, dans de tels cas veuillez vous reporter à la version originale sur Wikipédia.
Le stockage de l'hydrogène amélioré
Un réservoir d'un nouveau type va permettre d'accroître l'autonomie des voitures à hydrogène.
La France n'est pas souvent en pointe pour ce qui est des voitures à hydrogène, mais c'est à Paris qu'a été présenté une nouvelle génération de réservoirs pour ce gaz. La présentation a eu lieu dans le cadre du congrès de clôture du programme de recherches StorHY, dont le but était précisément de trouver de nouvelles solutions pour stocker l'hydrogène. Et notamment à bord d'une automobile. Deux solutions retenaient l'attention. L'une, développée par PSA, consistait en des petites bouteilles d'hydrogène montées sur un rack, et facilement échangeable (comme une bouteille de butane dans une cuisinière), une évolution d'une technologie déjà vue sur le Taxi PAC d'il y a quelques années, et l'autre (photos), présentée par BMW, qui était radicalement nouvelle. La surprise était que les ingénieurs soient parvenus à vaincre l'obstacle de la forme.
Les réservoirs de gaz étaient habituellement des grosses bonbonnes, de forme cylindrique, assez difficiles à intégrer dans un chassis, pas celui-ci. Cette forme n'est d'ailleurs pas figée, on peut l'adapter au véhicule qui le recevra. Seconde caractéristique notable, l'utilisation de matériaux composites pour aboutir à une masse de seulement d'un tiers de celle d'un réservoir classique en acier. Par rapport à ces derniers, ce nouveau est aussi plus compact, du fait que le rapport entre volume total du réservoir, et volume dédié au stockage de l'hydrogène, est meilleur. C'est l'isolation qui fait la différence, car il s'agit d'hydrogène liquide, qui requiert une isolation renforcée. Et ainsi, avec ce réservoir plus petit et léger, 10 kg d'hydrogène à bord et un moteur à combustion optimisé pour l'hydrogène, BMW envisage une voiture qui aurait une autonomie de 500 km. Sans CO2...
La France n'est pas souvent en pointe pour ce qui est des voitures à hydrogène, mais c'est à Paris qu'a été présenté une nouvelle génération de réservoirs pour ce gaz. La présentation a eu lieu dans le cadre du congrès de clôture du programme de recherches StorHY, dont le but était précisément de trouver de nouvelles solutions pour stocker l'hydrogène. Et notamment à bord d'une automobile. Deux solutions retenaient l'attention. L'une, développée par PSA, consistait en des petites bouteilles d'hydrogène montées sur un rack, et facilement échangeable (comme une bouteille de butane dans une cuisinière), une évolution d'une technologie déjà vue sur le Taxi PAC d'il y a quelques années, et l'autre (photos), présentée par BMW, qui était radicalement nouvelle. La surprise était que les ingénieurs soient parvenus à vaincre l'obstacle de la forme.
Les réservoirs de gaz étaient habituellement des grosses bonbonnes, de forme cylindrique, assez difficiles à intégrer dans un chassis, pas celui-ci. Cette forme n'est d'ailleurs pas figée, on peut l'adapter au véhicule qui le recevra. Seconde caractéristique notable, l'utilisation de matériaux composites pour aboutir à une masse de seulement d'un tiers de celle d'un réservoir classique en acier. Par rapport à ces derniers, ce nouveau est aussi plus compact, du fait que le rapport entre volume total du réservoir, et volume dédié au stockage de l'hydrogène, est meilleur. C'est l'isolation qui fait la différence, car il s'agit d'hydrogène liquide, qui requiert une isolation renforcée. Et ainsi, avec ce réservoir plus petit et léger, 10 kg d'hydrogène à bord et un moteur à combustion optimisé pour l'hydrogène, BMW envisage une voiture qui aurait une autonomie de 500 km. Sans CO2...
Re: La moto à hydrogène
Pas terrible la moto du futur...
MagNC-
Nombre de messages : 381
Age : 42
Localisation : Nouméa
Moto : celle de mon cher et tendre
Humeur : Boulouparititude
Date d'inscription : 05/08/2008
Re: La moto à hydrogène
Laisse tomber.... Je préfère mourir plutôt et faire péter mon moulin et burner.............
KLIBRA-
Nombre de messages : 883
Age : 47
Localisation : Nouméa
Moto : CBR 600 RR
Humeur : Bien après les petits cafés du matin.
Date d'inscription : 17/11/2007
Re: La moto à hydrogène
KLIBRA a écrit:Je préfère mourir plutôt et faire péter mon moulin et burner.............
Ouahhhh, tu causes vachement bien mon pote, à 4h du mat' !!!
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