(MA) CAGIVA RAPTOR 650
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MAGNUM
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(MA) CAGIVA RAPTOR 650
Nouvellement acquise et étant ma toute première moto..
présentation du nouveau membre de la famille :majorette:
présentation du nouveau membre de la famille :majorette:
Invité- Invité
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
Essai Cagiva Raptor 650
Essais motards : Cédric
« Quelle est la différence entre une blonde et une Raptor ? », entend t’on parfois plaisanter entre motards. « Tout le monde n’a pas essayé une Raptor. » Et là, y’a pas photo, c’est vrai !!!
Méconnue, peu répandue voire boudée, la Raptor (650 ou 1000, naked ou V-Raptor) ne court pas les rues… et pourtant, revue de détail.
Sortie en 2001, suite à sa grande sœur la Raptor 1000 (sortie en 2000), la 650 n’a eut pour le moment qu’une courte vie : en 2002 en effet, Cagiva (et le groupe tout entier Cagiva / Husqvarna / MV Agusta) a connu de lourdes difficultés financières qui ont conduit à un arrêt des chaînes de production et de la fourniture de pièces détachées. Le groupe semble avoir résolu ces difficultés et annonce une relance de la production pour le printemps 2003.
Les quelques modèles sortis en 2001, mais encore en stock chez les motocistes ont donc eut du mal à s’écouler courant 2002 et la Raptor 650, si attachante mais déjà peu connue est presque passée inaperçue aux yeux du grand public, quelque peu frileux.
Pourtant, sa filiation et ses objectifs laissaient espérer une très bonne machine. La Raptor est en effet la concurrente directe de la célébrissime et reconnue Ducati Mostro. Elle est donc directement inspirée de sa rivale au niveau esthétique avec une selle basse et fuyante, un double échappement, un réservoir joufflu, un gros optique rond. Pas de surprise à cela, le designer de la Raptor, Miguel Galluzzi a aussi dessiné la Mostro quelques années auparavant.
On aime ou on aime pas, mais il faut bien avouer qu’il y’a une certaine ressemblance entre les deux, avec peut-être un avantage pour la Raptor et ses lignes tendues, travaillées, ses petits détails agressifs tels son compteur triangulaire, ses supports de cale-pied arrière en forme de griffes, son réservoir échancré au niveau du guidon… qui font son originalité.
A y regarder de plus près, la finition n’est toutefois pas si engageante, notamment au niveau des plastiques anthracites qui entourent la selle et l’avant du réservoir, mais on se consolera, ces dits plastiques étant en effet bien peu nombreux.
Sur le papier aussi, la Raptor vise haut, avec un cadre tubulaire en acier, une fourche inversée de gros diamètre et des freins Brembo série or montés sur durites tressées acier. Copie conforme de la Mostro en fait, l’idée étant que tout ces éléments découlent directement du Raptor 1000. D’ailleurs, entre la 1000 et la 650, mise à part le moteur, seule l’épaisseur des tubes de cadre à été légèrement revue à la baisse, tout comme la jante arrière qui passe de 5,5 pouces de large à 4,5 pour accueillir un pneu de 160mm au lieu de 180. En résumé, la partie cycle du Raptor 650 est tout simplement surdimensionnée !
Coté moteur, et comme pour les autres modèles de la gamme, Cagiva a opté pour un moteur… Suzuki, à savoir l’excellent V-twin 645cm3, 8 soupapes à refroidissement liquide de la SV650, ici re-badgé Cagiva (sauf pour le filtre à huile toujours référencé Suzuki !). Ce moteur ; une référence !! Léger, fiable, pas excessivement puissant mais très vivant, il assure parfaitement son office et fait de la Raptor d’avantage une concurrente à la SV650 qu’à la Mostro 600 (ou 620) plus (trop ?) légèrement motorisée. Il reprend sans coup férir dès les plus bas régimes, sans trop d’à-coups, pousse franchement en bas, explose passé les 7000 tr/min et accepte de monter jusqu’à 10 500 tr/min.
Ici retravaillé par Cagiva au niveau de l’échappement (2 en 1 en 2) et de la carburation, il est en outre annoncé pour un peu plus de couple, notamment à bas régime. La sonorité semble un peu moins métallique que celle du SV, sans pour autant atteindre le son mélodieux de sa rivale italienne. Voici pour la présentation papier qui laisse déjà augurer un bon comportement sur la route.
La route
La mise en route, tout d’abord, comme sur toute Suzuki, on débraye pour démarrer et le V-twin s’ébroue joyeusement à travers ses deux splendides échappements.
Les (ex)propriétaires de Suzuki ne seront là non plus, nullement décontenancés par les commodos directement issus de la gamme du constructeur Nippon.
Le bloc compteur lui est plus surprenant avec sa forme supérieure en triangle : il laisse apparaître un gros compte-tour analogique au dessus de quatre voyants (clignotants, phare, neutre et réserve) bien visibles, surmontant un afficheur digital rétro éclairé de la vitesse et d’un des deux trips kilométriques partiels.
La position de conduite en revanche est assez typée italienne ; la selle est basse (ce qui plaira au petits gabarits), les cale-pieds assez haut et le buste penché sur l’avant ; ni trop droit, ni trop en appuis sur les poignets, un peu comme sur une Mostro en fait.
Mise en route, première…
La boite est un modèle de douceur, de précision et de silence comme souvent chez Suzuki. Les commandes sont douces et le moteur volontaire.
A basse vitesse, la Raptor se montre très agile du fait de son poids relativement limité (180kg à sec), de son train avant léger et de sa selle basse (775mm) ce qui en fait l’outil idéal en ville. Les changements d’angle sont aisés avec ce large guidon et ses pneus à profil triangulaire (Pirelli Dragon Evo) et le rayon de braquage est bien plus court que celui de la Mostro, largement handicapée en usage urbain sur ce sujet.
Position de conduite
La position est naturelle et la prise en main des plus aisées. Quelques tours de roue suffisent pour comprendre le fonctionnement de l’animal.
Suspensions
Les suspensions sont fermes et semblent d’avantage réglées pour l’efficacité en solo que pour le confort. La fourche ne plonge pas au freinage ou sur les inégalités de la route comme le fait celle de sa cousine la SV650. L’arrière ne pompe pas et l’ensemble semble très sain quoi qu’un peu secoué quand la route se dégrade. Qu’à cela ne tienne, il suffit de serrer les genoux et de ne pas se crisper au guidon et ça passe… avec une efficacité bluffante pour une si petite cylindrée. Il n’y a rien à en redire, rien à re-régler… et ça tombe bien, car seul le combiné ressort amortisseur arrière est réglable, et uniquement en précontrainte, dans le but d’accueillir un(e) passager(e) donc. Il faudra pour ça une bonne dose de courage et d’abnégation, car la place dévolue n’est pas des plus accueillante et ne dispose d’aucune poignée de maintien.
Freinage
Le freinage lui aussi est à la hauteur ; puissant et surtout plus mordant que sur la SV650, il est en plus secondé par les suspensions bien plus performantes. Il n’y a guère que le frein arrière qui soit critiquable en comparaison de celui de sa cousine nippone qui a là une référence de puissance… quoique assez peu utile en fait, vu l’important frein moteur, propre à déconcerter tout débutant d’ailleurs.
Vive, alerte, maniable, avec un rayon de braquage satisfaisant (contrairement au Mostro) notamment du au réservoir échancré, légère de l'avant grace à son large guidon, basse de selle ce qui facilite les manoeuvre à basse vitesse et les déplacements en ville, la Raptor est, comme sa cousine Nippone, très à l'aise en ville. C'est même pour ainsi dire un des ses terrains de prédilection. Sa boite courte et son moteur respirant la santé en font en effet un petit jouet se gaussant des 600 hypersports ne braquant pas ou nécessitant de hauts régimes moteur avant d'exprimer leur potentiel. Les petites routes laissent aussi dévoiler le potentiel de son moteur (en terme de reprise notamment) et de sa partie cycle, ferme et rigoureuse. Un revètement dégradé chahutera de fait franchement le pilote, mais sans nuire à la stabilité de
cap, pour peu que l'on serre bien les genous. Sur autoroute, la protection minimaliste incitera à un rythme modéré notamment si l'exercice doit se prolonger, d'autant que le train avant se révèle particulièrement léger à l'approche de la zone rouge en sixième. Autant le dire, ville et virolos sont les terrains de chasse de ce petit twin bouillonant.
La Raptor n’est donc pas dessinée pour le duo, ni même pour le confort, pas plus que pour les longs trajets ; la protection y est en effet des plus limitée malgré le profil du compteur surmonté des ses deux petites excroissances de part et d’autre. C’est donc bien un petit roadster vif et bien suspendu qui fera merveille en ville et sur petites routes viroleuses.
Pratique
La Raptor dispose d'un réservoir (en plastique) de 19 litres (16 pour les premières SV650) avec réserve automatique (4 litres) et indicateur au tableau de bords (un seul niveau contre 2 sur la
SV), d'un double trip kilométrique et d'une béquille latérale au retour rassurant. En revanche, point de béquille centrale (qu'on remplacera avantageusement par une béquille d'atelier, les axe de roues étant de
plus creux si bien qu'on peut y passer un axe de levage) et une place minimaliste sous la selle si bien que la pose d'une centrale d'alarme (pour laquelle la moto est toutefois précablée) peut imposer d'enlever la
boite à outils ! Impossible d'y loger le moindre objet ou un U qui devra alors être fixé le long du cadre par un support adapté. Le U d'ailleur ne pourra pas enserrer les deux tubes de fourche comme sur un
SV, du fait du garde-boue qui vient protéger les tubes imposants de la suberbe fourche inversée. Il se loge donc (difficilement) entre les batons de jante et dans les orifices des disques. Sur l'aspect pratique, la
Raptor fait donc jeu égal avec une Mostro exclusive à souhait, mais la SV fait mieux.
Protection
Il ne faut pas s'attendre à être à l'abris du vent sur une Raptor : elle reste avant tout un roadster pur et dur, sans tête de fourche ni carénage. La forme du compteur en pointe et les petites
excroissances de part et d'autre de celui-ci jouent un peu office de déflecteurs, mais passé des vitesses légales, il faudra s'accrocher fermement, d'autant que le look du compteur ne permet pas la pose d'un
banal saut-de-vent et il faudra choisir un modèle adapté.
Duo
On peut d'ores-et-déjà remarquer sur la Raptor l'absence de poignée de maintien et la présence des deux pots juste sous les cale-pied : talons interdit à l'arrière donc ! Contrairement à la SV et
sa double selle, la Raptor (comme la Mostro) dispose d'une longue selle sur laquelle le (ou la) passager(e) pourra venir se placer, contre son pilote ou plus loin, sans risquer et descendre d'une marche à
chaque freinage appuyé. La selle est toutefois incurvée vers le bas dans sa partie arrière et il conviendra pour le passager de se placer le plus en avant possible. A noter aussi que contrairement au SV650, le
réglage de précontrainte du combiné ressort amortisseur arrière est ici à écrou / contre-écrou et non à bague cranté. Il est de plus particulièrement inaccessible.
La Raptor n’est donc pas dessinée pour le duo, ni même pour le confort, pas plus que pour les longs trajets ; la protection y est en effet des plus limitée malgré le profil du compteur surmonté des ses deux
petites excroissances de part et d’autre. C’est donc bien un petit roadster vif et bien suspendu qui fera merveille en ville et sur petites routes viroleuses.
Conclusion :
A peine plus chère qu’une SV650 mais bien mieux équipée et bien mieux suspendue ; moins chère qu’une Mostro 620ie mais mieux motorisée qu’une 750 Mostro, la Raptor 650 a tout pour être une très sérieuse concurrente face à ses deux best-seller, si ce n’est un manque de publicité, une diffusion confidentielle et un cruel manque d’image.
Sur le papier comme sur la route pourtant, la Raptor se montre irréprochable. Ses quelques défauts sont inhérents à son look et sa philosophie de roadster dépouillé plutôt qu’à sa conception.
D’une certaine manière, elle est la synthèse technique idéale entre la Suzuki SV650, sa cousine et la Ducati Mostro, son initiatrice, avec en plus, un charme et une originalité qui font tourner bien des têtes.
Elle n’a certes pas le coffre en bas et la sonorité d’un 2 soupapes à air made in Bologne de chez Ducati, mais elle se rattrape par son comportement dans les tours, son rapport qualité prix alléchant et sa fiabilité nippone.
Elle est certes un peu plus chère et exclusive que sa cousine du pays du soleil levant, mais elle est tellement plus efficace au niveau de la partie cycle que l’écart de prix couvrirai et de loin les modifications nécessaire à rendre la SV aussi rigoureuse..
Pour vous, motard en quête d’un petit (mais viril) roadster original mais très abouti, elle est donc LA machine idéale, pour peu que l’esthétique vous plaise (il y’a aussi la V-Raptor pour ceux qui souhaiteraient pousser encore plus loin le concept) et que vous en trouviez une encore en stock ou en occasion… la production ne devant en effet pas reprendre avant le printemps 2003 si tout se passe bien du côté de Cagiva.
Points forts
* Comportement moteur et cycle
Points faibles
* Confort en duo
* Freinage arrière
* Finition
http://www.lerepairedesmotards.com/essais/motards/cagiva-raptor-650.php
Essais motards : Cédric
« Quelle est la différence entre une blonde et une Raptor ? », entend t’on parfois plaisanter entre motards. « Tout le monde n’a pas essayé une Raptor. » Et là, y’a pas photo, c’est vrai !!!
Méconnue, peu répandue voire boudée, la Raptor (650 ou 1000, naked ou V-Raptor) ne court pas les rues… et pourtant, revue de détail.
Sortie en 2001, suite à sa grande sœur la Raptor 1000 (sortie en 2000), la 650 n’a eut pour le moment qu’une courte vie : en 2002 en effet, Cagiva (et le groupe tout entier Cagiva / Husqvarna / MV Agusta) a connu de lourdes difficultés financières qui ont conduit à un arrêt des chaînes de production et de la fourniture de pièces détachées. Le groupe semble avoir résolu ces difficultés et annonce une relance de la production pour le printemps 2003.
Les quelques modèles sortis en 2001, mais encore en stock chez les motocistes ont donc eut du mal à s’écouler courant 2002 et la Raptor 650, si attachante mais déjà peu connue est presque passée inaperçue aux yeux du grand public, quelque peu frileux.
Pourtant, sa filiation et ses objectifs laissaient espérer une très bonne machine. La Raptor est en effet la concurrente directe de la célébrissime et reconnue Ducati Mostro. Elle est donc directement inspirée de sa rivale au niveau esthétique avec une selle basse et fuyante, un double échappement, un réservoir joufflu, un gros optique rond. Pas de surprise à cela, le designer de la Raptor, Miguel Galluzzi a aussi dessiné la Mostro quelques années auparavant.
On aime ou on aime pas, mais il faut bien avouer qu’il y’a une certaine ressemblance entre les deux, avec peut-être un avantage pour la Raptor et ses lignes tendues, travaillées, ses petits détails agressifs tels son compteur triangulaire, ses supports de cale-pied arrière en forme de griffes, son réservoir échancré au niveau du guidon… qui font son originalité.
A y regarder de plus près, la finition n’est toutefois pas si engageante, notamment au niveau des plastiques anthracites qui entourent la selle et l’avant du réservoir, mais on se consolera, ces dits plastiques étant en effet bien peu nombreux.
Sur le papier aussi, la Raptor vise haut, avec un cadre tubulaire en acier, une fourche inversée de gros diamètre et des freins Brembo série or montés sur durites tressées acier. Copie conforme de la Mostro en fait, l’idée étant que tout ces éléments découlent directement du Raptor 1000. D’ailleurs, entre la 1000 et la 650, mise à part le moteur, seule l’épaisseur des tubes de cadre à été légèrement revue à la baisse, tout comme la jante arrière qui passe de 5,5 pouces de large à 4,5 pour accueillir un pneu de 160mm au lieu de 180. En résumé, la partie cycle du Raptor 650 est tout simplement surdimensionnée !
Coté moteur, et comme pour les autres modèles de la gamme, Cagiva a opté pour un moteur… Suzuki, à savoir l’excellent V-twin 645cm3, 8 soupapes à refroidissement liquide de la SV650, ici re-badgé Cagiva (sauf pour le filtre à huile toujours référencé Suzuki !). Ce moteur ; une référence !! Léger, fiable, pas excessivement puissant mais très vivant, il assure parfaitement son office et fait de la Raptor d’avantage une concurrente à la SV650 qu’à la Mostro 600 (ou 620) plus (trop ?) légèrement motorisée. Il reprend sans coup férir dès les plus bas régimes, sans trop d’à-coups, pousse franchement en bas, explose passé les 7000 tr/min et accepte de monter jusqu’à 10 500 tr/min.
Ici retravaillé par Cagiva au niveau de l’échappement (2 en 1 en 2) et de la carburation, il est en outre annoncé pour un peu plus de couple, notamment à bas régime. La sonorité semble un peu moins métallique que celle du SV, sans pour autant atteindre le son mélodieux de sa rivale italienne. Voici pour la présentation papier qui laisse déjà augurer un bon comportement sur la route.
La route
La mise en route, tout d’abord, comme sur toute Suzuki, on débraye pour démarrer et le V-twin s’ébroue joyeusement à travers ses deux splendides échappements.
Les (ex)propriétaires de Suzuki ne seront là non plus, nullement décontenancés par les commodos directement issus de la gamme du constructeur Nippon.
Le bloc compteur lui est plus surprenant avec sa forme supérieure en triangle : il laisse apparaître un gros compte-tour analogique au dessus de quatre voyants (clignotants, phare, neutre et réserve) bien visibles, surmontant un afficheur digital rétro éclairé de la vitesse et d’un des deux trips kilométriques partiels.
La position de conduite en revanche est assez typée italienne ; la selle est basse (ce qui plaira au petits gabarits), les cale-pieds assez haut et le buste penché sur l’avant ; ni trop droit, ni trop en appuis sur les poignets, un peu comme sur une Mostro en fait.
Mise en route, première…
La boite est un modèle de douceur, de précision et de silence comme souvent chez Suzuki. Les commandes sont douces et le moteur volontaire.
A basse vitesse, la Raptor se montre très agile du fait de son poids relativement limité (180kg à sec), de son train avant léger et de sa selle basse (775mm) ce qui en fait l’outil idéal en ville. Les changements d’angle sont aisés avec ce large guidon et ses pneus à profil triangulaire (Pirelli Dragon Evo) et le rayon de braquage est bien plus court que celui de la Mostro, largement handicapée en usage urbain sur ce sujet.
Position de conduite
La position est naturelle et la prise en main des plus aisées. Quelques tours de roue suffisent pour comprendre le fonctionnement de l’animal.
Suspensions
Les suspensions sont fermes et semblent d’avantage réglées pour l’efficacité en solo que pour le confort. La fourche ne plonge pas au freinage ou sur les inégalités de la route comme le fait celle de sa cousine la SV650. L’arrière ne pompe pas et l’ensemble semble très sain quoi qu’un peu secoué quand la route se dégrade. Qu’à cela ne tienne, il suffit de serrer les genoux et de ne pas se crisper au guidon et ça passe… avec une efficacité bluffante pour une si petite cylindrée. Il n’y a rien à en redire, rien à re-régler… et ça tombe bien, car seul le combiné ressort amortisseur arrière est réglable, et uniquement en précontrainte, dans le but d’accueillir un(e) passager(e) donc. Il faudra pour ça une bonne dose de courage et d’abnégation, car la place dévolue n’est pas des plus accueillante et ne dispose d’aucune poignée de maintien.
Freinage
Le freinage lui aussi est à la hauteur ; puissant et surtout plus mordant que sur la SV650, il est en plus secondé par les suspensions bien plus performantes. Il n’y a guère que le frein arrière qui soit critiquable en comparaison de celui de sa cousine nippone qui a là une référence de puissance… quoique assez peu utile en fait, vu l’important frein moteur, propre à déconcerter tout débutant d’ailleurs.
Vive, alerte, maniable, avec un rayon de braquage satisfaisant (contrairement au Mostro) notamment du au réservoir échancré, légère de l'avant grace à son large guidon, basse de selle ce qui facilite les manoeuvre à basse vitesse et les déplacements en ville, la Raptor est, comme sa cousine Nippone, très à l'aise en ville. C'est même pour ainsi dire un des ses terrains de prédilection. Sa boite courte et son moteur respirant la santé en font en effet un petit jouet se gaussant des 600 hypersports ne braquant pas ou nécessitant de hauts régimes moteur avant d'exprimer leur potentiel. Les petites routes laissent aussi dévoiler le potentiel de son moteur (en terme de reprise notamment) et de sa partie cycle, ferme et rigoureuse. Un revètement dégradé chahutera de fait franchement le pilote, mais sans nuire à la stabilité de
cap, pour peu que l'on serre bien les genous. Sur autoroute, la protection minimaliste incitera à un rythme modéré notamment si l'exercice doit se prolonger, d'autant que le train avant se révèle particulièrement léger à l'approche de la zone rouge en sixième. Autant le dire, ville et virolos sont les terrains de chasse de ce petit twin bouillonant.
La Raptor n’est donc pas dessinée pour le duo, ni même pour le confort, pas plus que pour les longs trajets ; la protection y est en effet des plus limitée malgré le profil du compteur surmonté des ses deux petites excroissances de part et d’autre. C’est donc bien un petit roadster vif et bien suspendu qui fera merveille en ville et sur petites routes viroleuses.
Pratique
La Raptor dispose d'un réservoir (en plastique) de 19 litres (16 pour les premières SV650) avec réserve automatique (4 litres) et indicateur au tableau de bords (un seul niveau contre 2 sur la
SV), d'un double trip kilométrique et d'une béquille latérale au retour rassurant. En revanche, point de béquille centrale (qu'on remplacera avantageusement par une béquille d'atelier, les axe de roues étant de
plus creux si bien qu'on peut y passer un axe de levage) et une place minimaliste sous la selle si bien que la pose d'une centrale d'alarme (pour laquelle la moto est toutefois précablée) peut imposer d'enlever la
boite à outils ! Impossible d'y loger le moindre objet ou un U qui devra alors être fixé le long du cadre par un support adapté. Le U d'ailleur ne pourra pas enserrer les deux tubes de fourche comme sur un
SV, du fait du garde-boue qui vient protéger les tubes imposants de la suberbe fourche inversée. Il se loge donc (difficilement) entre les batons de jante et dans les orifices des disques. Sur l'aspect pratique, la
Raptor fait donc jeu égal avec une Mostro exclusive à souhait, mais la SV fait mieux.
Protection
Il ne faut pas s'attendre à être à l'abris du vent sur une Raptor : elle reste avant tout un roadster pur et dur, sans tête de fourche ni carénage. La forme du compteur en pointe et les petites
excroissances de part et d'autre de celui-ci jouent un peu office de déflecteurs, mais passé des vitesses légales, il faudra s'accrocher fermement, d'autant que le look du compteur ne permet pas la pose d'un
banal saut-de-vent et il faudra choisir un modèle adapté.
Duo
On peut d'ores-et-déjà remarquer sur la Raptor l'absence de poignée de maintien et la présence des deux pots juste sous les cale-pied : talons interdit à l'arrière donc ! Contrairement à la SV et
sa double selle, la Raptor (comme la Mostro) dispose d'une longue selle sur laquelle le (ou la) passager(e) pourra venir se placer, contre son pilote ou plus loin, sans risquer et descendre d'une marche à
chaque freinage appuyé. La selle est toutefois incurvée vers le bas dans sa partie arrière et il conviendra pour le passager de se placer le plus en avant possible. A noter aussi que contrairement au SV650, le
réglage de précontrainte du combiné ressort amortisseur arrière est ici à écrou / contre-écrou et non à bague cranté. Il est de plus particulièrement inaccessible.
La Raptor n’est donc pas dessinée pour le duo, ni même pour le confort, pas plus que pour les longs trajets ; la protection y est en effet des plus limitée malgré le profil du compteur surmonté des ses deux
petites excroissances de part et d’autre. C’est donc bien un petit roadster vif et bien suspendu qui fera merveille en ville et sur petites routes viroleuses.
Conclusion :
A peine plus chère qu’une SV650 mais bien mieux équipée et bien mieux suspendue ; moins chère qu’une Mostro 620ie mais mieux motorisée qu’une 750 Mostro, la Raptor 650 a tout pour être une très sérieuse concurrente face à ses deux best-seller, si ce n’est un manque de publicité, une diffusion confidentielle et un cruel manque d’image.
Sur le papier comme sur la route pourtant, la Raptor se montre irréprochable. Ses quelques défauts sont inhérents à son look et sa philosophie de roadster dépouillé plutôt qu’à sa conception.
D’une certaine manière, elle est la synthèse technique idéale entre la Suzuki SV650, sa cousine et la Ducati Mostro, son initiatrice, avec en plus, un charme et une originalité qui font tourner bien des têtes.
Elle n’a certes pas le coffre en bas et la sonorité d’un 2 soupapes à air made in Bologne de chez Ducati, mais elle se rattrape par son comportement dans les tours, son rapport qualité prix alléchant et sa fiabilité nippone.
Elle est certes un peu plus chère et exclusive que sa cousine du pays du soleil levant, mais elle est tellement plus efficace au niveau de la partie cycle que l’écart de prix couvrirai et de loin les modifications nécessaire à rendre la SV aussi rigoureuse..
Pour vous, motard en quête d’un petit (mais viril) roadster original mais très abouti, elle est donc LA machine idéale, pour peu que l’esthétique vous plaise (il y’a aussi la V-Raptor pour ceux qui souhaiteraient pousser encore plus loin le concept) et que vous en trouviez une encore en stock ou en occasion… la production ne devant en effet pas reprendre avant le printemps 2003 si tout se passe bien du côté de Cagiva.
Points forts
* Comportement moteur et cycle
Points faibles
* Confort en duo
* Freinage arrière
* Finition
http://www.lerepairedesmotards.com/essais/motards/cagiva-raptor-650.php
Dernière édition par TA2010 le Ven 1 Oct 2010 - 10:08, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
pour cette acquistion !!!
Une belle moto avec un super moteur ..... plein de bonnes sensations !!! :D Et un joli bruit !!!
Une belle moto avec un super moteur ..... plein de bonnes sensations !!! :D Et un joli bruit !!!
ShArKmAn-
Nombre de messages : 4775
Age : 38
Localisation : Nouméa / Tontouta
Moto : 510 SMR HUSKY
Humeur : PAPA !!!!!........
Date d'inscription : 11/04/2010
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
Belle Moto !
va falloir que j'en essaye une pour voir si ça arrache bien !
va falloir que j'en essaye une pour voir si ça arrache bien !
MAGNUM-
Nombre de messages : 9829
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Localisation : Nouméa
Moto : Africa Twin - R 1200 GS
Humeur : Toujours prèt pour la boîte à Conneries
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Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
Tu veus changer de moto Mag ?
ShArKmAn-
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Moto : 510 SMR HUSKY
Humeur : PAPA !!!!!........
Date d'inscription : 11/04/2010
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
va falloir se préparer à cette idée !
Pas facile ! de toute façon , j'aimerais la garder !
Pas facile ! de toute façon , j'aimerais la garder !
MAGNUM-
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Localisation : Nouméa
Moto : Africa Twin - R 1200 GS
Humeur : Toujours prèt pour la boîte à Conneries
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Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
Ca s est sur ....on s y attache a ces petites betes ......... :D
ShArKmAn-
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Moto : 510 SMR HUSKY
Humeur : PAPA !!!!!........
Date d'inscription : 11/04/2010
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
Une pièce de musée qui roule super bien !
MAGNUM-
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Moto : Africa Twin - R 1200 GS
Humeur : Toujours prèt pour la boîte à Conneries
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Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
Ben voilààààààààààà !
Bonne acquisition !
Reste plus que le papillon rose ...et la tournée générale !
Bonne acquisition !
Reste plus que le papillon rose ...et la tournée générale !
lous-
Nombre de messages : 18470
Age : 51
Localisation : Robinson
Moto : Heu... 600 Bandit...
Humeur : ...
Date d'inscription : 29/07/2008
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
@ Buseman, merci
@ Lous, la tournée générale, c'est bien vous qui me l'a payée.. c'est ça ???.. pour avoir l'honneur d'essayer de rouler derrière moi, ça vaut bien ça..
Invité- Invité
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
TA2010 a écrit:
@ Buseman, merci
@ Lous, la tournée générale, c'est bien vous qui me l'a payée.. c'est ça ???.. pour avoir l'honneur d'essayer de rouler derrière moi, ça vaut bien ça..
là tu rêve c est toi qui paye ta tournée !!! en plus je viens !! :suspect: le seul problème c est que je ne peux pas rouler derrière car mon moteur se calaminer ! et en plus une jap est toujours devant une nouille italienne ! :dent:
mais trés belle moto !!! j ai hâte de te voire rouler !
neals-
Nombre de messages : 1352
Age : 49
Localisation : australie
Moto : en claquette jap!!!!
Humeur : du grand m'importe quoi !!!!
Date d'inscription : 29/05/2010
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
neals, mon ami.. que ta trottinette cale (amité) en bout de compte tour alors que je suis dans mon temps de chauffe, c'est pas grave... je te laisserai te consoler en t'embauchant comme préposé au nettoyage de la mienne de calamine.. mais attention, avec période d'essai..
Et puis, je te rappelle que c'est une belle métisse...
Blague mise à part.. ça y est, elle est dans le garage.. tranquille. Je lui ai dit de bien profiter de ce temps de pause, avant d'être sollicitée comme il se doit.
J'ai hâte de me voir rouler aussi.. :D.. je sens qu'on va vivre des moments forts toutes les deux..
Et puis, je te rappelle que c'est une belle métisse...
Blague mise à part.. ça y est, elle est dans le garage.. tranquille. Je lui ai dit de bien profiter de ce temps de pause, avant d'être sollicitée comme il se doit.
J'ai hâte de me voir rouler aussi.. :D.. je sens qu'on va vivre des moments forts toutes les deux..
Invité- Invité
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
TA2010 a écrit:
@ Buseman, merci
@ Lous, la tournée générale, c'est bien vous qui me l'a payée.. c'est ça ???.. pour avoir l'honneur d'essayer de rouler derrière moi, ça vaut bien ça..
Ben là ma poulette, je pense que la tournée papillon rose elle va être pour toi, pour nous faire partager ton bonheur de chevaucher ta belle, et pour nous remercier de tous nos encouragements!!!!!!
Kissss ben déso y'a pas de smiley copine...
rousse-
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Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
ouais, j'ai trouvé un site de smileys !!!
rousse-
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Humeur : जीवन सुंदर है
Date d'inscription : 26/08/2010
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
Je vois que mon ancienne moto a retrouvé chaussure à son pied.
Amuses toi bien avec, c'est une super bécane :D
Amuses toi bien avec, c'est une super bécane :D
Jo-3-
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Moto : Sur quatre roues...
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Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
Heyyyy... Salut Jo-3.... super contente de faire ta connaissance.. j'en suis très fière en effet.. merci à toi de l'avoir super bien entretenu.. :thanks: ..
Pour l'instant je me contente de la démarrer dans le garage et de me laisser bercer par son doux son...
tu tombes bien.. vraiment bien.. j'aurais une p'tite question la concernant. On a remarqué que son pot de gauche pourrait ne pas être bien aligné.. Est-ce dû à la chute qu'elle a fait dans le parking ?
Pour l'instant je me contente de la démarrer dans le garage et de me laisser bercer par son doux son...
tu tombes bien.. vraiment bien.. j'aurais une p'tite question la concernant. On a remarqué que son pot de gauche pourrait ne pas être bien aligné.. Est-ce dû à la chute qu'elle a fait dans le parking ?
Invité- Invité
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
... bon ben j'vois que tu t'es déconnecté sans répondre à ma question.. dois-je le prendre comme un aveu.. ou tu comptes me répondre plus tard ??....
Et pis.. bon.. comment t'le dire.. enfin tu vois quoi... je te serais très reconnaissante de bien vouloir euuhhhh.. avoir l'obligeance de euuuuhhhhh.. oui, c'est ça... tu as deviné... de changer de photo de ton profil....
Et pis.. bon.. comment t'le dire.. enfin tu vois quoi... je te serais très reconnaissante de bien vouloir euuhhhh.. avoir l'obligeance de euuuuhhhhh.. oui, c'est ça... tu as deviné... de changer de photo de ton profil....
Invité- Invité
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
TA2010 a écrit: Est-ce dû à la chute qu'elle a fait dans le parking ?
Comment, tu l'as déjà faite tombée ?
lous-
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Moto : Heu... 600 Bandit...
Humeur : ...
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Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
lous a écrit:
Comment, tu l'as déjà faite tombée ?
... non, c'est le vendeur qui l'a retrouvé couchée dans le parking du lycée bien avant que je ne l'achète.. mais pour revenir au pot, on s'en est aperçu la semaine dernière seulement. Le pot gauche est bien plus prêt de la moto que le pot droit..
Invité- Invité
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
Haha salut !
En effet le pot gauche est plus enfoncé que le pot droit... Je ne l'ai jamais faite tomber (si, si j'te jure). J'étais en prépa à Jules et en l'espace de deux ans et demi j'ai eu, par deux fois, la joie de retrouver ma moto par terre... C'est pour ça que j'ai changé les rétros et que, si tu les as récupéré, le pot d'origine gauche est légèrement rayé. J'ai essayé de le détordre mais malheureusement ça ne marche pas super.
Et c'est toi qui m'a piqué ma photo (non j'rigole j'vais la changer).
Bonne route, pour ma part j'attends de retrouver une bécane :cheers:
En effet le pot gauche est plus enfoncé que le pot droit... Je ne l'ai jamais faite tomber (si, si j'te jure). J'étais en prépa à Jules et en l'espace de deux ans et demi j'ai eu, par deux fois, la joie de retrouver ma moto par terre... C'est pour ça que j'ai changé les rétros et que, si tu les as récupéré, le pot d'origine gauche est légèrement rayé. J'ai essayé de le détordre mais malheureusement ça ne marche pas super.
Et c'est toi qui m'a piqué ma photo (non j'rigole j'vais la changer).
Bonne route, pour ma part j'attends de retrouver une bécane :cheers:
Jo-3-
Nombre de messages : 44
Age : 35
Localisation : Futuroscope - Chasseneuil du Poitou
Moto : Sur quatre roues...
Date d'inscription : 26/03/2009
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
ok Jo-3.. m'en doutais un peu pour la cause.. je ne savais pas qu'elle était tombée 2 fois au lycée... dis-moi, t'avais pas que des ami(e)s au bahut ??!!..
Bon, vais voir comment faire pour le redresser.. mais il est vrai qu'il faut vraiment avoir le nez dessus pour le remarquer..
Ton père m'a en effet remis toutes les pièces détachées: les anciens pots, guidon, rétro, antivol, etc. :D
Pour une nouvelle meule pour toi.. parait qu'une "certaine" autorité parentale ne souhaiterait pas qu'elle dépasse les 250cm3...
Bon, vais voir comment faire pour le redresser.. mais il est vrai qu'il faut vraiment avoir le nez dessus pour le remarquer..
Ton père m'a en effet remis toutes les pièces détachées: les anciens pots, guidon, rétro, antivol, etc. :D
Pour une nouvelle meule pour toi.. parait qu'une "certaine" autorité parentale ne souhaiterait pas qu'elle dépasse les 250cm3...
Invité- Invité
Re: (MA) CAGIVA RAPTOR 650
TA2010 a écrit:
Pour une nouvelle meule pour toi.. parait qu'une "certaine" autorité parentale ne souhaiterait pas qu'elle dépasse les 250cm3...
Rhooooo!!
rousse-
Nombre de messages : 7339
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Localisation : noumea
Moto : Bonnie
Humeur : जीवन सुंदर है
Date d'inscription : 26/08/2010
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