Vidéos conseil FFMC
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Forum de Motards en Nouvelle Calédonie :: LE COIN DES MOTARDS... :: LEGISLATION, INFOS TECHNIQUES, TUTOS
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Vidéos conseil FFMC
Je reprend le lien de ce cher GEMINI posté ailleurs et en fait un sujet, car c'est très bien fait !!
Simple, du bon sens, évident, mais un petit rappel ne fait pas de mal !
Le stationnement, ce n'est pas parceque une moto peut se garer presque n'importe où qu'il faut le faire n'importe comment:
Pour que circuler en interfile reste toléré ( ce n'est pas un droit ) et ne soit pas interdit, il faut le faire avec discernement et intelligence.
http://www.maxagaz.com/videos-conseils-ffmc69-ns-94.html
Re: Vidéos conseil FFMC
C'est du bon sens !
Dommage d'avoir à faire la leçon à des grandes personnes...
Dommage d'avoir à faire la leçon à des grandes personnes...
lous-
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Re: Vidéos conseil FFMC
Excellent montage vidéo qui devrait être présenté à tous les jeunes motards qui passent le permis...
En espérant ne jamais avoir besoin de s'en rappeler...
En espérant ne jamais avoir besoin de s'en rappeler...
Re: Vidéos conseil FFMC
Vous avez vu Fab comme je vous cherche de bonnes choses pour votre sujet ??? Chuis un bon p'tit gars hein ???
Dites Fab !!! je pourrais être "pilote d'exception" ???
Dites Fab !!! je pourrais être "pilote d'exception" ???
Invité- Invité
Re: Vidéos conseil FFMC
Rien à dire, t'es au top mon copain !!BUSEMAN a écrit:Vous avez vu Fab comme je vous cherche de bonnes choses pour votre sujet ??? Chuis un bon p'tit gars hein ???
BUSEMAN a écrit:Dites Fab!!! je pourrais être "pilote d'exception" ???
Re: Vidéos conseil FFMC
Suce burne tu dit ?
Polo-
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Date d'inscription : 27/04/2010
Re: Vidéos conseil FFMC
Communiqués de presse
L’Union Européenne veut mettre fin au bridage des motos à 100 chevaux
(le 1er octobre 2010)
Dans un memo publié aujourd’hui au sujet d’un projet de Directive, la Commission européenne indique vouloir supprimer le régime dérogatoire accordé à la France, lui permettant d’interdire l’immatriculation, sur son territoire, des motocyclettes de plus de 73,6 kilowatts (100 chevaux)*. La FFMC salue la victoire du bon sens européen sur les préjugés français !
Pour rappel, c’est par un décret du 30 novembre 1984 que l’État français a instauré la limitation de puissance des motocyclettes immatriculées sur son territoire à 100 chevaux, convaincu qu’il diminuerait ainsi le nombre d’accidents de la circulation impliquant ces usagers. En 1995, alors que les règles d’homologation des véhicules étaient devenues la compétence exclusive de l’Union européenne, la France avait réussi à négocier un régime dérogatoire, à l’origine à titre provisoire.
Quinze ans plus tard, et alors qu’aucune étude n’a permis d’établir un lien entre l’occurrence de l’accident et la puissance du véhicule, cette spécificité française est toujours en vigueur, au grand mépris de la libre circulation des personnes et des marchandises. Car si la « loi des 100 chevaux » n’a eu aucun effet en terme d’accidentalité, elle a permis à certains importateurs de protéger leurs marchés en empêchant les motards de faire jouer la pleine concurrence sur le marché commun. Pire, elle les a exposés à une précarité intolérable en cas d’accident, les assureurs pouvant refuser de prendre en charge un sinistre occasionné avec une moto remise dans sa configuration d’origine. C’est pour dénoncer cette réglementation liberticide et discriminatoire qu’en 2007 la FFMC a porté plainte contre l’État français avec 15 399 autres motards, et interpellé le Parlement européen en exerçant son droit de pétition.
Malgré le rejet de ces plaintes, il semble que la Commission ait finalement entendu les motards français et souhaite aujourd’hui mettre fin à cette réglementation injustifiée. Un sentiment partagé par le Conseil général des ponts et chaussées qui reconnaissait dans un rapport officiel publié en janvier 2008 que « le bilan des accidents de motos n’était pas meilleur (…) que dans des pays qui n’ appliquaient pas la limitation » et que « les vrais facteurs de risque, bien connus chez les motards, reposaient sur le comportement et l’utilisation non réfléchie qui était faite des performances (…). Or, ce comportement se manifeste dans la conduite d’engins de puissance bien inférieurs à la limite arbitraire de 100 ch. »
Le projet comporte également des propositions pour rendre obligatoire l’ABS sur les moyennes et grosses cylindrées, ainsi que des normes anti pollution plus contraignantes (euro 4, 5 &6). Si la FFMC est plutôt favorable à ces initiatives, elle s’inquiète de leur caractère obligatoire et notamment de l’incidence en matière de coût.
Certes, le projet doit maintenant être voté pour pouvoir entrer en vigueur dans quelques années. Cependant, la FFMC espère que le Gouvernement français n’attendra pas d’être contraint pour respecter ses engagements communautaires et tirera rapidement les leçons d’un tel désaveu de sa politique de sécurité routière, empreinte de fantasmes et de raccourcis insensés. Il suffira, pour cela, d’un simple décret…
Invité- Invité
Re: Vidéos conseil FFMC
Vu sur motoplanète:
Cette foutue loi des 100 chevaux, 100% et uniquement française, serait-elle sur le point de passer à la trappe ? A MP, on n’ose y croire, tant les annonces répétées ces dernières années se sont toutes soldées par un échec. Pourtant, il semblerait enfin qu’il y ait de l’avancée dans ce domaine. Dans un memo publié hier au sujet d’un projet de Directive, la Commission européenne indique vouloir supprimer le régime dérogatoire accordé à la France, lui permettant d’interdire l’immatriculation, sur son territoire, des motocyclettes de plus de 73,6 kilowatts (100 chevaux) .
La FFMC salue la victoire du bon sens européen sur les préjugés français !
Pour rappel, c’est par un décret du 30 novembre 1984 que l’État français a instauré la limitation de puissance des motocyclettes immatriculées sur son territoire à 100 chevaux, convaincu qu’il diminuerait ainsi le nombre d’accidents de la circulation impliquant ces usagers. En 1995, alors que les règles d’homologation des véhicules étaient devenues la compétence exclusive de l’Union européenne, la France avait réussi à négocier un régime dérogatoire, à l’origine à titre provisoire.
Quinze ans plus tard, et alors qu’aucune étude n’a permis d’établir un lien entre l’occurrence de l’accident et la puissance du véhicule, cette spécificité française est toujours en vigueur, au grand mépris de la libre circulation des personnes et des marchandises.
Car si la « loi des 100 chevaux » n’a eu aucun effet en terme d’accidentalité, elle a permis à certains importateurs de protéger leurs marchés en empêchant les motards de faire jouer la pleine concurrence sur le marché commun. Pire, elle les a exposés à une précarité intolérable en cas d’accident, les assureurs pouvant refuser de prendre en charge un sinistre occasionné avec une moto remise dans sa configuration d’origine.
C’est pour dénoncer cette réglementation liberticide et discriminatoire qu’en 2007 la FFMC a porté plainte contre l’État français avec 15 399 autres motards, et interpellé le Parlement européen en exerçant son droit de pétition.
Malgré le rejet de ces plaintes, il semble que la Commission ait finalement entendu les motards français et souhaite aujourd’hui mettre fin à cette réglementation injustifiée. Un sentiment partagé par le Conseil général des ponts et chaussées qui reconnaissait dans un rapport officiel publié en janvier 2008 que « le bilan des accidents de motos n’[était] pas meilleur (…) que dans des pays qui n’ [appliquaient] pas [la limitation] » et que « les vrais facteurs de risque, bien connus chez les motards, repos[aient] sur le comportement et l’utilisation non réfléchie qui [était] faite des performances (…). Or, ce comportement se manifeste dans la conduite d’engins de puissance bien inférieurs à la limite arbitraire de 100 ch. »
Le projet comporte également des propositions pour rendre obligatoire l’ABS sur les moyennes et grosses cylindrées, ainsi que des normes anti pollution plus contraignantes (euro 4, 5 & 6). Si la FFMC est plutôt favorable à ces initiatives, elle s’inquiète de leur caractère obligatoire et notamment de l’incidence en matière de coût.
Certes, le projet doit maintenant être voté pour pouvoir entrer en vigueur dans quelques années. Cependant, la FFMC espère que le Gouvernement français n’attendra pas d’être contraint pour respecter ses engagements communautaires et tirera rapidement les leçons d’un tel désaveu de sa politique de sécurité routière, empreinte de fantasmes et de raccourcis insensés. Il suffira, pour cela, d’un simple décret… Encore quelques mois, quelques années à attendre. Mais combien ?
Cette foutue loi des 100 chevaux, 100% et uniquement française, serait-elle sur le point de passer à la trappe ? A MP, on n’ose y croire, tant les annonces répétées ces dernières années se sont toutes soldées par un échec. Pourtant, il semblerait enfin qu’il y ait de l’avancée dans ce domaine. Dans un memo publié hier au sujet d’un projet de Directive, la Commission européenne indique vouloir supprimer le régime dérogatoire accordé à la France, lui permettant d’interdire l’immatriculation, sur son territoire, des motocyclettes de plus de 73,6 kilowatts (100 chevaux) .
La FFMC salue la victoire du bon sens européen sur les préjugés français !
Pour rappel, c’est par un décret du 30 novembre 1984 que l’État français a instauré la limitation de puissance des motocyclettes immatriculées sur son territoire à 100 chevaux, convaincu qu’il diminuerait ainsi le nombre d’accidents de la circulation impliquant ces usagers. En 1995, alors que les règles d’homologation des véhicules étaient devenues la compétence exclusive de l’Union européenne, la France avait réussi à négocier un régime dérogatoire, à l’origine à titre provisoire.
Quinze ans plus tard, et alors qu’aucune étude n’a permis d’établir un lien entre l’occurrence de l’accident et la puissance du véhicule, cette spécificité française est toujours en vigueur, au grand mépris de la libre circulation des personnes et des marchandises.
Car si la « loi des 100 chevaux » n’a eu aucun effet en terme d’accidentalité, elle a permis à certains importateurs de protéger leurs marchés en empêchant les motards de faire jouer la pleine concurrence sur le marché commun. Pire, elle les a exposés à une précarité intolérable en cas d’accident, les assureurs pouvant refuser de prendre en charge un sinistre occasionné avec une moto remise dans sa configuration d’origine.
C’est pour dénoncer cette réglementation liberticide et discriminatoire qu’en 2007 la FFMC a porté plainte contre l’État français avec 15 399 autres motards, et interpellé le Parlement européen en exerçant son droit de pétition.
Malgré le rejet de ces plaintes, il semble que la Commission ait finalement entendu les motards français et souhaite aujourd’hui mettre fin à cette réglementation injustifiée. Un sentiment partagé par le Conseil général des ponts et chaussées qui reconnaissait dans un rapport officiel publié en janvier 2008 que « le bilan des accidents de motos n’[était] pas meilleur (…) que dans des pays qui n’ [appliquaient] pas [la limitation] » et que « les vrais facteurs de risque, bien connus chez les motards, repos[aient] sur le comportement et l’utilisation non réfléchie qui [était] faite des performances (…). Or, ce comportement se manifeste dans la conduite d’engins de puissance bien inférieurs à la limite arbitraire de 100 ch. »
Le projet comporte également des propositions pour rendre obligatoire l’ABS sur les moyennes et grosses cylindrées, ainsi que des normes anti pollution plus contraignantes (euro 4, 5 & 6). Si la FFMC est plutôt favorable à ces initiatives, elle s’inquiète de leur caractère obligatoire et notamment de l’incidence en matière de coût.
Certes, le projet doit maintenant être voté pour pouvoir entrer en vigueur dans quelques années. Cependant, la FFMC espère que le Gouvernement français n’attendra pas d’être contraint pour respecter ses engagements communautaires et tirera rapidement les leçons d’un tel désaveu de sa politique de sécurité routière, empreinte de fantasmes et de raccourcis insensés. Il suffira, pour cela, d’un simple décret… Encore quelques mois, quelques années à attendre. Mais combien ?
gemini-
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Humeur : 3, 2, je vais finir avec un gromono!
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Re: Vidéos conseil FFMC
La réponse a déjà été donnée par le tribunal européen ...
à savoir :
En matière de sécurité les états sont souverains.
C'est justement cette directive dont on parle ici et si elle était modifiée la décision du tribunal serait différente. Il ne fait que faire respecter les directives. Même si la directive change, même si le tribunal donne raison aux plaignants, le decret Français ne sera pas abrogé.
Donc aucun espoir à avoir ni à droite ni à gauche.
Tu ne peux jurer de l'avenir plus ou moins lointain mais la seule chose dont on peut à peu prés être certains c'est que jusqu'en 2012 il n'y a aucun espoir de changement. N'oublions pas que ce décret est un décret d'un gouvernement et d'un ministre de gauche. S'il n'y avait qu'une seule infime chance que ce décret soit abrogé, c'est bien par un gouvernement de gauche, celui de droite à fond dans la lutte contre l'insécurité routière ne va pas risquer d'abroger un décret de gauche. Ce serait encore donner le baton pour se faire battre ! Maintenant voter à gauche juste dans l'espoir, infime, de voir ce décret abrogé .....chacun pèsera le pour et le contre.
Une telle démarche de la part de la FFMC ne peut être que financière c'est à dire encarter un max pour encaisser les cotisations et les dons des pouvoirs publics.
Comme toutes les associations de défense des consommateurs. Ce qui serait logique, si ce décret est abrogé, serait que seuls les adhérents ayant financé la lutte, ayant manifesté, ayant soutenu le combat en bénéficient. Mais comme d'habitude, ceux qui auront craché dans la soupe seront les premiers à vouloir en bénéficier. Le monde est ainsi fait !
J'ai toujours en travers de la gorge les motards qui s'étaient précipités dans les bureaux de tabac pour achter leur vignette moto, pendant que j'étais avec les autres à manifester contre cette loi et à consommer de l'essence, pour qu'une fois la loi retirée ils aillent vite se faire rembourser cette vignette !
à savoir :
En matière de sécurité les états sont souverains.
C'est justement cette directive dont on parle ici et si elle était modifiée la décision du tribunal serait différente. Il ne fait que faire respecter les directives. Même si la directive change, même si le tribunal donne raison aux plaignants, le decret Français ne sera pas abrogé.
Donc aucun espoir à avoir ni à droite ni à gauche.
Tu ne peux jurer de l'avenir plus ou moins lointain mais la seule chose dont on peut à peu prés être certains c'est que jusqu'en 2012 il n'y a aucun espoir de changement. N'oublions pas que ce décret est un décret d'un gouvernement et d'un ministre de gauche. S'il n'y avait qu'une seule infime chance que ce décret soit abrogé, c'est bien par un gouvernement de gauche, celui de droite à fond dans la lutte contre l'insécurité routière ne va pas risquer d'abroger un décret de gauche. Ce serait encore donner le baton pour se faire battre ! Maintenant voter à gauche juste dans l'espoir, infime, de voir ce décret abrogé .....chacun pèsera le pour et le contre.
Une telle démarche de la part de la FFMC ne peut être que financière c'est à dire encarter un max pour encaisser les cotisations et les dons des pouvoirs publics.
Comme toutes les associations de défense des consommateurs. Ce qui serait logique, si ce décret est abrogé, serait que seuls les adhérents ayant financé la lutte, ayant manifesté, ayant soutenu le combat en bénéficient. Mais comme d'habitude, ceux qui auront craché dans la soupe seront les premiers à vouloir en bénéficier. Le monde est ainsi fait !
J'ai toujours en travers de la gorge les motards qui s'étaient précipités dans les bureaux de tabac pour achter leur vignette moto, pendant que j'étais avec les autres à manifester contre cette loi et à consommer de l'essence, pour qu'une fois la loi retirée ils aillent vite se faire rembourser cette vignette !
Invité- Invité
Re: Vidéos conseil FFMC
Sarko le scootard : on le boucle !
Si le président de la République, Nicolas Sarkozy, était un citoyen ordinaire, cet été, il aurait perdu trois points sur son permis de conduire et serait redevable d’une amende de 135 euros. La preuve par la presse people, et plus précisément par le numéro 1189 de Voici, du 21 août 2010.
Mais quelle faute a donc commise le président de la République Nicolas Sarkozy quand il se baladait cet été sur son scooter Piaggio aux abords du Cap Nègre ?
Gagné, il roulait à scooter avec un casque non attaché, ce qui est puni par l’article R431-1 du Code de la route (lire ci-après).
Message douteux
En dehors de cette infraction, le message que fait passer le président est pour le moins douteux : pendant que, d’un côté, son fidèle lieutenant, le ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux, annonce que les policiers vont frapper fort sur les motards, voilà Nicolas Sarkozy qui se promène, l’air nonchalant voire un brin provocateur, sur un scooter, le casque non attaché.
Sans gants…
Nous lui conseillerons également de faire attention à ses menottes, mal protégées. Rouler sans gants n’est pas une infraction en soi. Mais c’est dangereux pour les articulations.
S’il tombe, il risque d’avoir du mal à signer des décrets anti-moto pendant un bon bout de temps…
Sans blouson…
Le fait de rouler chemise ouverte est tout autant toléré. Ce n’est cependant pas conseillé, les moustiques, guêpes et autres frelons pourraient le piquer au torse et au cou. Dur d’enfiler le costard cravate sur les piqûres d’insecte…
Verdict : une nonchalance malvenue !
C’est vrai, le temps des vacances estivales est celui de la décontraction. Mais cela n’empêche pas un minimum de vigilance, sur son propre corps comme sur les messages qu’on véhicule quand on est un personnage public.
D’autant que Nicolas Sarkozy, dans ce rôle de conducteur de scooter, n’est pas totalement en vacances : il reste en représentation, il fait de la communication…
Si le président de la République, Nicolas Sarkozy, était un citoyen ordinaire, cet été, il aurait perdu trois points sur son permis de conduire et serait redevable d’une amende de 135 euros. La preuve par la presse people, et plus précisément par le numéro 1189 de Voici, du 21 août 2010.
Mais quelle faute a donc commise le président de la République Nicolas Sarkozy quand il se baladait cet été sur son scooter Piaggio aux abords du Cap Nègre ?
Gagné, il roulait à scooter avec un casque non attaché, ce qui est puni par l’article R431-1 du Code de la route (lire ci-après).
Message douteux
En dehors de cette infraction, le message que fait passer le président est pour le moins douteux : pendant que, d’un côté, son fidèle lieutenant, le ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux, annonce que les policiers vont frapper fort sur les motards, voilà Nicolas Sarkozy qui se promène, l’air nonchalant voire un brin provocateur, sur un scooter, le casque non attaché.
Sans gants…
Nous lui conseillerons également de faire attention à ses menottes, mal protégées. Rouler sans gants n’est pas une infraction en soi. Mais c’est dangereux pour les articulations.
S’il tombe, il risque d’avoir du mal à signer des décrets anti-moto pendant un bon bout de temps…
Sans blouson…
Le fait de rouler chemise ouverte est tout autant toléré. Ce n’est cependant pas conseillé, les moustiques, guêpes et autres frelons pourraient le piquer au torse et au cou. Dur d’enfiler le costard cravate sur les piqûres d’insecte…
Verdict : une nonchalance malvenue !
C’est vrai, le temps des vacances estivales est celui de la décontraction. Mais cela n’empêche pas un minimum de vigilance, sur son propre corps comme sur les messages qu’on véhicule quand on est un personnage public.
D’autant que Nicolas Sarkozy, dans ce rôle de conducteur de scooter, n’est pas totalement en vacances : il reste en représentation, il fait de la communication…
Invité- Invité
Re: Vidéos conseil FFMC
L image du mec cool qui roule en scooter pendant ses vacances se retourne contre lui .....
ShArKmAn-
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Localisation : Nouméa / Tontouta
Moto : 510 SMR HUSKY
Humeur : PAPA !!!!!........
Date d'inscription : 11/04/2010
Re: Vidéos conseil FFMC
Et c'est surtout que quelques mois auparavant, il avait descendu Frédéric Mitterrand qui avait chuté avec son scoot ...
Nicolas Sarkozy : "Un ministre, ça ne se déplace pas en mobylette !"
Visiblement, l’épisode de la chute de Frédéric Mitterrand a agacé notre président... « Un ministre, ça ne se déplace pas en mobylette ! » Cette phrase, relevée par Francesoir.fr, sortie de la bouche de Nicolas Sarkozy au premier Conseil des ministres de la rentrée, s’adressait directement au ministre de la Culture.
En effet, dans la nuit du 3 janvier dernier, Frédéric Mitterrand a fait une chute de scooter sans gravité sur une plaque de verglas. Un petit malheur somme toute banal pour les motards, mais qui avait fait grand bruit dans les médias. Blessé à l’épaule, Mitterrand sortait de l’hôpital Percy de Clamart (92) tout souriant le lendemain.
Une mésaventure qui a semble-t-il agacé le petit Nicolas. Les mobylettes (ou les scooters plutôt) ne sont pas faites pour les ministres. Évidemment monsieur Mitterrand, pourquoi prendre une mob’ quand on a à disposition une voiture avec chauffeur ?
Une petite phrase qui, soit dit en passant, donne un indice sur la considération du Président pour le cas des deux-roues motorisés. Mais ne jugeons pas la pensée d’un homme sur une unique phrase et mettons cela sur le compte de l’énervement.
Nicolas Sarkozy a de quoi s’agacer à la vision des bras cassés qui peuplent son gouvernement. En effet, Laurent Wauquiez, secrétaire d’État à l’Emploi, porte lui aussi une écharpe, pour un accident de ski. Peut-être bientôt une concertation nationale sur les sports d’hiver pour trouver une solution à ce nouveau fléau ?
(Source : francesoir.fr)
Nicolas Sarkozy : "Un ministre, ça ne se déplace pas en mobylette !"
Visiblement, l’épisode de la chute de Frédéric Mitterrand a agacé notre président... « Un ministre, ça ne se déplace pas en mobylette ! » Cette phrase, relevée par Francesoir.fr, sortie de la bouche de Nicolas Sarkozy au premier Conseil des ministres de la rentrée, s’adressait directement au ministre de la Culture.
En effet, dans la nuit du 3 janvier dernier, Frédéric Mitterrand a fait une chute de scooter sans gravité sur une plaque de verglas. Un petit malheur somme toute banal pour les motards, mais qui avait fait grand bruit dans les médias. Blessé à l’épaule, Mitterrand sortait de l’hôpital Percy de Clamart (92) tout souriant le lendemain.
Une mésaventure qui a semble-t-il agacé le petit Nicolas. Les mobylettes (ou les scooters plutôt) ne sont pas faites pour les ministres. Évidemment monsieur Mitterrand, pourquoi prendre une mob’ quand on a à disposition une voiture avec chauffeur ?
Une petite phrase qui, soit dit en passant, donne un indice sur la considération du Président pour le cas des deux-roues motorisés. Mais ne jugeons pas la pensée d’un homme sur une unique phrase et mettons cela sur le compte de l’énervement.
Nicolas Sarkozy a de quoi s’agacer à la vision des bras cassés qui peuplent son gouvernement. En effet, Laurent Wauquiez, secrétaire d’État à l’Emploi, porte lui aussi une écharpe, pour un accident de ski. Peut-être bientôt une concertation nationale sur les sports d’hiver pour trouver une solution à ce nouveau fléau ?
(Source : francesoir.fr)
Invité- Invité
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