Ducati Diavel
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cobalt57co
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cobalt57co-
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Yamaha VMax vs Ducati Diavel : Elles se défient sur 400 m [vidéo] (Caradisiac Moto)
Yamaha VMax vs Ducati Diavel : Elles se défient sur 400 m [vidéo]
Par Olivier Breselec - le Mercredi 20 avril 2011
Dans le rayon avion de chasse des constructeurs de motos, il y avait jusqu'à quelques mois encore, uniquement la Yamaha 1700 VMax.
Mais en Italie, en plus de faire des pizzas et des spaghettis, on aime faire des motos qui envoient la purée. Dites bonjour au Ducati Diavel...
Pour départager ces deux bombes, rien de tel qu'un 400 mètres départ arrêté.
Prenez donc une piste prévue à cet effet. Invitez une paire d'essoreurs et fournissez leur une VMax et un Diavel au top de leur forme.
A
ma gauche, l'Italienne et son V2 de 1198 cc qui développe 162 chevaux pour 225 kilos. A ma droite, la Japonaise et son V4 de 1700 cc qui sort 200 canassons pour un poids de 310 kilos. Puis comme vous allez le constater, il n'y a pas que le chrono qui prend une claque, le gommard arrière et l'embrayage en prennent aussi pour leur grade. Mais qu'est ce que c'est bon !!
Qui de la Yamaha ou de la Ducati va gagner ce round !?... la réponse dans la vidéo ci-dessous...
Par Olivier Breselec - le Mercredi 20 avril 2011
Dans le rayon avion de chasse des constructeurs de motos, il y avait jusqu'à quelques mois encore, uniquement la Yamaha 1700 VMax.
Mais en Italie, en plus de faire des pizzas et des spaghettis, on aime faire des motos qui envoient la purée. Dites bonjour au Ducati Diavel...
Pour départager ces deux bombes, rien de tel qu'un 400 mètres départ arrêté.
Prenez donc une piste prévue à cet effet. Invitez une paire d'essoreurs et fournissez leur une VMax et un Diavel au top de leur forme.
A
ma gauche, l'Italienne et son V2 de 1198 cc qui développe 162 chevaux pour 225 kilos. A ma droite, la Japonaise et son V4 de 1700 cc qui sort 200 canassons pour un poids de 310 kilos. Puis comme vous allez le constater, il n'y a pas que le chrono qui prend une claque, le gommard arrière et l'embrayage en prennent aussi pour leur grade. Mais qu'est ce que c'est bon !!
Qui de la Yamaha ou de la Ducati va gagner ce round !?... la réponse dans la vidéo ci-dessous...
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Video - Ducati: Le Diavel le vrai faux custom ? La piste dit oui !
Video - Ducati: Le Diavel le vrai faux custom ? La piste dit oui !
Par André Lecondé - le Mercredi 27 avril 2011
Depuis qu'il est sorti, ce diable de Diavel est mis dans toutes les situations possibles. Dragster à ses heures bavec la concurrence, le voilà chez les Américains de Hells for Leather en pistard inattendu, en référence à sa vocation de custom.
Mais le brêlon est une Ducati et arborer ce blason c'est assumer des gênes qui sentent bon la compétition. Regarder ce que les Italiens ont fait en pensant à un trail. Et au vu des images filmées à partir d'une Suzuki GSX/R, force est de relever que le Diavel est au custom ce que le Multistrada est au genre sorti du désert : à peu près ce qui est prévu, mais aussi un peu autre chose !
Il ne faut donc pas se fier aux apparences avec Ducati. Maintenant, si le Diavel commence à tailler des croupières aux 848, on ne va plus savoir où donner de la tête à Bologne !
Vidéos entières reprises directement sur Youtube de la source:
Part 1: Putting our demo Ducati Diavel Carbon through its paces at Pacific Raceways. So much acceleration it's ridiculous.
Part 2: Ducati Diavel Carbon followed by GSXR750 supersport bike at Pacific Raceways. Awesome.
Par André Lecondé - le Mercredi 27 avril 2011
Depuis qu'il est sorti, ce diable de Diavel est mis dans toutes les situations possibles. Dragster à ses heures bavec la concurrence, le voilà chez les Américains de Hells for Leather en pistard inattendu, en référence à sa vocation de custom.
Mais le brêlon est une Ducati et arborer ce blason c'est assumer des gênes qui sentent bon la compétition. Regarder ce que les Italiens ont fait en pensant à un trail. Et au vu des images filmées à partir d'une Suzuki GSX/R, force est de relever que le Diavel est au custom ce que le Multistrada est au genre sorti du désert : à peu près ce qui est prévu, mais aussi un peu autre chose !
Il ne faut donc pas se fier aux apparences avec Ducati. Maintenant, si le Diavel commence à tailler des croupières aux 848, on ne va plus savoir où donner de la tête à Bologne !
Vidéos entières reprises directement sur Youtube de la source:
Part 1: Putting our demo Ducati Diavel Carbon through its paces at Pacific Raceways. So much acceleration it's ridiculous.
Part 2: Ducati Diavel Carbon followed by GSXR750 supersport bike at Pacific Raceways. Awesome.
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Essai Ducati Diavel 2011 : ascenseur pour l'enfer [+vidéo] (Caradisiac Moto)
Essai Ducati Diavel 2011 : ascenseur pour l'enfer [ vidéo]
Par Pauline Rachwal - le Mercredi 04 mai 2011
Diaporama
SOMMAIRE (Sur Caradisiac Moto)
1. Ducati Diavel 2011 : l'énigmatique Monsieur D
C’est à s’en faire taper les doigts par Ducati, je vous jure ! Et oui, la marque est si fière de sa nouveauté qu’il est très difficile de ne pas se faire corriger quand on féminise un peu trop la bête. C’est LE Diavel et non LA Daviel, il y a intérêt à ce que ça rentre !
Le power cruiser s’affiche clairement et met en concurrence des machines comme la Yamaha Vmax. Lors de la présentation à Milan la première question qui est venue à l’esprit des invités c’est « mais ça va pas être lourd à emmener ? Surtout avec un pneu de 240 mm ? ». Mais c’était sans compter que Ducati a déjà pensé à tout et à fait shaper un pneu pour ne pas mettre à mal la maniabilité du Diavel.
Bourré d’électronique, une liste plus que correcte d’équipements (en option), une bouille qui ne vous donne pas la possibilité de passer inaperçu (sans parler du bruit), le Diavel veut parer à toutes les possibilités et toutes les attentes.
C’est donc avec une grande curiosité que Caradisiac moto s’est installé au guidon d’une machine qui fait sortir la marque italienne de ses sentiers battus.
Un pari risqué ? On a mené l'enquête.
2. Ducati Diavel 2011 : le paradis des mauvais garçons ?
Ne pas passer inaperçu, provoquer le désir, voilà la ligne de conduite de Ducati et son nouveau Diavel ne fait pas exception. Cette machine a suscité depuis sa présentation des avis tranchés. D’ailleurs nous avions pu constater dans les colonnes de Caradisiac Moto votre position assez négative sur cette nouveauté. Le côté puriste du motard qui est assez sensible aux changements ? Sûrement. Les photos qui mettent mal en avant les lignes du Diavel ? Probable. Nous avons voulu en avoir le cœur net et prendre en main nous même la bête pour rendre compte. Une chose à dire : ne pas se fier aux apparences.
Une fois qu’on a le Diavel face à soi, on remarque qu’il ne parait pas si imposant que sur les photos officielles. Très basse mais aussi très compactes, les lignes de la machine se fondent et le gros réservoir par exemple ne parait plus l’être tant que ça. On est loin des angles taillés à la serpe et lignes très cassées en vogue ces dernières années chez les constructeurs.
Ducati a fait le choix de présenter une machine avec des courbes généreuses et un avant qui s’équilibre avec le gros pneu arrière de 240 mm et son derrière large et suspendu.
Le feu avant (un petit rappel de la gamme Monster ?) plonge sur l’avant et vient carrément se confondre avec les entrées d’air de part et d’autre du réservoir. On ne parle pas des fourches avant qui disparaissent totalement. La finition est globalement correcte, avec tout de même une peinture que l’on craint un peu fragile aux rayures. On a tout de même apprécié certains détails de finitions comme les couvercles de liquide de freins frappés du nom Ducati (tout comme le garde-boue avant), les deux pare-projections fixés entre l’avant du réservoir et les fourches avant ou encore le soin apporté au confort du passager avec des magnifiques cale-pieds arrière qui viennent se confondre avec le design et des poignées rétractables qui disparaissent sous la selle à l’aide d’un poussoir situé sous la selle.
Là où le Diavel peut se démarquer c’est au niveau de son instrumentation. Avec un double écran (dont un en TFT couleur), on se sait plus trop où donner de la tête quand on n’a pas l’habitude. Outre le fait de pouvoir régler le mode de conduite (urban, touring, sport), on peut régler la sensibilité du DTC (Ducati Traction Control), la mise en route ou non de l’ABS, conso instantanée ou moyenne, rapport engagé ou encore le temps de parcours. Et dans tout cet étalage d’information, manque tout de même une des plus importantes : une jauge d’essence ! Il faudra se contenter d’un voyant et d’un trip de réserve.
Du côté du pilote, on ne peut qu’apprécier l’attention que Ducati sur les détails. Plus besoin de clé de démarrage, cette dernière pourra rester dans la poche grâce à son système de détection pour un démarrage automatique sur les commandes du coupe circuit. Et si vous avez oublié la clé chez vous, pas de soucis, Ducati a pensé à vous avec un bouton placé devant le bouchon de réservoir qui vous donnera accès à une interface où vous rentrer un code à 4 chiffres défini avec le concessionnaire lors de l’achat. Mais le petit plus que l’on a vraiment apprécié, c’est l’ergonomie de la selle et son confort. Un vrai plus chez la marque italienne plutôt habitué aux selles béton armé. Bon ce n’est pas le tout, mais qu’est ce qu’il vaut ce Diavel ?
Déjà la première chose qui frappe une fois en selle, c’est la répartition des masses. Pour une machine qui approche les 240 kilos les pleins faits, elle est d’une facilité déconcertante en ce qui concerne les manœuvres à l’arrêt, aidé en plus de son rayon de braquage assez petit pour ce type de catégorie, c’est un bonheur. Mais nous n’étions pas au bout de nos surprises, car cette facilité de manœuvre se retrouve aussi bien dans la basse vitesse.
Plus habituée aux mouvements patauds sur ce type de machine, le Diavel se démarquera sans aucun doute sur ce point, même si on reste loin tout de même d’un roadster ou d’un scooter.
La position sera légèrement sur l’avant autant pour les bras que pour les jambes. La mélodie très rauque du bicylindre Testastretta est envoutant à bas régime attirant l’œil des passants.
Et oui, cette moto a l’art de se faire remarquer dans la rue. Les questions fusent, les remarques aussi, les têtes se tournent, ça en deviendrait presque gênant. Si vous voulez passer inaperçu, ce n’est vraiment pas la bonne machine pour ça. La seule chose en ville qui vient gâcher le plaisir de la prise en main est sans conteste la chaleur dégagée par le moteur et qui vient vous réchauffer ainsi que le cadre treillis. Il ne sera pas rare de voir le Diavel monter à 103° (phase de déclenchement du refroidissement) puis redescendre en température assez bruyamment.
Une fois engagée en voie rapide, c’est la que le Diavel commence à montrer le bout de son caractère. Les 12,7 mkg offre une grande facilité dans les accélérations pour s’engager. Inutile de penser au rapport dans lequel on se trouve. On tourne la poignée et hop ça tracte ! On aurait pu penser d’ailleurs que les plages d’accélérations seraient trop longues, mais non, juste ce qu’il faut. Le bruit rauque du Diavel a tendance à s’étouffer passé les 5000 tr/min pour revenir de plus bel une fois arrivée en haut régime.
On s’amuserait limite dans la circulation à ouvrir la poignée en grand juste pour ressentir le bicylindre s’élancer si passé les 140 km/h le vent s’engouffrait pas si violemment contre soi. La forme du bloc avant anéanti toutes formes d’espoir d’une toute petite protection. Dans les longs couloirs des voies rapides, le Diavel navigue tranquillement d’une voie à l’autre, pas de question à se poser, ça va tout seul. Une voiture qui déboite sans clignotant, pas de soucis, on prend les freins, le Diavel s’écrase et ralenti. Certain d’ailleurs pourront ne pas apprécier la trop grande progressivité des freins. En effet il faut vraiment appuyer sur le levier pour sentir la bête ralentir. Problème de poids ? Probablement, car des double disques de 320 mm, montés en étriers radiaux Brembo s’avèrerait plus « mordant » sur une machine plus légère.
Et sur route ça donne quoi ? Et bien un sentiment de plaisir et d’une grande frustration en même temps. Une immense plaisir d’exploiter ce moulin plein partout, qui relance à la moindre sollicitation et qui en plus donne l’impression d’avoir une immense paire de ……….. à chaque accélération. D’ailleurs pour les enragés du guidon le Ducati Traction Control (réglable dans le menu de la moto) évitera la sur-confiance en soi dans la poignée des gaz et de voir la roue avant partir.
Et une frustration, car commence à sentir les limites de la partie cycle dès que les virages se resserrent. Le Diavel est stable en grande courbe, c’est indéniable. On tire sur le guidon, on le place et hop ça passe. On peut même enchainer de grands virages sans difficulté.
Mais comme dit plus haut, dès que les routes deviennent plus viroleuses, son poids commence à s’en ressentir et il faudra user de plus de force pour la faire basculer d’un côté ou d’un autre.
Reste les suspensions. Ahhhh les suspensions… Sur certaines portions de routes, mon dos s’en souvient encore. Bien équilibrés en réglages d’origine pour la majorité des revêtements routiers, elles s’avéreront trop sèches sur des routes dégradées. Le retour pourra s’en faire ressentir, heureusement amortie par le confort de la selle. Quelques réglages pour les dos délicats pourront solutionner le problème.
3. Ducati Diavel 2011 : l'avis de la rédaction [ fiche technique]
Une surprise donc de la part de Ducati pour cette saison 2011, mais une bonne surprise au final Beaucoup de monde attendait au tournant cette nouvelle moto, surtout en ce qui concerne la maniabilité, le point faible de ses concurrentes.
C’est une machine plutôt impressionnante d’un point de vue esthétique et technique et qui d’abord ne met pas vraiment en confiance. A contrario, une fois en selle, elle se montre docile sur bien des terrains.
Le moteur bicylindre Testastretta, 4 soupapes par cylindre est étonnant de facilité d’exploitation grâce à ses régimes « plein partout ».On aura apprécié l’homogénéité du Diavel et le gros travail qu’a fourni Ducati sur la répartition des masses. Avec une conso moyenne de 6,8 litres/100km (toutes routes confondues), elle saura d’autant plus se faire apprécier par rapport à la concurrence.
Trois versions sont disponibles : standard (celle de l’essai), la version Carbon et Carbon Red.
PS : A l’heure de la diffusion de l’essai, le délai de livraison est de 3 mois.
Caradisiac moto a aimé :
Look
Moteur
Facilité de conduite
Caradisiac moto n'a pas aimé :
Suspensions sur revêtement dégradé
Limite sur routes sinueuses
Prix des versions Carbon
Les Prix :
Base : rouge ou noir : 16 990 euros
Carbon : 19 990 euros
Carbon red: 20 390 euros
Les accessoires :
Antivol : 274,00 :euros
Béquille arrière à box : 186,00 euros
Bouchons de cadre : 149,00 euros
Bulle Roadster : 209,00 euros
Bulle Touring : 274,00 euros
Cache pignon en carbone : 139,00 euros
Cache réservoir de carburant en carbone : 357,00 euros
Caches réservoirs : 99,00 euros
Cadenas bloque-disque :38,87 euros
Capot de selle passager en carbone : 298,00 euros
Colliers latéraux au-dessous du réservoir :314,00 euros
Couvre tableau de bord inférieur en carbone : 238,00 euros
Embout moteur : 456,00 euros
Garde-boue arrière en carbone : 314,00 euros
Garde-boue avant en carbone : 267,00 euros
GPS : 697,00 euros
Housse de protection moto : 224,00 euros
Kit couvercles cache-courroies en carbone : 418,00 euros
Kit poignées : 238,00 euros
Kit réparation pneus : 89,70 euros
Kit silencieux homologué en acier inoxydable : 1742,57 euros
Kit support de plaque d'immatriculation : 99,00 euros
Protection réservoir en carbone : 54,00 euros
Protection transparente pour réservoir : 25,00 euros
Sac arrière : 238,00 euros
Sac de réservoir : 279,00 euros
Selle Low Ride : 178,00 euros
Selle Roadster en cuir : 238,00 euros
Selle Tourer : 178,00 euros
Système d'échappement complet : 2.571,00 euros
Testeur et chargeur de batterie automatique : 177,91 euros
Fiche Technique :
Moteur : Testastretta 11°, bicylindre en L, distribution Desmodromique, 4 soupapes par cylindre, refroidissement liquide
Cylindrée : 1198,4cc
Alésage x course : 106 x 67,9mm
Rapport volumétrique : 11,5:1
Puissance : 162 CV - 119,1 kw @ 9500trs/min
Couple : 13mkg - 127,5Nm @8000trs/min
Alimentation : Injection électronique Mitsubishi, corps papillon elliptiques avec système Ride-by-wire
Échappement : Silencieux en acier inoxydable, embouts et protections en aluminium; catalyseur et 2 sondes lambda
Transmission : 6 vitesses
Boîte de vitesse : 1=37/15 2=30/17 3=27/20 4=24/22 5=23/24 6=22/25
DTC : équipement de série
Transmission secondaire : Engrenage à taille droite, Ratio 1.84:11
Transmission primaire : Pignon 15; Couronne 43
Embrayage : Multidisque à bain d'huile avec commande hydraulique, Système assisté et antidribble
Homologation : Euro 3
Cadre : Treillis tubulaire en acier
Empattement : 1590 mm
Angle de chasse28°
Suspension avant : Fourche Marzocchi de 50mm entièrement réglable
Débattement roue avant : 120 mm
Roue avant : En alliage léger, 14 branches 3,50 x 17
Pneu avant : 120/70 ZR 17 Pirelli Diablo Rosso II
Suspension arrière : Progressive avec mono amortisseur Sachs entièrement réglable. Monobras oscillant en aluminium
Débattement roue arrière : 120 mm
Roue arrière : En alliage léger, 14 branches 8,00 x 17
Pneu arrière : 240/45 ZR17 Pirelli Diablo Rosso II
Frein avant : 2 disques semi-flottants de 320mm, étriers Brembo Monobloc à fixation radiale, 4 pistons. ABS de série
Frein arrière : Disque de 265 mm, pince flottante à 2 pistons et ABS
Capacité réservoir à essence : 17 l
Poids : 210kg
Instrumentation :
Tableau de bord digital avec affichage LCD sur le guidon: Vitesse, trs/min, temp liquide refroidissement.
Témoin lumineux pour : neutre, clignotants, plein phare, surrégime, intervention DTC, statu ABS, pression d'huile, réserve essence.
Tableau de bord avec écran couleur TFT sur le réservoir: vitesse enclenchée, température d'air, voltage batterie, trips 1&2, trip réserve essence, consommation essence et vitesse instantanée et moyenne, durée du parcours, maintenance programmée.
Statu et gestion des Riding Modes, DTC, RbW et ABS.
Garantie : 2 ans kilométrage illimité
Coloris cadre et jantes : Red (rouge / noir) - Pearl White Silk and Metallic Black (noir / noir)
Hauteur de selle : 770mm
4. Ducati Diavel 2011 : détails et portfolio [ 46 photos]
On appréciera l'écran TFT, un vrai plus pratique et d'une certaine qualité esthétique.
Les boutons qui permettent de naviguer dans le menu du tableau de bord.
Le capot de selle se retirera en enlevant les deux vis situé sous la selle
Les entrées d'air en alu brossé, une touche d'originalité
Les doubles disques de freins de 320 mm montés en Brembo radial 4 pistons
Les poignées passagers se sortent grâce au bouton poussoir situé sous la selle
Les pots d'échappements tranchent avec le reste de la ligne de la moto
On apprécie le placement du support de plaque.
Ducati n'est pas réputé pour le confort de ses selles, exceptions faite du Diavel
Par Pauline Rachwal - le Mercredi 04 mai 2011
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SOMMAIRE (Sur Caradisiac Moto)
- Ducati Diavel 2011 : l'énigmatique Monsieur D
- Ducati Diavel 2011 : le paradis des mauvais garçons ?
- Ducati Diavel 2011 : l'avis de la rédaction [ fiche technique]
- Ducati Diavel 2011 : détails et porfolio [ 46 photos]
1. Ducati Diavel 2011 : l'énigmatique Monsieur D
C’est à s’en faire taper les doigts par Ducati, je vous jure ! Et oui, la marque est si fière de sa nouveauté qu’il est très difficile de ne pas se faire corriger quand on féminise un peu trop la bête. C’est LE Diavel et non LA Daviel, il y a intérêt à ce que ça rentre !
Le power cruiser s’affiche clairement et met en concurrence des machines comme la Yamaha Vmax. Lors de la présentation à Milan la première question qui est venue à l’esprit des invités c’est « mais ça va pas être lourd à emmener ? Surtout avec un pneu de 240 mm ? ». Mais c’était sans compter que Ducati a déjà pensé à tout et à fait shaper un pneu pour ne pas mettre à mal la maniabilité du Diavel.
Bourré d’électronique, une liste plus que correcte d’équipements (en option), une bouille qui ne vous donne pas la possibilité de passer inaperçu (sans parler du bruit), le Diavel veut parer à toutes les possibilités et toutes les attentes.
C’est donc avec une grande curiosité que Caradisiac moto s’est installé au guidon d’une machine qui fait sortir la marque italienne de ses sentiers battus.
Un pari risqué ? On a mené l'enquête.
2. Ducati Diavel 2011 : le paradis des mauvais garçons ?
Ne pas passer inaperçu, provoquer le désir, voilà la ligne de conduite de Ducati et son nouveau Diavel ne fait pas exception. Cette machine a suscité depuis sa présentation des avis tranchés. D’ailleurs nous avions pu constater dans les colonnes de Caradisiac Moto votre position assez négative sur cette nouveauté. Le côté puriste du motard qui est assez sensible aux changements ? Sûrement. Les photos qui mettent mal en avant les lignes du Diavel ? Probable. Nous avons voulu en avoir le cœur net et prendre en main nous même la bête pour rendre compte. Une chose à dire : ne pas se fier aux apparences.
Une fois qu’on a le Diavel face à soi, on remarque qu’il ne parait pas si imposant que sur les photos officielles. Très basse mais aussi très compactes, les lignes de la machine se fondent et le gros réservoir par exemple ne parait plus l’être tant que ça. On est loin des angles taillés à la serpe et lignes très cassées en vogue ces dernières années chez les constructeurs.
Ducati a fait le choix de présenter une machine avec des courbes généreuses et un avant qui s’équilibre avec le gros pneu arrière de 240 mm et son derrière large et suspendu.
Le feu avant (un petit rappel de la gamme Monster ?) plonge sur l’avant et vient carrément se confondre avec les entrées d’air de part et d’autre du réservoir. On ne parle pas des fourches avant qui disparaissent totalement. La finition est globalement correcte, avec tout de même une peinture que l’on craint un peu fragile aux rayures. On a tout de même apprécié certains détails de finitions comme les couvercles de liquide de freins frappés du nom Ducati (tout comme le garde-boue avant), les deux pare-projections fixés entre l’avant du réservoir et les fourches avant ou encore le soin apporté au confort du passager avec des magnifiques cale-pieds arrière qui viennent se confondre avec le design et des poignées rétractables qui disparaissent sous la selle à l’aide d’un poussoir situé sous la selle.
Là où le Diavel peut se démarquer c’est au niveau de son instrumentation. Avec un double écran (dont un en TFT couleur), on se sait plus trop où donner de la tête quand on n’a pas l’habitude. Outre le fait de pouvoir régler le mode de conduite (urban, touring, sport), on peut régler la sensibilité du DTC (Ducati Traction Control), la mise en route ou non de l’ABS, conso instantanée ou moyenne, rapport engagé ou encore le temps de parcours. Et dans tout cet étalage d’information, manque tout de même une des plus importantes : une jauge d’essence ! Il faudra se contenter d’un voyant et d’un trip de réserve.
Du côté du pilote, on ne peut qu’apprécier l’attention que Ducati sur les détails. Plus besoin de clé de démarrage, cette dernière pourra rester dans la poche grâce à son système de détection pour un démarrage automatique sur les commandes du coupe circuit. Et si vous avez oublié la clé chez vous, pas de soucis, Ducati a pensé à vous avec un bouton placé devant le bouchon de réservoir qui vous donnera accès à une interface où vous rentrer un code à 4 chiffres défini avec le concessionnaire lors de l’achat. Mais le petit plus que l’on a vraiment apprécié, c’est l’ergonomie de la selle et son confort. Un vrai plus chez la marque italienne plutôt habitué aux selles béton armé. Bon ce n’est pas le tout, mais qu’est ce qu’il vaut ce Diavel ?
Déjà la première chose qui frappe une fois en selle, c’est la répartition des masses. Pour une machine qui approche les 240 kilos les pleins faits, elle est d’une facilité déconcertante en ce qui concerne les manœuvres à l’arrêt, aidé en plus de son rayon de braquage assez petit pour ce type de catégorie, c’est un bonheur. Mais nous n’étions pas au bout de nos surprises, car cette facilité de manœuvre se retrouve aussi bien dans la basse vitesse.
Plus habituée aux mouvements patauds sur ce type de machine, le Diavel se démarquera sans aucun doute sur ce point, même si on reste loin tout de même d’un roadster ou d’un scooter.
La position sera légèrement sur l’avant autant pour les bras que pour les jambes. La mélodie très rauque du bicylindre Testastretta est envoutant à bas régime attirant l’œil des passants.
Et oui, cette moto a l’art de se faire remarquer dans la rue. Les questions fusent, les remarques aussi, les têtes se tournent, ça en deviendrait presque gênant. Si vous voulez passer inaperçu, ce n’est vraiment pas la bonne machine pour ça. La seule chose en ville qui vient gâcher le plaisir de la prise en main est sans conteste la chaleur dégagée par le moteur et qui vient vous réchauffer ainsi que le cadre treillis. Il ne sera pas rare de voir le Diavel monter à 103° (phase de déclenchement du refroidissement) puis redescendre en température assez bruyamment.
Une fois engagée en voie rapide, c’est la que le Diavel commence à montrer le bout de son caractère. Les 12,7 mkg offre une grande facilité dans les accélérations pour s’engager. Inutile de penser au rapport dans lequel on se trouve. On tourne la poignée et hop ça tracte ! On aurait pu penser d’ailleurs que les plages d’accélérations seraient trop longues, mais non, juste ce qu’il faut. Le bruit rauque du Diavel a tendance à s’étouffer passé les 5000 tr/min pour revenir de plus bel une fois arrivée en haut régime.
On s’amuserait limite dans la circulation à ouvrir la poignée en grand juste pour ressentir le bicylindre s’élancer si passé les 140 km/h le vent s’engouffrait pas si violemment contre soi. La forme du bloc avant anéanti toutes formes d’espoir d’une toute petite protection. Dans les longs couloirs des voies rapides, le Diavel navigue tranquillement d’une voie à l’autre, pas de question à se poser, ça va tout seul. Une voiture qui déboite sans clignotant, pas de soucis, on prend les freins, le Diavel s’écrase et ralenti. Certain d’ailleurs pourront ne pas apprécier la trop grande progressivité des freins. En effet il faut vraiment appuyer sur le levier pour sentir la bête ralentir. Problème de poids ? Probablement, car des double disques de 320 mm, montés en étriers radiaux Brembo s’avèrerait plus « mordant » sur une machine plus légère.
Et sur route ça donne quoi ? Et bien un sentiment de plaisir et d’une grande frustration en même temps. Une immense plaisir d’exploiter ce moulin plein partout, qui relance à la moindre sollicitation et qui en plus donne l’impression d’avoir une immense paire de ……….. à chaque accélération. D’ailleurs pour les enragés du guidon le Ducati Traction Control (réglable dans le menu de la moto) évitera la sur-confiance en soi dans la poignée des gaz et de voir la roue avant partir.
Et une frustration, car commence à sentir les limites de la partie cycle dès que les virages se resserrent. Le Diavel est stable en grande courbe, c’est indéniable. On tire sur le guidon, on le place et hop ça passe. On peut même enchainer de grands virages sans difficulté.
Mais comme dit plus haut, dès que les routes deviennent plus viroleuses, son poids commence à s’en ressentir et il faudra user de plus de force pour la faire basculer d’un côté ou d’un autre.
Reste les suspensions. Ahhhh les suspensions… Sur certaines portions de routes, mon dos s’en souvient encore. Bien équilibrés en réglages d’origine pour la majorité des revêtements routiers, elles s’avéreront trop sèches sur des routes dégradées. Le retour pourra s’en faire ressentir, heureusement amortie par le confort de la selle. Quelques réglages pour les dos délicats pourront solutionner le problème.
3. Ducati Diavel 2011 : l'avis de la rédaction [ fiche technique]
Une surprise donc de la part de Ducati pour cette saison 2011, mais une bonne surprise au final Beaucoup de monde attendait au tournant cette nouvelle moto, surtout en ce qui concerne la maniabilité, le point faible de ses concurrentes.
C’est une machine plutôt impressionnante d’un point de vue esthétique et technique et qui d’abord ne met pas vraiment en confiance. A contrario, une fois en selle, elle se montre docile sur bien des terrains.
Le moteur bicylindre Testastretta, 4 soupapes par cylindre est étonnant de facilité d’exploitation grâce à ses régimes « plein partout ».On aura apprécié l’homogénéité du Diavel et le gros travail qu’a fourni Ducati sur la répartition des masses. Avec une conso moyenne de 6,8 litres/100km (toutes routes confondues), elle saura d’autant plus se faire apprécier par rapport à la concurrence.
Trois versions sont disponibles : standard (celle de l’essai), la version Carbon et Carbon Red.
PS : A l’heure de la diffusion de l’essai, le délai de livraison est de 3 mois.
Caradisiac moto a aimé :
Look
Moteur
Facilité de conduite
Caradisiac moto n'a pas aimé :
Suspensions sur revêtement dégradé
Limite sur routes sinueuses
Prix des versions Carbon
Les Prix :
Base : rouge ou noir : 16 990 euros
Carbon : 19 990 euros
Carbon red: 20 390 euros
Les accessoires :
Antivol : 274,00 :euros
Béquille arrière à box : 186,00 euros
Bouchons de cadre : 149,00 euros
Bulle Roadster : 209,00 euros
Bulle Touring : 274,00 euros
Cache pignon en carbone : 139,00 euros
Cache réservoir de carburant en carbone : 357,00 euros
Caches réservoirs : 99,00 euros
Cadenas bloque-disque :38,87 euros
Capot de selle passager en carbone : 298,00 euros
Colliers latéraux au-dessous du réservoir :314,00 euros
Couvre tableau de bord inférieur en carbone : 238,00 euros
Embout moteur : 456,00 euros
Garde-boue arrière en carbone : 314,00 euros
Garde-boue avant en carbone : 267,00 euros
GPS : 697,00 euros
Housse de protection moto : 224,00 euros
Kit couvercles cache-courroies en carbone : 418,00 euros
Kit poignées : 238,00 euros
Kit réparation pneus : 89,70 euros
Kit silencieux homologué en acier inoxydable : 1742,57 euros
Kit support de plaque d'immatriculation : 99,00 euros
Protection réservoir en carbone : 54,00 euros
Protection transparente pour réservoir : 25,00 euros
Sac arrière : 238,00 euros
Sac de réservoir : 279,00 euros
Selle Low Ride : 178,00 euros
Selle Roadster en cuir : 238,00 euros
Selle Tourer : 178,00 euros
Système d'échappement complet : 2.571,00 euros
Testeur et chargeur de batterie automatique : 177,91 euros
Fiche Technique :
Moteur : Testastretta 11°, bicylindre en L, distribution Desmodromique, 4 soupapes par cylindre, refroidissement liquide
Cylindrée : 1198,4cc
Alésage x course : 106 x 67,9mm
Rapport volumétrique : 11,5:1
Puissance : 162 CV - 119,1 kw @ 9500trs/min
Couple : 13mkg - 127,5Nm @8000trs/min
Alimentation : Injection électronique Mitsubishi, corps papillon elliptiques avec système Ride-by-wire
Échappement : Silencieux en acier inoxydable, embouts et protections en aluminium; catalyseur et 2 sondes lambda
Transmission : 6 vitesses
Boîte de vitesse : 1=37/15 2=30/17 3=27/20 4=24/22 5=23/24 6=22/25
DTC : équipement de série
Transmission secondaire : Engrenage à taille droite, Ratio 1.84:11
Transmission primaire : Pignon 15; Couronne 43
Embrayage : Multidisque à bain d'huile avec commande hydraulique, Système assisté et antidribble
Homologation : Euro 3
Cadre : Treillis tubulaire en acier
Empattement : 1590 mm
Angle de chasse28°
Suspension avant : Fourche Marzocchi de 50mm entièrement réglable
Débattement roue avant : 120 mm
Roue avant : En alliage léger, 14 branches 3,50 x 17
Pneu avant : 120/70 ZR 17 Pirelli Diablo Rosso II
Suspension arrière : Progressive avec mono amortisseur Sachs entièrement réglable. Monobras oscillant en aluminium
Débattement roue arrière : 120 mm
Roue arrière : En alliage léger, 14 branches 8,00 x 17
Pneu arrière : 240/45 ZR17 Pirelli Diablo Rosso II
Frein avant : 2 disques semi-flottants de 320mm, étriers Brembo Monobloc à fixation radiale, 4 pistons. ABS de série
Frein arrière : Disque de 265 mm, pince flottante à 2 pistons et ABS
Capacité réservoir à essence : 17 l
Poids : 210kg
Instrumentation :
Tableau de bord digital avec affichage LCD sur le guidon: Vitesse, trs/min, temp liquide refroidissement.
Témoin lumineux pour : neutre, clignotants, plein phare, surrégime, intervention DTC, statu ABS, pression d'huile, réserve essence.
Tableau de bord avec écran couleur TFT sur le réservoir: vitesse enclenchée, température d'air, voltage batterie, trips 1&2, trip réserve essence, consommation essence et vitesse instantanée et moyenne, durée du parcours, maintenance programmée.
Statu et gestion des Riding Modes, DTC, RbW et ABS.
Garantie : 2 ans kilométrage illimité
Coloris cadre et jantes : Red (rouge / noir) - Pearl White Silk and Metallic Black (noir / noir)
Hauteur de selle : 770mm
4. Ducati Diavel 2011 : détails et portfolio [ 46 photos]
On appréciera l'écran TFT, un vrai plus pratique et d'une certaine qualité esthétique.
Les boutons qui permettent de naviguer dans le menu du tableau de bord.
Le capot de selle se retirera en enlevant les deux vis situé sous la selle
Les entrées d'air en alu brossé, une touche d'originalité
Les doubles disques de freins de 320 mm montés en Brembo radial 4 pistons
Les poignées passagers se sortent grâce au bouton poussoir situé sous la selle
Les pots d'échappements tranchent avec le reste de la ligne de la moto
On apprécie le placement du support de plaque.
Ducati n'est pas réputé pour le confort de ses selles, exceptions faite du Diavel
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Re: Ducati Diavel
2011 Ducati Diavel 1200 TV commercial
Backstage
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Vidéo - Une Ducati Diavel sur circuit
Source Moto Revue
La Ducati Diavel s’est invitée au milieu des sportives lors d’une journée de roulage sur le circuit d’Assen aux Pays-Bas. Et le muscle-bike italien s’en sort plutôt avec les honneurs. Démonstration en vidéo par nos confrères britanniques de MCN.
La Ducati Diavel s’est invitée au milieu des sportives lors d’une journée de roulage sur le circuit d’Assen aux Pays-Bas. Et le muscle-bike italien s’en sort plutôt avec les honneurs. Démonstration en vidéo par nos confrères britanniques de MCN.
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Re: Ducati Diavel
BUSEMAN a écrit:J'en ai vu une hier en Italie ... Vraiment magnifique
...Tu la trouves belle toi.....elle est moche au possible.....un cul et un train avant qui ressemble à rien.....je te tronçonnerai ça à coup de meuleuse moi illico presto....une vrai meuf quoi, pas un tartabouille de 400 KG..........Pas fan du tout!....t'as vu je mets plus de smileys au moins ça laisse le choix:!
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Re: Ducati Diavel
Borntoride a écrit:BUSEMAN a écrit:J'en ai vu une hier en Italie ... Vraiment magnifique
...Tu la trouves belle toi.....elle est moche au possible.....un cul et un train avant qui ressemble à rien.....je te tronçonnerai ça à coup de meuleuse moi illico presto....une vrai meuf quoi, pas un tartabouille de 400 KG..........Pas fan du tout!....t'as vu je mets plus de smileys au moins ça laisse le choix:!
....Et pi ça fait pas suce boule d'arrière boutique.
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Re: Ducati Diavel
Borntoride a écrit:BUSEMAN a écrit:J'en ai vu une hier en Italie ... Vraiment magnifique
...Tu la trouves belle toi.....elle est moche au possible.....un cul et un train avant qui ressemble à rien.....je te tronçonnerai ça à coup de meuleuse moi illico presto....une vrai meuf quoi, pas un tartabouille de 400 KG..........Pas fan du tout!....t'as vu je mets plus de smileys au moins ça laisse le choix:!
Attention Teg !!! Magnifique j'ai dis mais j'irais pas acheter et à bécane de même style j'la préfère quand même à un V-MAX ou à un VROD ...
Invité- Invité
Une semaine en Ducati Diavel (motorevue.com)
Source
Une semaine en Ducati Diavel
Assurément une des nouveautés majeures cette année. Imposante, puissante, attirante, nous avons passé sept jours en compagnie de la Ducati Diavel.
LA DIAVEL EN VILLE
Avant d’évoquer ces qualités dynamiques, il faut mettre en avant un élément essentiel au guidon de la Diavel. Regards envieux, impressionnés, pouces levés, impossible de passer inaperçu ! IL faut dire que la moto en impose. Déjà par son esthétique de dragster, mais aussi par sa sonorité très (trop ?) présente. Même au ralenti, le twin ferait passer n’importe quelle moto de caractère pour un vulgaire déplaçoir électrique.
Impressionnante au premier abord, on se dit que rouler en ville va être un calvaire. Ce n’est évidemment pas la meilleure citadine du marché, mais la Ducati s’en tire plutôt bien. Grâce à son poids contenu (241 kg tous pleins faits), et une position reposante, on peut s’extirper des bouchons sans trop de difficulté. La faible hauteur de selle permet de poser les deux pieds bien à plat ce qui rassure pour les demi-tours. La plus grosse difficulté vient de son moteur qui manque de souplesse. Et en été, les arrêts au feu vous réchauffent copieusement les cuisses, surtout à droite avec la ligne d’échappement.
SUR LA ROUTE
Assurément le terrain de jeu favori de la Diavel. Poids plume dans sa catégorie, la nouvelle venue enterre ses concurrentes au niveau du comportement dynamique.
Yamaha V-Max, Triumph Rocket III, Harley V-Rod Muscle, aucune ne résiste à cette diablesse de Ducati. Rigide, bien suspendue, dotée d’un train avant incisif (pour la catégorie) on se régale à enchaîner les courbes à son guidon. Même en 100 chevaux, son moteur délivre encore de bonnes sensations et des accélérations impressionnantes. Il faut juste passer ses rapports à 7 000 tr/min au lieu d’allonger jusqu’à 10 000 tr/min en temps normal. Arrivé à bonne allure, on peut compter sur un système de freinage puissant mordant et endurant. Comme souvent chez Ducati, il faut se méfier de l’attaque immédiate au levier. Heureusement que l’ABS (déconnectable) veille au grain sans se montrer trop envahissant même en conduite musclée. Malgré son gros pneu arrière de 240 mm, la vivacité et la rapidité d’inscription en courbe donne satisfaction, et bien emmenée, on peut adopter un rythme plutôt rapide.
Et il faudra déjà être sacrément anglé avant de mettre à mal la garde au sol.
SUR AUTOROUTE
Vu sa géométrie d’ensemble et l’absence de protection, on ne s’attendait pas à passer un moment inoubliable. La belle Italienne avance tout de même deux points positifs. Sa position de conduite reposante et son assise moelleuse qui permettent de vider un plein sans trop se fatiguer. Deux qualités qui sont rares à bord d’une Ducati, la majorité de la gamme préférant des selles fermes et des positions de conduite plutôt exigeantes. Grâce à sa force tranquille, le twin « testastretta » ronronne gentiment sur voies rapides, attendant un dépassement éclair pour sortir de sa torpeur. A ce propos, il est inutile de rétrograder, un bon quart de tour de poignée permet d’atomiser la majorité du parc automobile. Et bonne surprise, la consommation de la Diavel est plutôt contenue dans cet exercice. Sur un parcours mixte, nous avons consommé 6,7l/100km, ce qui autorise 252 kilomètres d’autonomie avec les 17 litres du réservoir.
À DEUX
Au premier abord, on pourrait penser que le duo est un calvaire à bord de la Diavel. Dans les faits, elle s’en tire plutôt bien. La selle, plutôt confortable, permet d’envisager de longs trajets sans souci.
Les repose-pieds qui se déplient à la demande, sont placés assez bas ce qui ne fait pas trop souffrir les jambes. Dommage que l’échappement empêche de poser correctement son pied droit. Enfin, la poignée passager qui se déplie au niveau des feux arrière est une idée ingénieuse sur le papier.
À l’usage, elle reste trop près de la selle et est difficile à prendre en main.
QUALITE DE PRESENTATION
Moto haut de gamme, la Diavel est bien construite et présente très bien.
Habillage, peinture, traitement des métaux, la Ducati flatte la rétine.
Mention spéciale à la fourche, aux étriers monobloc, et surtout à la superbe jante arrière dévoilée par un monobras tout aussi réussi. Pour faire la fine bouche on peut évoquer les écopes en plastique imitation alu brossé qui ne sont pas du plus bel effet et le plastique qui recouvre les radiateurs latéraux. L’autre réserve que nous émettons à propos de la Diavel concerne son électronique. Si certain équipements sont intéressantes comme l’accélérateur ride-by-wire dont la sensibilité évolue avec le mode de conduite sélectionné, on se demande à quoi sert cette clé main libre capricieuse qui commande le démarrage et le verrouillage de la direction. Et on ne peut s’empêcher de penser aux problèmes que peuvent poser ce type de systèmes. À ce propos fuyez l’option bouchon de réservoir sans clé.
ASPECTS PRATIQUES
Plus besoin de clé pour démarrer la Diavel. Avec deux écrans (qui imposent de baisser la tête) les informations sont nombreuses. À l’aide du bouton des clignotants, il est possible de rentrer dans les différents menus et de modifier les paramètres (DTC, mode de conduite, ABS etc.) à sa guise. Il est possible de modifier les trois modes (sport, Touring Urban) en roulant à condition de couper les gaz pour permettre à l’électronique de se réinitialiser.
En soulevant la selle on trouve un espace de rangement minuscule. En revanche, en soulevant le cercle noir on fait apparaître la poignée passager rétractable. Un système ingénieux et facile à manipuler.
Dommage que la poignée reste trop près de la coque, ce qui la rend difficile à prendre en main.
Comme pour la poignée, les repose-pieds se déplient pour accueillir un passager. Placés assez bas, il sont recouverts de caoutchouc ce qui permet de ne pas glisser. Dommage que l’échappement empêche de bien poser le pied à plat du côté droit.
La jante dévoilée par le monobras est absolument superbe. La sonorité qui s’échappe de l’échappement (au-dessus) ravira les mélomanes. À l’image de la moto, c’est du viril !
En tournant le guidon, on tombe nez à nez avec ces cosses électriques mal dissimulées prêtes à recevoir une bonne douche en cas de pluie. Un détail de finition difficilement admissible sur une machine de ce prix.
En bref :
Ducati Diavel
162 ch, 13 mkg, 241 kg tous pleins faits
16 990 € (version Carbon 19 990 €, Carbon bicolore 20 990 €)
Notre essai :
900 km de ville, route et autoroute
Consommation de l’essai
Mini : 6,7 l/100 km
Maxi : 8,1 l/100 km
Retrouvez l’essai de la Ducati Diavel en cliquant ici.
Une semaine en Ducati Diavel
Assurément une des nouveautés majeures cette année. Imposante, puissante, attirante, nous avons passé sept jours en compagnie de la Ducati Diavel.
LA DIAVEL EN VILLE
La Diavel ne s'en sort pas si mal en ville. © Vincent Boyer |
Impressionnante au premier abord, on se dit que rouler en ville va être un calvaire. Ce n’est évidemment pas la meilleure citadine du marché, mais la Ducati s’en tire plutôt bien. Grâce à son poids contenu (241 kg tous pleins faits), et une position reposante, on peut s’extirper des bouchons sans trop de difficulté. La faible hauteur de selle permet de poser les deux pieds bien à plat ce qui rassure pour les demi-tours. La plus grosse difficulté vient de son moteur qui manque de souplesse. Et en été, les arrêts au feu vous réchauffent copieusement les cuisses, surtout à droite avec la ligne d’échappement.
SUR LA ROUTE
La Ducati Diavel est à l'aise sur les petites routes. © Bruno Sellier |
Yamaha V-Max, Triumph Rocket III, Harley V-Rod Muscle, aucune ne résiste à cette diablesse de Ducati. Rigide, bien suspendue, dotée d’un train avant incisif (pour la catégorie) on se régale à enchaîner les courbes à son guidon. Même en 100 chevaux, son moteur délivre encore de bonnes sensations et des accélérations impressionnantes. Il faut juste passer ses rapports à 7 000 tr/min au lieu d’allonger jusqu’à 10 000 tr/min en temps normal. Arrivé à bonne allure, on peut compter sur un système de freinage puissant mordant et endurant. Comme souvent chez Ducati, il faut se méfier de l’attaque immédiate au levier. Heureusement que l’ABS (déconnectable) veille au grain sans se montrer trop envahissant même en conduite musclée. Malgré son gros pneu arrière de 240 mm, la vivacité et la rapidité d’inscription en courbe donne satisfaction, et bien emmenée, on peut adopter un rythme plutôt rapide.
Et il faudra déjà être sacrément anglé avant de mettre à mal la garde au sol.
SUR AUTOROUTE
Vu sa géométrie d’ensemble et l’absence de protection, on ne s’attendait pas à passer un moment inoubliable. La belle Italienne avance tout de même deux points positifs. Sa position de conduite reposante et son assise moelleuse qui permettent de vider un plein sans trop se fatiguer. Deux qualités qui sont rares à bord d’une Ducati, la majorité de la gamme préférant des selles fermes et des positions de conduite plutôt exigeantes. Grâce à sa force tranquille, le twin « testastretta » ronronne gentiment sur voies rapides, attendant un dépassement éclair pour sortir de sa torpeur. A ce propos, il est inutile de rétrograder, un bon quart de tour de poignée permet d’atomiser la majorité du parc automobile. Et bonne surprise, la consommation de la Diavel est plutôt contenue dans cet exercice. Sur un parcours mixte, nous avons consommé 6,7l/100km, ce qui autorise 252 kilomètres d’autonomie avec les 17 litres du réservoir.
À DEUX
Le duo est envisageable en Diavel. © Bruno Sellier |
Les repose-pieds qui se déplient à la demande, sont placés assez bas ce qui ne fait pas trop souffrir les jambes. Dommage que l’échappement empêche de poser correctement son pied droit. Enfin, la poignée passager qui se déplie au niveau des feux arrière est une idée ingénieuse sur le papier.
À l’usage, elle reste trop près de la selle et est difficile à prendre en main.
QUALITE DE PRESENTATION
la finition de la Diavel est globalement réussie. © Vincent Boyer |
Habillage, peinture, traitement des métaux, la Ducati flatte la rétine.
Mention spéciale à la fourche, aux étriers monobloc, et surtout à la superbe jante arrière dévoilée par un monobras tout aussi réussi. Pour faire la fine bouche on peut évoquer les écopes en plastique imitation alu brossé qui ne sont pas du plus bel effet et le plastique qui recouvre les radiateurs latéraux. L’autre réserve que nous émettons à propos de la Diavel concerne son électronique. Si certain équipements sont intéressantes comme l’accélérateur ride-by-wire dont la sensibilité évolue avec le mode de conduite sélectionné, on se demande à quoi sert cette clé main libre capricieuse qui commande le démarrage et le verrouillage de la direction. Et on ne peut s’empêcher de penser aux problèmes que peuvent poser ce type de systèmes. À ce propos fuyez l’option bouchon de réservoir sans clé.
ASPECTS PRATIQUES
Le tableau de bord de la Diavel. © Vincent Boyer |
Plus besoin de clé pour démarrer la Diavel. Avec deux écrans (qui imposent de baisser la tête) les informations sont nombreuses. À l’aide du bouton des clignotants, il est possible de rentrer dans les différents menus et de modifier les paramètres (DTC, mode de conduite, ABS etc.) à sa guise. Il est possible de modifier les trois modes (sport, Touring Urban) en roulant à condition de couper les gaz pour permettre à l’électronique de se réinitialiser.
Le dessous de selle de la Diavel. © Vincent Boyer |
En soulevant la selle on trouve un espace de rangement minuscule. En revanche, en soulevant le cercle noir on fait apparaître la poignée passager rétractable. Un système ingénieux et facile à manipuler.
Dommage que la poignée reste trop près de la coque, ce qui la rend difficile à prendre en main.
Les repose-pieds de la Diavel. © Vincent Boyer |
Comme pour la poignée, les repose-pieds se déplient pour accueillir un passager. Placés assez bas, il sont recouverts de caoutchouc ce qui permet de ne pas glisser. Dommage que l’échappement empêche de bien poser le pied à plat du côté droit.
La jante de la Diavel. © Vincent Boyer |
La jante dévoilée par le monobras est absolument superbe. La sonorité qui s’échappe de l’échappement (au-dessus) ravira les mélomanes. À l’image de la moto, c’est du viril !
Le faisceau électrique de la Diavel. © Vincent Boyer |
En tournant le guidon, on tombe nez à nez avec ces cosses électriques mal dissimulées prêtes à recevoir une bonne douche en cas de pluie. Un détail de finition difficilement admissible sur une machine de ce prix.
En bref :
Ducati Diavel
162 ch, 13 mkg, 241 kg tous pleins faits
16 990 € (version Carbon 19 990 €, Carbon bicolore 20 990 €)
Notre essai :
900 km de ville, route et autoroute
Consommation de l’essai
Mini : 6,7 l/100 km
Maxi : 8,1 l/100 km
Retrouvez l’essai de la Ducati Diavel en cliquant ici.
cobalt57co-
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Re: Ducati Diavel
Je suis un peu étonné de la consommation Maxi ...
En torchant grave (sur circuit), balaize l'italienne si elle fait pas plus de 8 litres !
En torchant grave (sur circuit), balaize l'italienne si elle fait pas plus de 8 litres !
lous-
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Re: Ducati Diavel
lous a écrit:Je suis un peu étonné de la consommation Maxi ...
En torchant grave (sur circuit), balaize l'italienne si elle fait pas plus de 8 litres !
En même temps ce n'est qu'une Ducati, ça ne prend pas plus de 80 km/h en bout d'droit et c'te vitesse là, ils ont peut être l'impression de torcher ...
Invité- Invité
Ducati Diavel AMG Special Edition (motorevue.com)
Source
Ducati Diavel AMG Special Edition
Ducati a dévoilé une série spéciale réalisée en collaboration avec le préparateur allemand AMG. Des modifications esthétiques, qui ne modifient pas les performances de la moto.
Lorsque Ducati et AMG avaient annoncé leur partenariat, ils avaient également affirmé que des motos en profiteraient. La première à en bénéficier est la nouvelle Diavel AMG Special Edition. Une moto voulue encore plus élitiste par Ducati et le préparateur germanique. Au programme, une ligne identique, différenciée par quelques pièces de belle facture. La base est une Diavel Carbon qui hérite de nouvelle jantes à cinq branches d'inspiration automobile. La belle italienne dévoile également un nouvel échappement plus compact avec un embout en carbone. Un silencieux qui ne modifie pas les performances du twin testastretta 11°. On note également les grilles en aluminium inédites qui recouvrent les radiateurs latéraux, les logos AMG sur les écopes et la selle surpiquée en alcantara.
Enfin, même s'il n'y a pas eu de préparation du moteur, le nom du technicien qui a travaillé sur le bloc est gravé sur le carter moteur côté gauche. Une tradition chez AMG qui procède déjà ainsi sur les Mercedes qui sortent de ses ateliers. Dans le même esprit d'exclusivité, une plaque numérotée sera fixée sur le réservoir de chaque Diavel AMG.
Pour l'instant, le prix (qui devrait être au minimum de 25 000 €), la disponibilité et le nombre de modèles produits n'ont pas encore été communiqués.
Ducati Diavel AMG Special Edition
Ducati a dévoilé une série spéciale réalisée en collaboration avec le préparateur allemand AMG. Des modifications esthétiques, qui ne modifient pas les performances de la moto.
Lorsque Ducati et AMG avaient annoncé leur partenariat, ils avaient également affirmé que des motos en profiteraient. La première à en bénéficier est la nouvelle Diavel AMG Special Edition. Une moto voulue encore plus élitiste par Ducati et le préparateur germanique. Au programme, une ligne identique, différenciée par quelques pièces de belle facture. La base est une Diavel Carbon qui hérite de nouvelle jantes à cinq branches d'inspiration automobile. La belle italienne dévoile également un nouvel échappement plus compact avec un embout en carbone. Un silencieux qui ne modifie pas les performances du twin testastretta 11°. On note également les grilles en aluminium inédites qui recouvrent les radiateurs latéraux, les logos AMG sur les écopes et la selle surpiquée en alcantara.
Enfin, même s'il n'y a pas eu de préparation du moteur, le nom du technicien qui a travaillé sur le bloc est gravé sur le carter moteur côté gauche. Une tradition chez AMG qui procède déjà ainsi sur les Mercedes qui sortent de ses ateliers. Dans le même esprit d'exclusivité, une plaque numérotée sera fixée sur le réservoir de chaque Diavel AMG.
Pour l'instant, le prix (qui devrait être au minimum de 25 000 €), la disponibilité et le nombre de modèles produits n'ont pas encore été communiqués.
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Re: Ducati Diavel
Diavel Cromo : une nouvelle dans la famille Ducati
Ducati agrandit sa famille des power cruisers avec une nouvelle Diavel : la Cromo. La firme de Bologne profite ici de la bonne surprise ses ventes 2011 : en France, la Diavel s’est vendue à 750 exemplaires (alors que Ducati avait prévu d’en vendre 450), elle devient sa 2e meilleure vente de l’année passée.
La Cromo arrive à point nommé. Avec le rachat de Ducati par Audi, le constructeur italien a annoncé la fin de son partenariat avec AMG, la branche sportive de Mercedes. Quelques jours après, la version Diavel AMG (encore au catalogue) se serait semble-t-il trouvée une remplaçante.
La Cromo se démarque exclusivement par son esthétique. Elle se dote d’un nouveau coloris, d’une selle spécifique et du logo Ducati classique. L’ensemble laisse planer un aspect vintage.
Côté tarif, la Cromo s’échangera pour 18.990 €. Elle se place donc entre la version standard (17.290 €) et la version Carbon (20.390 €).
Tous les détails sur le site officiel Ducati.
Source.
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Ducati Diavel Carbone : desmo-niaque ! (moto-infos.com)
Source
Ducati Diavel Carbone : desmo-niaque !
Par son côté bestial et surtout inédit, elle est adorée par les uns. Ce même aspect trapu, énorme, massif fait aussi que d'autres la détestent. Mais quelle que soit votre opinion, vous tournerez forcément la tête sur le passage d'une Ducati Diavel. Un an après sa sortie, le diable de Bologne déchaîne toujours autant les passions. En compagnie de la version carbone, nous avons voulu comprendre pourquoi.
« Cette moto est tout simplement incroyable », nous confie l'un de ses propriétaires, « ne serait-ce que parce que son comportement n'a rien à voir avec son look ». C'est un fait, on ne s'attend pas à trouver une machine aussi -relativement- simple à utiliser lorsqu'on découvre le gabarit de cette Ducati pour le moins impressionnante. Mais qui ne serait pas intimidé à l'idée de rencontrer le diable ?
Ainsi, le Diavel impressionne. Surtout lorsqu'il est vêtu de rouge et de carbone comme c'est le cas aujourd'hui. Du carbone, c'est simple, il y en a partout : réservoir, entourage du bouchon de réservoir, garde-boue avant et arrière, sabot moteur, caches courroies de distribution, couvercle du pignon de sortie de boite de vitesses, couvercles des maitres-cylindre de frein et d'embrayage... Même la selle voit ses flancs imiter la fibre (authentique celle-là) des pièces spécifiques à cette version. L'assise, elle, est recouverte d'alcantara, une matière douce au toucher et antidérapante tandis que la finition est splendide, comme en témoignent les surpiqures rouges. Une finition irréprochable caractérise d'ailleurs cette moto, ce que l'oeil ne cesse de découvrir au fur et à mesure qu'il s'attarde sur les détails : les jantes Marchesini forgées en aluminium, noires et aux branches polies, sont purement et simplement magnifiques, tandis que la largeur de l'élément arrière interpelle. L'aluminium poli des écopes latérales est cette fois recouvert d'un noir satiné, contrastant avec le rouge vif des énormes tubes du cadre, les axes de fixation du moteur sont dissimulés derrière de petits caches en aluminium siglés « Ducati Performance », les frettes des disques de frein avant sont en aluminium usiné, aluminium que l'on retrouve encore pour l'enveloppe des silencieux, le capotage du phare ou encore les branches des rétroviseurs. Bref, si le Diavel n'est pas donné, on en a clairement pour son argent ! D'autant que niveau équipement, cette Ducati n'a absolument rien à envier aux plus modernes Superbikes...
Mécaniquement d'abord, le Diavel reçoit donc le bicylindre en L de 1 198 cm3 développant 162 chevaux et 127 Nm de couple, en version libre il va de soit. Rassurez-vous, même en configuration française, le bouilleur en a bien assez dans les bielles pour faire son « chaud » et justifie pleinement la présence des trois modes de fonctionnement Urban, Touring et Sport. Une promenade dans les menus dispensés par l'ordinateur de bord vous permettra de modifier les réglages par défaut mais nous vous recommandons pour cela de ne pas oublier le guide car la sélection des différentes fonctions n'est pas intuitive. Conscient de ce phénomène, le constructeur met d'ailleurs en ligne des tutoriels vidéo pour s'y retrouver. L'antipatinage peut ainsi être défini sur 8 positions ou désactivé quel que soit le mode choisi, le tout fonctionnant via un accélérateur de type Ride by Wire. Si l'envie vous prend de vouloir tirer le diable par la queue, vous pourrez donc évoluer en mode Sport sans le moindre contrôle de traction ni le moindre antiblocage des roues.
Un cœur sportif ne servirait à grand chose s'il n'était assorti d'une carrure d'athlète. Heureusement, le Diavel possède ce qui faut question muscles saillants. Son cadre tubulaire affiche un fort diamètre, mais l'épaisseur des tubes est réduite pour gagner du poids. On n'atteint pas 207 kg sur la balance par l'opération du Saint Esprit... Côté diamètre, celui de la fourche inversée réglable Marzocchi n'a pas à se plaindre : 50 mm pour des tubes maintenue en place par un Té inférieur en aluminium moulé et un Té supérieur en alu forgé. Là, on admire encore la finition avec des tés qui enserrent les tubes de façon oblique. Derrière, le long monobras oscillant est en aluminium moulé sous pression et travaille via un mono-amortisseur réglable placé horizontalement sous le moteur. Puis vient la lecture des chiffres de la géométrie de la machine, plus proches de ceux d'un custom que de ceux d'un roadster ou d'une sportive : 1 590 mm d'empattement, 28 ° d'angle de chasse, 41 ° d'angle avant que les reposes-pieds ne frottent. Et là, on se demande où Ducati, constructeur depuis toujours de machines à forte connotation sportive, veut nous emmener...
Du custom, le Diavel en a l'allure. Mieux : un passant nous questionnera de savoir si cette moto n'est pas un concept-bike échappé d'un bureau d'étude. De son côté, l'amateur de « vraies Ducati » (?) que nous croisons lors d'une pause persiste à la trouver disgracieuse, disproportionnée entre l'avant massif et l'arrière tronqué. Il reconnaît cependant qu'elle a bien la voix d'une héritière de Borgo Panigale. Bas de selle (770mm), long et trapu, le Diavel fait encore son « petit » effet custom à cause de son énorme pneu arrière. Alors forcément, lorsqu'on attrape le Diavel par les cornes, enfin par le guidon, on s'attend à une position ET à un poids de custom. Et là c'est la (première) claque. Certes, les pieds sont légèrement avancés et le guidon est reculé comme sur un custom. Pourtant, on est installé comme sur un roadster, le buste légèrement incliné vers l'avant, les jambes naturellement repliés et les bras tendus juste ce qu'il faut. Si on ajoute l'assise confortable, l'équation se rapproche de la position idéale pour cruiser. On prend une seconde gifle lorsqu'on relève la moto de sa béquille latérale : c'est son poids normal ou bien il manque des morceaux ? Comme évoqué en ce début d'essai, le Diavel n'a rien à voir avec son look. Légère, on la bascule à l'arrêt de gauche à droite comme qui rigole. Et puis vient le moment de la mise en marche. Le sol tremble alors sous les grondements sourds du L-Twin. Le vacarme est intense, la puissance transpire à chaque coup de gaz donné à vide, le moulbif grimpant dans les tours sans inertie. Tel est le diable, selon Ducati : un muscle bike qui s'apprivoise comme un roadster et qui arrache les bras comme une sportive...
Commence alors un tour de manège infernal, inquiétant sur les premiers mètres à cause d'une direction un peu lourde qui engage à basse vitesse. Mais l'inquiétude s'estompe à mesure que l'on fait connaissance avec la bête. Avec un peu de vitesse, le Diavel ne demande qu'à danser en virage. Bien sûr, on l'aide en tirant sur le guidon et en changeant le repose pied d'appui pour passer d'un angle à l'autre. Bien sûr, on se méfie du pneu arrière qui a tendance à vous pousser à l'extérieur du virage à l'accélération. Mais on comprend très vite le mode d'emploi et très vite, on joue avec le diable. On rentre plus fort en courbe, on remet les gaz plus tôt et, comme la garde au sol vient à manquer, on se met à déhancher. Et d'un coup, on réalise qu'on est en train « d'attaquer », cherchant même à sortir de courbe en wheeling d'une petite pichenette sur l'embrayage. Le diable se dresse au doigt et à l’œil... On finit alors par tenter le diable et, parfois, arriver trop vite sur un virage. Il suffit alors d'écraser le levier droit, l'empattement long de la moto devenant cette fois un allié en ce sens où la machine ne perd pas sa stabilité. La seule limite devient alors celle de l'adhérence du pneu avant, l'ABS servant de garde-fou supplémentaire. En quelques kilomètres de virolos, je viens de vendre mon âme au diable. Littéralement envoûté, je baisse le rythme et découvre une machine qui se prête à la balade. De satanic-machine, le Diavel se transforme en compagne de route agréable, confortable et sûre. Là, pas de supercherie diabolique, la mécanique sait se faire docile à bas régime, même si sa boite de vitesses est parfois ferme. De même, et aussi bizarre que cela puisse paraître, la protection offerte est plus que correcte. Bref, quelle que soit votre état d'esprit, du cruising à la cool à l'arsouille en règle en passant par l'étape routière, le diable sait toujours trouver les arguments pour vous séduire...
Que l'on soit adepte ou détracteur de son look, peu importe puisque tous les goûts sont dans la nature. En attendant, une chose est sûre : le Diavel est bien une Ducati 100 % pur jus. Que ce soit côté mécanique avec sa façon tonitruante de délivrer sa puissance ou que ce soit côté partie cycle avec une machine finalement légère, agile, stable et très bonne freineuse, le Diavel embarque des gènes de sportive et de roadster maison tout en proposant une genre unique : le sien.
Pour:
Machine unique en son genre
Moteur sensationnel
Tenue de route et freinage
Finition
Confort / position de conduite
Légèreté
Contre:
Boite de vitesses parfois ferme
Trop de bruit ?
Moteur :10/10
Partie-cycle :9/10
Esthétique :8/10
Équipement :9/10
Vitesse maxi :+ de 240 km/h
Accélération 0-100 m :n.m. sec
Diamètre braquage :n.m. mm
Conso. moyenne :7,1 l/100 km
Autonomie :240 km
Note Finale : 9/10
Ducati Diavel Carbone : desmo-niaque !
Par son côté bestial et surtout inédit, elle est adorée par les uns. Ce même aspect trapu, énorme, massif fait aussi que d'autres la détestent. Mais quelle que soit votre opinion, vous tournerez forcément la tête sur le passage d'une Ducati Diavel. Un an après sa sortie, le diable de Bologne déchaîne toujours autant les passions. En compagnie de la version carbone, nous avons voulu comprendre pourquoi.
« Cette moto est tout simplement incroyable », nous confie l'un de ses propriétaires, « ne serait-ce que parce que son comportement n'a rien à voir avec son look ». C'est un fait, on ne s'attend pas à trouver une machine aussi -relativement- simple à utiliser lorsqu'on découvre le gabarit de cette Ducati pour le moins impressionnante. Mais qui ne serait pas intimidé à l'idée de rencontrer le diable ?
Du carbone à ras !
Ainsi, le Diavel impressionne. Surtout lorsqu'il est vêtu de rouge et de carbone comme c'est le cas aujourd'hui. Du carbone, c'est simple, il y en a partout : réservoir, entourage du bouchon de réservoir, garde-boue avant et arrière, sabot moteur, caches courroies de distribution, couvercle du pignon de sortie de boite de vitesses, couvercles des maitres-cylindre de frein et d'embrayage... Même la selle voit ses flancs imiter la fibre (authentique celle-là) des pièces spécifiques à cette version. L'assise, elle, est recouverte d'alcantara, une matière douce au toucher et antidérapante tandis que la finition est splendide, comme en témoignent les surpiqures rouges. Une finition irréprochable caractérise d'ailleurs cette moto, ce que l'oeil ne cesse de découvrir au fur et à mesure qu'il s'attarde sur les détails : les jantes Marchesini forgées en aluminium, noires et aux branches polies, sont purement et simplement magnifiques, tandis que la largeur de l'élément arrière interpelle. L'aluminium poli des écopes latérales est cette fois recouvert d'un noir satiné, contrastant avec le rouge vif des énormes tubes du cadre, les axes de fixation du moteur sont dissimulés derrière de petits caches en aluminium siglés « Ducati Performance », les frettes des disques de frein avant sont en aluminium usiné, aluminium que l'on retrouve encore pour l'enveloppe des silencieux, le capotage du phare ou encore les branches des rétroviseurs. Bref, si le Diavel n'est pas donné, on en a clairement pour son argent ! D'autant que niveau équipement, cette Ducati n'a absolument rien à envier aux plus modernes Superbikes...
Un cœur d'enfer
Mécaniquement d'abord, le Diavel reçoit donc le bicylindre en L de 1 198 cm3 développant 162 chevaux et 127 Nm de couple, en version libre il va de soit. Rassurez-vous, même en configuration française, le bouilleur en a bien assez dans les bielles pour faire son « chaud » et justifie pleinement la présence des trois modes de fonctionnement Urban, Touring et Sport. Une promenade dans les menus dispensés par l'ordinateur de bord vous permettra de modifier les réglages par défaut mais nous vous recommandons pour cela de ne pas oublier le guide car la sélection des différentes fonctions n'est pas intuitive. Conscient de ce phénomène, le constructeur met d'ailleurs en ligne des tutoriels vidéo pour s'y retrouver. L'antipatinage peut ainsi être défini sur 8 positions ou désactivé quel que soit le mode choisi, le tout fonctionnant via un accélérateur de type Ride by Wire. Si l'envie vous prend de vouloir tirer le diable par la queue, vous pourrez donc évoluer en mode Sport sans le moindre contrôle de traction ni le moindre antiblocage des roues.
Du muscle, que diable !
Un cœur sportif ne servirait à grand chose s'il n'était assorti d'une carrure d'athlète. Heureusement, le Diavel possède ce qui faut question muscles saillants. Son cadre tubulaire affiche un fort diamètre, mais l'épaisseur des tubes est réduite pour gagner du poids. On n'atteint pas 207 kg sur la balance par l'opération du Saint Esprit... Côté diamètre, celui de la fourche inversée réglable Marzocchi n'a pas à se plaindre : 50 mm pour des tubes maintenue en place par un Té inférieur en aluminium moulé et un Té supérieur en alu forgé. Là, on admire encore la finition avec des tés qui enserrent les tubes de façon oblique. Derrière, le long monobras oscillant est en aluminium moulé sous pression et travaille via un mono-amortisseur réglable placé horizontalement sous le moteur. Puis vient la lecture des chiffres de la géométrie de la machine, plus proches de ceux d'un custom que de ceux d'un roadster ou d'une sportive : 1 590 mm d'empattement, 28 ° d'angle de chasse, 41 ° d'angle avant que les reposes-pieds ne frottent. Et là, on se demande où Ducati, constructeur depuis toujours de machines à forte connotation sportive, veut nous emmener...
Custom + roadster + sportive = accouplement satanique
Du custom, le Diavel en a l'allure. Mieux : un passant nous questionnera de savoir si cette moto n'est pas un concept-bike échappé d'un bureau d'étude. De son côté, l'amateur de « vraies Ducati » (?) que nous croisons lors d'une pause persiste à la trouver disgracieuse, disproportionnée entre l'avant massif et l'arrière tronqué. Il reconnaît cependant qu'elle a bien la voix d'une héritière de Borgo Panigale. Bas de selle (770mm), long et trapu, le Diavel fait encore son « petit » effet custom à cause de son énorme pneu arrière. Alors forcément, lorsqu'on attrape le Diavel par les cornes, enfin par le guidon, on s'attend à une position ET à un poids de custom. Et là c'est la (première) claque. Certes, les pieds sont légèrement avancés et le guidon est reculé comme sur un custom. Pourtant, on est installé comme sur un roadster, le buste légèrement incliné vers l'avant, les jambes naturellement repliés et les bras tendus juste ce qu'il faut. Si on ajoute l'assise confortable, l'équation se rapproche de la position idéale pour cruiser. On prend une seconde gifle lorsqu'on relève la moto de sa béquille latérale : c'est son poids normal ou bien il manque des morceaux ? Comme évoqué en ce début d'essai, le Diavel n'a rien à voir avec son look. Légère, on la bascule à l'arrêt de gauche à droite comme qui rigole. Et puis vient le moment de la mise en marche. Le sol tremble alors sous les grondements sourds du L-Twin. Le vacarme est intense, la puissance transpire à chaque coup de gaz donné à vide, le moulbif grimpant dans les tours sans inertie. Tel est le diable, selon Ducati : un muscle bike qui s'apprivoise comme un roadster et qui arrache les bras comme une sportive...
Salsa du démon
Commence alors un tour de manège infernal, inquiétant sur les premiers mètres à cause d'une direction un peu lourde qui engage à basse vitesse. Mais l'inquiétude s'estompe à mesure que l'on fait connaissance avec la bête. Avec un peu de vitesse, le Diavel ne demande qu'à danser en virage. Bien sûr, on l'aide en tirant sur le guidon et en changeant le repose pied d'appui pour passer d'un angle à l'autre. Bien sûr, on se méfie du pneu arrière qui a tendance à vous pousser à l'extérieur du virage à l'accélération. Mais on comprend très vite le mode d'emploi et très vite, on joue avec le diable. On rentre plus fort en courbe, on remet les gaz plus tôt et, comme la garde au sol vient à manquer, on se met à déhancher. Et d'un coup, on réalise qu'on est en train « d'attaquer », cherchant même à sortir de courbe en wheeling d'une petite pichenette sur l'embrayage. Le diable se dresse au doigt et à l’œil... On finit alors par tenter le diable et, parfois, arriver trop vite sur un virage. Il suffit alors d'écraser le levier droit, l'empattement long de la moto devenant cette fois un allié en ce sens où la machine ne perd pas sa stabilité. La seule limite devient alors celle de l'adhérence du pneu avant, l'ABS servant de garde-fou supplémentaire. En quelques kilomètres de virolos, je viens de vendre mon âme au diable. Littéralement envoûté, je baisse le rythme et découvre une machine qui se prête à la balade. De satanic-machine, le Diavel se transforme en compagne de route agréable, confortable et sûre. Là, pas de supercherie diabolique, la mécanique sait se faire docile à bas régime, même si sa boite de vitesses est parfois ferme. De même, et aussi bizarre que cela puisse paraître, la protection offerte est plus que correcte. Bref, quelle que soit votre état d'esprit, du cruising à la cool à l'arsouille en règle en passant par l'étape routière, le diable sait toujours trouver les arguments pour vous séduire...
Conclusion
Que l'on soit adepte ou détracteur de son look, peu importe puisque tous les goûts sont dans la nature. En attendant, une chose est sûre : le Diavel est bien une Ducati 100 % pur jus. Que ce soit côté mécanique avec sa façon tonitruante de délivrer sa puissance ou que ce soit côté partie cycle avec une machine finalement légère, agile, stable et très bonne freineuse, le Diavel embarque des gènes de sportive et de roadster maison tout en proposant une genre unique : le sien.
Pour:
Machine unique en son genre
Moteur sensationnel
Tenue de route et freinage
Finition
Confort / position de conduite
Légèreté
Contre:
Boite de vitesses parfois ferme
Trop de bruit ?
Moteur :10/10
Partie-cycle :9/10
Esthétique :8/10
Équipement :9/10
Vitesse maxi :+ de 240 km/h
Accélération 0-100 m :n.m. sec
Diamètre braquage :n.m. mm
Conso. moyenne :7,1 l/100 km
Autonomie :240 km
Note Finale : 9/10
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Age : 54
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Moto : T'es de la police?
Humeur : Bonhomme...
Date d'inscription : 27/02/2009
Re: Ducati Diavel
Garantie et Prix
- 2 ans, pièces et MO
- 20390 €
Fiche technique
Moteur : bicylindre 4T, refroidi par eau, double ACT, 4 soupapes
Cylindrée : 106 x 67,9 = 1198,4 cm3
Puissance maxi : 162 ch à 9 500 tr/mn
Couple : 127.5 nm à 8 000 tr/mn
Mise en route : démarreur électrique
Alimentation : Injection
Embrayage : en bain d'huile
Boîte : 6 vitesses
Cadre : Treillis tubulaire en acier
Suspension av. : fourche inversée ø50 , déb. 120 mm
Suspension ar. : Mono-amortisseur, déb. 120 mm
Frein av. : double disque ø 320 mm, radial 4 pistons
Frein ar. : simple disque ø 265 mm, flottant à 2 pistons
Pneu av. : 120/70/17; ar. : 240/45/17
Réservoir essence : 17 litres
Longueur : 2 257 mm
Hauteur de selle : 770 mm
Poids à sec : 210 kg
Equipement de série
Coupe-contact
Appel de phare
Compte-tours et compteur digital
Ecran de contrôle TFT en couleur
Ordinateur de bord
Indicateur de rapport engagé
Température moteur
Température ambiante
Tension batterie
Trip kilométrique partiel
Décompte kilométrique en réserve
Consommation instantanée et moyenne
gestion de l'antipatinage, de l'abs et des modes de conduite
Blocage de direction électrique
Système de clé codée à transpondeur
Béquille latérale
Suspensions avant et arrière réglables
Monobras oscillant
Constructeur / Distributeur
DUCATI
Ducati-France
390 Rue Estienne D’Orves
92701 – Colombes Cdx
Tel : 01 56 05 60 00
Fax : 01 56 05 60 04
www.ducati.fr
Concurents
BENELLI TNT 1130 Café-Racer
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BENELLI TNT 1130 Café-Racer 2009
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BMW K 1300 R
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BMW R 1200 R
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BUELL 1125 CR
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BUELL Lightning CityX XB12 SX
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BUELL XB12 X Ulysses
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DUCATI Monster 1100 EVO
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DUCATI Streetfighter S
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MORINI 9 1/2
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MORINI Corsaro
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MV Agusta Brutale 1078R
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MV Agusta Brutale 1090 RR
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SUZUKI B-King 1300
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SUZUKI GSF 1250 Bandit 2010
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YAMAHA MT 01
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YAMAHA V-Max
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YAMAHA XJR 1300
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- 2 ans, pièces et MO
- 20390 €
Fiche technique
Moteur : bicylindre 4T, refroidi par eau, double ACT, 4 soupapes
Cylindrée : 106 x 67,9 = 1198,4 cm3
Puissance maxi : 162 ch à 9 500 tr/mn
Couple : 127.5 nm à 8 000 tr/mn
Mise en route : démarreur électrique
Alimentation : Injection
Embrayage : en bain d'huile
Boîte : 6 vitesses
Cadre : Treillis tubulaire en acier
Suspension av. : fourche inversée ø50 , déb. 120 mm
Suspension ar. : Mono-amortisseur, déb. 120 mm
Frein av. : double disque ø 320 mm, radial 4 pistons
Frein ar. : simple disque ø 265 mm, flottant à 2 pistons
Pneu av. : 120/70/17; ar. : 240/45/17
Réservoir essence : 17 litres
Longueur : 2 257 mm
Hauteur de selle : 770 mm
Poids à sec : 210 kg
Equipement de série
Coupe-contact
Appel de phare
Compte-tours et compteur digital
Ecran de contrôle TFT en couleur
Ordinateur de bord
Indicateur de rapport engagé
Température moteur
Température ambiante
Tension batterie
Trip kilométrique partiel
Décompte kilométrique en réserve
Consommation instantanée et moyenne
gestion de l'antipatinage, de l'abs et des modes de conduite
Blocage de direction électrique
Système de clé codée à transpondeur
Béquille latérale
Suspensions avant et arrière réglables
Monobras oscillant
Constructeur / Distributeur
DUCATI
Ducati-France
390 Rue Estienne D’Orves
92701 – Colombes Cdx
Tel : 01 56 05 60 00
Fax : 01 56 05 60 04
www.ducati.fr
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BENELLI TNT 1130 Café-Racer
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BENELLI TNT 1130 Café-Racer 2009
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Un Diavel DVC Motocorse très corsé (moto.caradisiac.com)
Source
Ducati: Un Diavel DVC Motocorse très corsé
Par André Lecondé - le Mercredi 13 juin 2012
Le Diavel est quelque chose d'à part sur le marché de la moto. C'est comme s'il s'était crée son propre espace, ce qui, au passage, est un peu le don de Ducati pour ses modèles. Tenez, regarder le Multistrada, ce n'est franchement pas un trail comme les autres. Hé bien le Diavel, dans le genre custom, c'est encore pire. Non seulement il n'est pas comme ses collègues du genre, mais pour tout dire, il est franchement à part. Presque comme un pied de nez avec un châssis vif comme l'éclair et précis comme un sniper tandis que son moteur s'étonne toujours d'avoir quitté son terrain de prédilection, soit la piste.
Là-dessus, il faut écouter les commentaires qu'il suscite. En résumé, c'est pour le quadra m'as tu vu qui a les moyens, guetté par une surdité précoce au fur et à mesure qu'il avale les kilomètres à son guidon. Le genre de truc peut être statutaire mais terriblement clivant. Bref, ce n'est le brêlon de l'homme normal.
Avec cette préparation signé Motocorse, autant dire que les choses ne vont pas s'arranger. La base déjà sexy se veut encore un peu plus incandescente avec des retouches aussi discrètes que pertinentes qu'un habillage en titane rehausse. Le clou du spectacle se situe au niveau d'un échappement inédit qui offre, en plus, l'avantage d'alléger l'ensemble de 6,39 kilos exactement. A damner un Saint !
Ducati: Un Diavel DVC Motocorse très corsé
Par André Lecondé - le Mercredi 13 juin 2012
Le Diavel est quelque chose d'à part sur le marché de la moto. C'est comme s'il s'était crée son propre espace, ce qui, au passage, est un peu le don de Ducati pour ses modèles. Tenez, regarder le Multistrada, ce n'est franchement pas un trail comme les autres. Hé bien le Diavel, dans le genre custom, c'est encore pire. Non seulement il n'est pas comme ses collègues du genre, mais pour tout dire, il est franchement à part. Presque comme un pied de nez avec un châssis vif comme l'éclair et précis comme un sniper tandis que son moteur s'étonne toujours d'avoir quitté son terrain de prédilection, soit la piste.
Là-dessus, il faut écouter les commentaires qu'il suscite. En résumé, c'est pour le quadra m'as tu vu qui a les moyens, guetté par une surdité précoce au fur et à mesure qu'il avale les kilomètres à son guidon. Le genre de truc peut être statutaire mais terriblement clivant. Bref, ce n'est le brêlon de l'homme normal.
Avec cette préparation signé Motocorse, autant dire que les choses ne vont pas s'arranger. La base déjà sexy se veut encore un peu plus incandescente avec des retouches aussi discrètes que pertinentes qu'un habillage en titane rehausse. Le clou du spectacle se situe au niveau d'un échappement inédit qui offre, en plus, l'avantage d'alléger l'ensemble de 6,39 kilos exactement. A damner un Saint !
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