Sports mécaniques, quand la politique s’en mêle !

Dans le cadre des prochaines élections régionales, trois grands organismes, FFM en tête, sont allés à la rencontre des leaders régionaux. Les principaux groupes politiques français ont été interrogés sur plusieurs thématiques, dont les sports mécaniques !

A l’aube des prochaines élections régionales, qui, rappelons-le, auront lieu les 14 et 21 mars prochain, trois organismes français se sont rendus dans nos régions. FFM, FFMC et CODEVER sont en effet allés à la rencontre des principaux leaders politiques des groupes UMP, PS, Modem et Europe Ecologie. Chacun ont répondu à des sujets divers, dont celui des sports mécaniques.

Côté UMP, PS et MODEM, tous ont accordé leurs violons pour adopter une position favorable envers les sports mécaniques et ainsi soutenir leur développement.


Mais dans les rangs d’Europe Ecologie, les idées sont tout autre. A l’exception de la région Aquitaine, les Verts se sont entendus pour annoncer des mesures à la défaveur de nos deux-roues :

* Le sacrifice des sports mécaniques sur l’autel de l’écologie ;
* Le refus du subventionnement des événements de sports mécaniques ;
* Le rejet de tout soutien à la création de circuits de sports mécaniques.

Pourquoi un tel combat ? En vue de défendre l’environnement bien sûr. Un choix on ne peut plus paradoxal lorsque l’on sait, par exemple, qu’un Boeing 747 qui se rend aux Maldives consomme plus de carburant que toutes les motos des 24 Heures du Mans. Et que, d’une manière générale, l’empreinte écologique de nos deux-roues est limitée.

Chers citoyens, faîtes vos jeux !

Oui, et c'est couper le financement du développement de techniques nouvelles, (électrique entre autres) qui sans la médiatisation apportée par les sports mécaniques sombreraient totalement dans l'oubli.

Les écolos, si on les avait écouté il y a trente ans, la France serait un des pays les plus pollueurs (et pollués) de la planète.

Moralité, si on veut rouler écolo, faut pas voter écolo...