Kawasaki: La Z 750 est morte vive la Z 800 !(caradisiac)

:thanks: Rousse pour les news


Super ça me donne bien envie de les essayer ces deux là

cobalt57co a écrit:

Put... c'te gueule de tueuse de l'avant !!

Pas mal ... pour une jap :-)

Enorme !!!

Je kiffe mais attention, ça va encore sortir à combien cette histoire sur not' caillou ?!

Il n'est décidément pas facile pour un constructeur de garder le secret d'un modèle jusqu'à sa présentation officielle.Une mission dont le constructeur Kawasaki n'est pas expert. Par le passé, les verts s'étaient déjà fait griller ses embargos tandis que depuis quelques semaines, ses derniers Ninja et sa nouvelle Z 800 sont chaque jour un peu plus effeuillés. A se demander, au final, à quoi sert de dépenser des sous pour organiser une découverte au grand jour et sous le sceau du constructeur pour un public averti.

C'est pourtant ce que va faire le blason d'Akashi aujourd'hui à New York pour sa dernière ZX6-R et sa nouvelle Ninja 300. De quoi s'attirer enfin les feux des projecteurs en toute exclusivité ? Même pas ! Car voilà une vidéo qui nous arrive montrant un personnage, visiblement bien introduit, faire chauffer les mécaniques de la dernière sportive au 636cc et du roadster qui aura la lourde tâche de succéder à la Z 750.

La démarche est d'ailleurs si parfaite que l'on se demande quand même si tout ceci n'est pas un peu téléphoné. Mais bon, l'essentiel est de regarder et de susciter l'intérêt. Le buzz quoi...

source caradisiac André Lecondé - le Mercredi 12 septembre 2012

Même pas il attend un peu ou fait chauffer, un gros bourrin !

elle a une ligne d'enfer !

C'est l'une des nouveautés majeures d'une usine Kawasaki qui espère rendre vert de rage la concurrence. Car qu'on se le dise, la Z750 est morte... Et vive la Z800 ! Un des modèles phare d'Akashi si bien que son remaniement n'a rien d'anodin. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que Kawasaki n'a pas eu froid aux yeux.

Le constructeur a exacerbé les codes esthétiques de son roadster à succès, jusqu'à, dixit l'usine, provoquer « l’agressivité plus manifeste des lignes, la tête de fourche accentuant la férocité du regard de la Z800. Les écopes latérales et le carénage inférieur semblent enserrer le moteur... À l’image d’un carnassier tenant une proie dans sa gueule »...


En prenant un peu plus de centimètres cubes, grâce au diamètre d’alésage supérieur qui fait passer la cylindrée de 748 cm3 à 806 cm3, cette nouvelle Z promet un moteur souple et des accélérations énergiques sur tous les rapports. Par ailleurs, la position de conduite s'affine, sans doute pour mieux profiter du combiné d’instruments, redessiné dans l’esprit des nouvelles lignes, et qui comprend des écrans LCD multifonction et un compte-tours à échelle de graduation.


Tous les ingrédients déclinés depuis maintenant quatre décennies après l'apparition de la première Z1 se trouvent ainsi à nouveau réunis dans une moto mise au goût du jour, sans perdre de son caractère martial qui a fait à la fois sa réputation et sa popularité. La recette d'un nouveau succès ?

Le prix de vente sera de 9 495 €


Par André Lecondé - Pauline Rachwal - le Mardi 02 octobre 2012 caradisiac

Merci rousse pour tt ces info!!!

Ch'ui carément fan du nouveau Z! Je trouve néanmoins quelques trait de la street fighter de chez ducat.
En tt cas très beau joujou!!

Belle moto , dommage pour le pot !

J'espère que cette Kawa va retrouver son moteur fougueux d’antan, qui faisait la réputation de la marque.

La on est dans le roadster, fini l’époque Ninja !

1. Kawasaki Z 800 2013 : I'm riding in the rain !
158 674 unités vendues depuis 2004, 26,6% de part de marché dans la catégorie de la moyenne cylindrée. Les chiffres annoncés par Kawasaski donneraient le tournis à beaucoup de concurrents. Pourtant la marque ne s’est jamais reposée sur ses lauriers et n’a eu de cesse d'innover sa gamme Z. Très à l’écoute de sa clientèle nous avons pu voir s’améliorer au fil des années la Z750 et corriger les défauts parfois gênants (bas régime trop mou, vibrations etc.). Pour 2013, la Z change de cylindrée et s’attaque à la nouvelle famille des 800. Développée spécialement pour l’Europe, elle se proposera en deux versions. La Z standard et la version dite « e » pour le nouveau permis mis en place dès le mois de janvier prochain.

Et c’est dans un cadre de rêve que Kawasaki nous a reçus en cette fin de mois de novembre. Une ville connue pour sa course de Fomule 1 et sa famille royale. Je veux bien sûr parler de Monaco. À la recherche d’un peu de chaleur du sud de la France j’ai sauté sur l’occasion. En plus, une toute nouvelle moto à découvrir et être chouchoutée par la marque verte, il n’y a vraiment pas de quoi se plaindre.

Et pourtant notre groupe de journaliste a dû faire face à des conditions climatiques assez exceptionnelles. De la pluie, beaucoup de pluie, des torrents d’eau à en avoir les bottes comme des piscines (au sens propre du terme et je ne vous parle pas des gants). C’était l’occasion de tester cette nouvelle machine d’une manière un peu différente donc. Mais rassurez-vous, nous avons quand même pu le lendemain rouler sous quelques rayons de soleil, profiter du magnifique Cap Estérel et faire les photos nécessaires pour cet essai !


2. Kawasaki Z 800 2013 : se méfier de l'eau qui dort
Elle présente bien cette Z800, surtout à côté des anciennes générations. Elle fait passer la première version de 2004 pour une grand-mère, il faut le reconnaître. Avec les années, le pot s’est de plus en plus raccourci, la boucle arrière est plus courte et plus haute, le réservoir prend aussi du volume en hauteur pour accentuer ce côté agressif. « Sugomi » ou terrible en français, tel est l’état d’esprit de ce nouveau Z.

Cette agressivité, on l’a retrouvé jusqu’au compteur qui est devenu aussi escarpé que l’ensemble des lignes. On passe au tout digital LCD avec toutes les informations dont vous pourriez avoir besoin. Des trips totaux à journaliers, une jauge d’essence et la très pratique icône « Eco Riding » qui s’allume lorsque vous vous situez dans une plage optimisée pour économiser votre plein d’essence (c’est un détail mais qui reste non négligeable). Le plus perturbant sur ce nouveau bloc reste sans conteste le compte-tours qui se situe en plein centre du tableau de bord et qui indiquera la montée en régime de bas en haut (et non latéralement). Une particularité à laquelle on s’habitue assez vite.


Sur le reste de la machine, on a pu noter l’attention portée sur les détails de finition. Dans cette catégorie, cela reste plutôt rare (économie, économie quand tu nous tiens). Pas un câble mal placé, les vis des montages soigneusement dissimulées, des caches bien placés pour harmoniser l’ensemble de la machine comme le sabot moteur et cette plaque sous la selle passager qui cache la boucle arrière et souvent des vis et autres éléments disgracieux négligés la plupart du temps (en plus bien plus facile à nettoyer après de bonne projection venant du pneu arrière). Sur les aspects plus voyants, on notera une platine unique pour les repose-pieds du pilote et du passager, des incrustations du nouveau logo « Z » sur de nombreuses pièces de la machine comme l’impression de la selle ou l'incrustation dans les feux arrières LED (je vous laisserai chercher les nombreux autres) ou encore le travail soigné de la peinture et des coloris.

Alors quoi de neuf sur cette Z ?


On pourrait penser à tort que cette 800 est une création totalement nouvelle de la part du constructeur Kawasaki. Et bien ce n’est pas tout à fait exact. Certes il y a beaucoup d’évolutions sur ce nouveau modèle mais il a été construit sur une base existante. On retrouve par exemple le cadre du Z750R, mais également les suspensions de cette version. De la Z750 classique, il on a repris la base moteur pour le faire évoluer en 806 cm3. Au passage, gagner quelques chevaux (113 au lieu de 110 en version libre) et surtout retravailler les bas et mi-régime qui manquaient jusqu’à aujourd’hui de mordant. Côté frein, pas de radial, mais on se doute que ce sera proposé pour une prochaine version !

Le calme avant la tempête
C’est après m’être transformée en sac-poubelle géant pour affronter les kilomètres sous la pluie que je m’installe sur cette nouvelle Z. Quand on connaît la 750, la position ne change pas malgré les quelques corrections apportées par la maison verte. Une position légèrement vers l’avant mais en restant plutôt naturelle. J’apprécie particulièrement la forme du réservoir qui ne donne pas l’impression d’avoir un « truc énorme » entre les jambes et de ressembler à un crapaud. En revanche, vu la hauteur du réservoir j’ai des gros doutes sur la visibilité des compteurs avec une sacoche de réservoir. L’empattement reste standard pour les manœuvres, ni trop ni pas assez. La concentration du poids sur le centre de la machine facilite le déplacement à l’arrêt (bon nombre de demoiselles devraient apprécier). En revanche, pour le duo, il faudra passer votre chemin ou avoir un SDS très compatissant. Les générations d’avant n’avaient jamais été tendres avec les passagers, mais pour cette saison, je crois que ce n’est pas mieux !


On tourne la clé on démarre et on écoute ! Enfin s’il y a quelque chose à écouter… Comme bon nombre de motos aujourd’hui, les normes européennes font disparaître le bruit si plaisant des moteurs, mais dans ce dédale de silence, la Z800 offre encore un ronronnement pas du tout désagréable. On est encore loin de la machine à laver !

C’est dans le gigantesque labyrinthe qu’est Monaco que nous commençons notre périple, suivi de la longue promenade des Anglais à Nice. Pour la ville et la circulation à basse vitesse, la Z trouve vite ses marques, l’angle de chasse est ajusté comme il faut, beaucoup de maniabilité sans entrer dans l'excès de nervosité. On appréciera de ne pas sentir les 220 kilos de la moto dans la circulation et de se faufiler tout aussi bien qu’un scooter (presque !). Inutile de dire qu’il vaudra mieux préférer une version ABS pour ce type d’usage malgré l’extrême douceur et progressivité des freins. Ca aurait presque pu être un parcours sans faute si le point de friction de l’embrayage n’avait pas été aussi loin. Quelle galère à chaque démarrage de doser correctement sans avoir cette fâcheuse sensation que l’on va caler ! Il me faudra un certain nombre de départ/arrêté pour sentir la boite.


À défaut d’ouvrir comme un âne à cause du temps, ce roulage a permis de pousser la Z 800 à montrer ses qualités en terme de sécurité, de stabilité, de protection et de gestion sur des longs trajets en condition difficile. Montée en Dunlop D214, ces pneus offriront une neutralité qui permettra de bien se concentrer sur le comportement de la moto. Sur voies rapides, ne comptez pas sur la Z pour vous protéger correctement au-delà de 120 km/h. Ce n’est d’ailleurs pas ce qu’on lui demande (il existe une bulle en option), la position reste agréable sur des vitesses rapides et on enchaîne facilement les kilomètres jusqu’au rappel de notre fessier qui s’engourdit à cause d’une selle trop dure. En revanche, j’ai pu ressentir des petits vibrations parasites venant directement des fourches avant qui donnent un comportement assez flou pas très rassurant. Pas aussi engourdissantes que les générations d’avant, les vibrations n’ont pas tellement disparu.

Le roulage sous la pluie c’est bien gentil, mais le reste ?
Heureusement, la Team Kawasaki ayant prié le dieu soleil toute la nuit, ce dernier a décidé de nous accorder la faveur de sa présence le lendemain pour l’ultime roulage. Un peu tous comme des chiens enragés, il a tout de même fallu composer notre envie de rouler avec des routes encore bien trempées. Premier constat, le rugissement moteur. Je ne sais pas si c’est la pluie qu’il l’avait refroidi notre Z, mais il n’a pas fallu longtemps pour découvrir que sous son calme apparent il est aussi capable d’envoyer du bien plus lourd pour cette catégorie dès les 7000 tr/min jusqu’à la zone rouge. Le quatre cylindre a la faculté de pouvoir autant pousser dès qu’on tourne la poignée que d'enrouler tranquille sans se poser de question lors du passage de rapport ou de taper sec dans les hauts régimes. Ultra instinctif, il ne décevra pas les fans du modèle. L’amélioration du bas régime aussi petite soit-elle est un vrai plus qui manquait à la 750.

Sur cette 800, Kawasaki a passé son système de freinage de 2 à 4 pistons. Et il faut bien ça pour pouvoir jouer un peu avec le moulin et la partie cycle réactive. Certains pourraient reprocher aux suspensions d’être trop fermes pour le confort, mais elles se trouvent parfaitement ajustées pour une bonne stabilité en courbe, pour le freinage. Pas de mouvement parasite ni de cheval à bascule. Et même si elle parait de tout abord facile à conduire et un vrai jouet à virage, la Z ne sera pas à mettre entre toutes les mains. Elle pourrait surprendre plus d’un pilote chevronné sur une correction de trajectoire ou une prise d’angle optimiste (mon bon souvenir à un journaliste Suedois qui pensait tester le grip sur la voie de gauche). Il faudra la tenir et faire confiance à ses réflexes.

Cette nouvelle version n’est plus une moto pour débutant, c’est sûr et certain. Mais que les futurs permis se rassurent, Kawasaki sort une version « e » (comme Europe) qui développera 95 chevaux pour les nouveaux conducteurs et sera bridable à 35kW. En revanche, cette version « e » ne pourra pas par la suite être basculée en 113 chevaux.


3. Kawasaki Z 800 2013 : l'avis de la rédaction [+fiche technique]
Cette renaissance de la Z est, on peut le dire une réussite pour Kawasaki. Le passage de 750 à 800 et le travail sur le moteur était nécessaire pour combler les attentes du marché. Elle plaira sans nul doute à la communauté des Zistes et il se pourrait bien que cette nouvelle version donne à la marque verte un sacré coup de pouce pour rester en tête du marché de moyenne cylindrée. Sans négliger les détails, Kawa’ s’est offert un joli quarantième anniversaire en refondant son Bestseller. Certes, cette 800 ne sera plus à portée du jeune motard fraîchement démoulé, mais bon on peut compter sur cette version « E »

Mais dans ce tableau idyllique, reste ce qui est pour moi un considérable frein. Son prix ! 8890 euros pour la version standard ! Et il faut compter 600 euros de plus pour la version ABS, qui devrait il me semble déjà être de série (surtout qu’il va devenir obligatoire en 2016). Idem pour la version « e » qui affiche 7999 euros et 600 euros de plus pour la version ABS. Un tel prix pour une moto qui au final ne peut pas être configurable dans la version 113 chevaux, ça vaudrait plus le coup d'attendre et s'offrir directement la version standard.

Caradisiac a aimé :

Look et finitions
Prise en main
Performance moteur
Partie cycle saine

Caradisiac n'a pas aimé :

Visibilité des rétros
Confort
Prix
ABS à 600 euros en option

Coloris
Noir
Blanc
Vert
Version e : Orange, blanc, noir

Tarifs:
Z800e: 7999 euros
Z800e ABS: 8599 euros
Z800 : 8899 euros
Z800 ABS : 9499 euros
Disponibilité : Mi-décembre 2012




Fiche technique :
Moteur : 4 cylindres en ligne, refroidissement liquide
Cylindrée : 806 cm3
Taux de compression : 11.9:1
Démarrage : électrique
Alésage par course : 71.0 x 50.9 mm
Puissance Max. aux tours/min : 113 ch (83 kW) à 10 200 tr/min version libre
Couple maximum tours/min : 83 Nm à 8 000 tr/min version libre
Refroidissement : Liquide
Boîte de vitesse : 6 vitesses
Cadre : Poutre tubulaire en acier avec support moteur
Suspension avant : Fourche inversée 41 mm, réglable en détente et précharge
Suspension arrière : monoamortisseur , réglable en détente et précharge
Frein avant : Double disque en pétales semi-flottants de 310 mm, étriers à 4 pistons opposés
Frein arrière: Simple disque en pétales de 250 mm, étrier simple piston
Jante avant : 120 mm
Jante arrière: 137 mm
Pneu avant : 120/70 ZR 17 M/C (58W)
Pneu arrière : 180/55 ZR 17 M/C (73W)
Empattement : 1,445 mm
Longueur totale : 2,100 mm
Largeur max :800 mm
Hauteur selle : 834 mm
Garde au sol : 150 mm
Poids pleins faits : 229 kilos
Capacité du réservoir : 17 litres

4. Kawasaki Z 800 2013 : détails

Les nouvelles lignes sont plus agressives, mais harmonieuses

On apprécie le réglage des suspensions

On trouve des doubles disque semi-flottants de 310 mm, étriers à 4 pistons

On aime la qualité de finition et le travail des coloris

On regrette le confort limité de la selle. Le duo on n'en parle même pas.

le "Z" se retrouve partout, cherchez bien il y en a sur toute la moto

La visibilité des rétros est bonne à condition de se contorsionner pour voir ce qu'il se passe derrière.

On aime la nouvelle volupté du 800 cm3

La Z standard et la version dite « e » pour le nouveau permis mis en place dès le mois de janvier prochain.
pas pour nous ??

pourquoi il lui en fait un pot d’échappement tout pourri comme ça
trouve que ça gâche tout

Papa Noël essaie la nouvelle Z 800




Publiée le 25 déc. 2012

Essai du nouveau roadster Kawasaki Z 800
Présenté par Stéphane LACAZE