SECURITE ROUTIERE : Réflexion d'un groupe de travail du FMNC

La mise en fourrière :

La mise en fourrière des véhicules sur le territoire résoudrait la majorité des problèmes de délinquance routière. En effet, bon nombre de personnes roulant sans permis et étant insolvables, profitent du système pour passer à travers les mailles du filet judiciaire. Les problèmes d’alcool au volant, de défaut d’assurance ou de véhicules roulants dans des états déplorables, pourraient ainsi être résolus.

La règlementation existe déjà, il manque l’essentiel : DES FOURRIÈRES REPARTIES SUR L’ENSEMBLE DU TERRITOIRE.


Les voies de dégagements :

Il faudrait employer la même règlementation que sur les routes pour automobiles métropolitaines :
(Voir annexe II, page 8)
C'est-à-dire que l’on appose le panneau C 107, aux différentes entrées des voies de dégagements, que l’accès y soit interdit aux véhicules qui par construction ne peuvent atteindre la vitesse de 50 km/h, et autorisé aux motocyclettes de 125 cm3.


Aménagements routiers :

D’une manière générale il faudrait que la signalisation, tant verticale qu’horizontale, soit implantée selon de normes bien précises, exemples :

- Les panneaux de directions doivent utiliser des codes de couleurs homogènes, et être placé de façon lisible.

- Le panneau lumineux placé à Païta nord ne devrait afficher un cycle de deux informations maxima pour être lisible.

- Dans les communes l’implantation de la signalisation devrait être faite après consultation de professionnels de la route (panneaux de « cédez le passage » placés à l’envers dans Koutio…).

- La signalisation horizontale devrait elle aussi répondre à des normes précise, de façon à être lisible de jour comme de nuit et à ne pas être glissante lorsqu’il pleut.

- Les échangeurs de la VDE, entre autres, devraient également être normalisés (longueur des voies, implantation de la signalisation…) de façon à pouvoir être utilisés en toute sécurité, tant pour rentrer que pour sortir de la voie de dégagement.


Equipement

Concernant les casques, les textes actuels sont obsolètes.

Il faut faire appliquer la norme européenne 22-05, les pays voisins du territoire qui sont entre autre l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Japon sont signataires de celle-ci. Et tolérer la norme SNELL pour les casques provenant des Etats-Unis.

NE PLUS TENIR COMPTE DE L’ANCIENNE NORME NF.


Limitations de vitesse par temps de pluie :

Dans le code territoriale la vitesse par temps de pluie n’est pas clairement règlementée, généraliser pour tout le territoire une limitation à 80 ou 90 km/h éviterait les accidents du aux aquaplanings. De plus il faudrait signaler les portions glissantes par temps de pluie avec le panneau approprié.


Permis progressif :

L’accès à la conduite d’une motocyclette doit se faire de manière progressive, malgré tout, restreindre la puissance à 34cv limite le choix des machines, ou oblige à utiliser un système de bridage pas toujours évident à mettre en place.

Nous suggérons de limiter la puissance à 90cv. Cela permet d’accéder à un choix important de motocyclette, tout en excluant les motos sportives.
Ainsi il n’y a pas à brider la machine, c’est la puissance de l’engin dans sa version standard qui est prise en compte.

Il serait souhaitable que ce soit TOUS les nouveaux conducteurs qui soient concernés, sans limite d’âge.

Dans l’absolue il faudrait appliquer la même réglementation pour les permis auto.


Formation :

Pour que celle-ci soit efficace, il faut que les établissements d’enseignements se focalisent sur l’apprentissage de la conduite et non sur l’examen de permis de conduire.

- Un enseignant ne devrait pas avoir plus de six élèves de même niveau à gérer, avec deux personnes maximum par moto. La présence de celui-ci doit être effective pendant toute la durée du cours.

- Des cours théoriques sur les vérifications et les fiches devraient être obligatoires.

- Lors des déplacements routiers chaque motard doit être en liaison radio avec le moniteur et visible de celui-ci.

- En excluant les trajets reliant l’auto-école à la piste d’entraînement, un minimum de six heures de circulation devrait être obligatoire, dont une partie hors agglomération.

- Outre le casque pour faire de la moto il faut avoir un équipement de sécurité minimum obligatoire :
° Des gants,
° des chaussures montantes,
° un blouson avec des renforts aux parties exposées,
° un pantalon épais.
Cet équipement peut, le cas échéant, être fournit par l’établissement d’enseignement.

- L’enseignant doit avoir une trousse de premiers secours à portée de main.

Annexe I - La mise en fourrière :

PARTIE I

Titre VI : Dispositions générales
Article R. 325-1-1
Etendu avec adaptation par le décret n° 2007-1626 du 16 novembre 2007 - Art. 11
En cas de constatation d'un délit prévu par le présent code ou le code pénal pour lequel la peine de confiscation du véhicule est encourue, l'officier ou l'agent de police judiciaire peut, avec l'autorisation préalable du procureur de la République donnée par tout moyen, faire procéder à l'immobilisation et à la mise en fourrière du véhicule.
Si la juridiction ne prononce pas la peine de confiscation du véhicule, celui-ci est restitué à son propriétaire, sous réserve des dispositions du troisième alinéa. Si la confiscation est ordonnée, le véhicule est remis au service des domaines en vue de sa destruction ou de son aliénation. Les frais d'enlèvement et de garde en fourrière sont à la charge de l'acquéreur.

Si la juridiction prononce la peine d'immobilisation du véhicule, celui-ci n'est restitué au condamné qu'à l'issue de la durée d'immobilisation fixée par la juridiction contre paiement des frais d'enlèvement et de garde en fourrière, qui sont à la charge de ce dernier.


PARTIE I

Titre VI : Dispositions générales
Article R. 325-2
Etendu avec adaptation par le décret n° 2007-1626 du 16 novembre 2007 - Art. 12
L'immobilisation est l'obligation faite au conducteur ou au propriétaire d'un véhicule, dans les cas prévus au présent code, de maintenir ce véhicule sur place ou à proximité du lieu de constatation de l'infraction en se conformant aux règles relatives au stationnement.
En cas d'absence du conducteur ou lorsque celui-ci refuse de déplacer son véhicule, l'immobilisation de ce véhicule peut être assurée par un moyen mécanique.

Pendant tout le temps de l'immobilisation, le véhicule demeure sous la garde juridique de son propriétaire ou de son conducteur.

Le fait pour tout conducteur ou propriétaire d'un véhicule de transport de marchandises d'un poids total autorisé en charge excédant 3,5 tonnes ou d'un véhicule de transport en commun de contrevenir à l'obligation prévue au premier alinéa est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe.

Le fait pour tout conducteur ou propriétaire d'un autre véhicule de contrevenir à l'obligation prévue au premier alinéa est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.

PARTIE I

Titre VI : Dispositions générales
Article L. 325-6
Ordonnance n°2004-567 du 17 juin 2004 (article 3)
Les véhicules dont l’état ne permet pas la circulation dans des conditions normales de sécurité ne peuvent être retirés de la fourrière que par des réparateurs chargés par les propriétaires d’effectuer les travaux reconnus indispensables.

Ils ne peuvent ensuite être restitués à leurs propriétaires qu’après vérification de la bonne exécution des travaux.

En cas de désaccord sur l’état du véhicule, un expert est désigné dans des conditions fixées par délibération du congrès de la Nouvelle-Calédonie. S’il constate que le véhicule n’est pas en état de circuler dans des conditions normales de sécurité, il détermine les travaux à effectuer avant sa remise au propriétaire.


PARTIE II

Livre III : Sanctions diverses
Titre II : Immobilisation, mise en fourrière et retrait de la circulation de certains véhicules
Chapitre 1 : Immobilisations
Article R.344-3
Créé par le décret n° 2007-1626 du 16 novembre 2007 - Articles 10 et 13
L'immobilisation peut être prescrite :
1° Lorsque le conducteur est présumé en état d'ivresse ou sous l'empire d'un état alcoolique ;

2° Lorsque le conducteur n'est pas titulaire du permis exigé pour la conduite du véhicule ;

3° Lorsque le mauvais état du véhicule, son poids, sa charge par essieu, la forme, la nature, l'état et les conditions d'utilisation des bandages, la pression sur le sol, l'absence, la non-conformité et la défectuosité de son équipement réglementaire en ce qui concerne les freins ou l'éclairage, ou son chargement, créent un danger important pour les autres usagers ou constituent une menace pour l'intégrité de la chaussée. Toutefois, peuvent seuls être retenus les dépassements du poids total autorisé ou des charges par essieu prévues par la réglementation en vigueur sur le territoire excédant 5 % ;

4° Lorsque le conducteur ne peut présenter une autorisation pour un transport exceptionnel prévu par la réglementation en vigueur sur le territoire ;

5° Lorsque le véhicule ou son chargement provoque des détériorations à la route ou à ses dépendances ;

6° Lorsque le véhicule circule en infraction aux règlements en vigueur sur le territoire relatifs aux transports de matières dangereuses ou à ceux portant restrictions de circulation ;

7° Lorsque le véhicule circule en infraction aux dispositions en vigueur sur le territoire relatives aux organes moteurs ;

8° Lorsque le conducteur du véhicule est en infraction aux dispositions en vigueur sur le territoire et relatives à l'exécution commode et sans délai de toutes les manœuvres qui lui incombent, notamment lorsque ses possibilités de mouvement, son champ de vision et d'audition sont réduits par le nombre ou la position des passagers, par les objets transportés, par l'apposition d'objets non transparents sur les vitres ;

9° Lorsque le conducteur d'un véhicule de transport circule en infraction à la réglementation territoriale relative à l'autorisation de mise en circulation ;

l0° Lorsque le conducteur d'un véhicule est en infraction à la réglementation territoriale relative aux conditions de travail, dans les transports routiers, ou ne peut présenter les documents dûment renseignés permettant de contrôler le respect de ces règles ;

11° Lorsque le conducteur est en infraction aux dispositions territoriales relatives à l'obligation d'assurance ;

12° Lorsque le conducteur circule sans satisfaire aux règles territoriales relatives à la circulation routière spéciale aux conducteurs de cyclomoteurs et aux motocyclistes, notamment au port du casque ;

13° Lorsque le conducteur circule en infraction aux règles en vigueur sur le territoire relatives aux visites techniques ;

14° Lorsque le conducteur d'un véhicule est en infraction avec les règles en vigueur sur le territoire et relatives à l'arrêt et au stationnement et à l'usage des voies à circulation spécialisée et refuse de faire cesser l'arrêt ou le stationnement irrégulier malgré l'injonction des agents.


PARTIE II

Livre III : Sanctions diverses
Titre II : Immobilisation, mise en fourrière et retrait de la circulation de certains véhicules
Chapitre 1 : Immobilisations
Article R.251
Délibération n° 224 des 9,10 et 11 juin 1965
Délibération n°386 du 7 janvier 1977
Délibération n° 18 du 8 novembre 1989
Délibération n° 55/CP du 28 août 2001
Délibération n° 198 du 22 août 2006
L'immobilisation peut être prescrite :
1°) Lorsque le conducteur est présumé en état d'ivresse ou sous l'empire d'un état alcoolique;

2°) Lorsque le conducteur n'est pas titulaire du permis exigé pour la conduite du véhicule;

3°) Lorsque le mauvais état du véhicule, son poids, sa charge par essieu, la forme, la nature, l'état des bandages, la pression sur le sol, l'absence, la non conformité et la défectuosité de son équipement réglementaire en ce qui concerne les freins ou l'éclairage, ou son chargement créent un danger important pour les autres usagers ou constituent une menace pour l'intégrité de la chaussée ;
Toutefois, peuvent seuls être retenus les dépassements du poids total autorisé ou des charges par essieu excédant 10 pour cent;

4°) Lorsque le conducteur ne peut justifier d'une autorisation pour un transport exceptionnel prévu aux articles R.47 et R.48;

5°) Lorsque le véhicule ou son chargement provoque des détériorations à la route ou à ses dépendances;

6°) Lorsque le véhicule circule en infraction aux règlements relatifs aux barrières de pluie;

7°) Lorsque le véhicule circule en infraction aux dispositions des articles R.62 et R.63 du présent code;

8°) Lorsque le conducteur est en infraction avec les dispositions des articles 6 (1ère partie) et R.4 (2ème partie) du présent code;

9°) Lorsque le conducteur d'un véhicule de transport en commun de personnes ou de transport de matières dangereuses ne peut présenter l'autorisation de circulation du véhicule, en état de validité ;

10°) Lorsque le conducteur d'un véhicule circule à contre-horaire ;

11°) Lorsque le véhicule circule en infraction aux dispositions d'assurance obligatoire ;

12°) Lorsque le véhicule circule en infraction aux dispositions des articles R.107/1 et R.109/1 relatifs aux visites techniques.


PARTIE II

Livre III : Sanctions diverses
Titre II : Immobilisation, mise en fourrière et retrait de la circulation de certains véhicules
Chapitre 2 : Mise en fourrière
Article R.325-25
Etendu avec adaptation par le décret n° 2007-1626 du 16 novembre 2007 - Art. 14
Le gardien de fourrière enregistre, au fur et à mesure de leurs arrivées, les entrées des véhicules mis en fourrière, leurs sorties provisoires et définitives, les décisions de mainlevée de la mise en fourrière et, le cas échéant, les décisions de remise au service compétent de la Nouvelle-Calédonie chargé de son aliénation dans les formes prévues pour les ventes de son mobilier ou à une entreprise de destruction.

Annexe II - Routes express


PARTIE II

Livre I : Conditions de la circulation
Titre I : Dispositions générales relatives à la circulation routière et applicables à tous les usagers de la route
Paragraphe 7 bis : Usage des voies à circulations spécialisées et des routes express
Article R.43/2
Délibération n°185 du 12 avril 1979
Délibération n°188 du 9 juillet 1991
L'accès des voies express est interdit à la circulation :
1°) des piétons

2°) des cavaliers

3°) des cycles, cyclomoteurs et motocyclettes légères

4°) des animaux

5°) des véhicules à traction non mécanique

6°) des véhicules à propulsion mécanique non soumis à immatriculation

7°) des véhicules automobiles ou ensembles de véhicules qui ne seraient pas, par construction, capables d'atteindre en palier une vitesse minimum de 50 kilomètres/heure.

Annexe III - Equipement


PARTIE II

Livre I : Conditions de la circulation
Titre I : Dispositions générales relatives à la circulation routière et applicables à tous les usagers de la route
Paragraphe 14 : Equipement des utilisateurs de véhicules
Article R.50
Délibération n° 224 des 9,10 et 11 juin 1965
Délibération n°221 des 10,11, 12, 17 et 19 juin 1970
Délibération n°386 du 7 janvier 1977
Délibération n°185 du 12 avril 1979
Délibération n°17 du 8 novembre 1989
Délibération n°18 du 8 novembre 1989
Délibération n°295/CP du 11 septembre 1998
Les conducteurs et passagers des véhicules de genres « quadricycles à moteur », « tricycles à moteur », « motocyclettes », « motocyclettes légères » et « cyclomoteurs » tels que définis aux titres IV et V du présent code, sont astreints au port d’un casque homologué et régulièrement attaché.

Toutefois, le port du casque n’est pas exigé lorsqu’il s’agit d’un véhicule muni d’une carrosserie et équipé de ceintures de sécurité. Dans ce cas, le port de la ceinture de sécurité est obligatoire sauf pour les occupants dispensés à l’article R.50/1.
Voir : Arrêté n°70-391/CG du 22 octobre 1970.



POUR LA METROPOLE :

L'HOMOLOGATION : Le casque doit répondre à certaines exigences de sécurité et ces normes varient en fonction des pays. L'Union Européenne
Tout casque vendu à l'intérieur de l'Union Européenne doit porter une étiquette sur laquelle figure la lettre E (pour Europe), puis un numéro correspondant au pays dans lequel a été reçue l'homologation ; deux normes européennes différentes sont autorisées dans notre pays, la 22-04 et la 22-05, la dernière étant plus contraignante ; pour savoir quelle série de tests a subi votre casque, il suffit simplement de se référer à une série de chiffres qui doit figurer à côté de la norme E, et qui commence par 04 (norme 22-04) ou 05 (norme 22-05).

L’apport de la norme 22-05
En supplément des tests déjà prévus par la norme 22-04, la 22-05 prend en compte la protection maxillaire. Un test d'impact est donc réalisé sur la mentonnière pour évaluer la protection de la mâchoire en cas de choc.
La lettre P indique que le casque répond au niveau de protection requis ; dans le cas contraire figure le sigle NP, qui n'empêche toutefois pas le casque d'être homologué.
En France, le casque peut aussi répondre indépendamment aux normes françaises. Dans ce cas, il doit disposer d'une étiquette verte sur laquelle est imprimée : norme NF S 72.305. Tout casque vendu en France doit également posséder quatre bandes réfléchissantes, apposées de chaque côté du casque.
Les codes pays pour l’homologation européenne
Le chiffre apposé après la lettre E indique le pays d'homologation

Annexe IV - Limitations de vitesse par temps de pluie


PARTIE II

Livre I : Conditions de la circulation
Titre I : Dispositions générales relatives à la circulation routière et applicables à tous les usagers de la route
Paragraphe 2 : Vitesse

Article R.12

Délibération n° 224 des 9,10 et 11 juin 1965
Délibération n°221 des 10,11, 12, 17 et 19 juin 1970
Délibération n°386 du 7 janvier 1977


Tout conducteur doit constamment rester maître de sa vitesse et mener avec prudence son véhicule ou ses animaux. Sans préjudice des limitations de vitesse imposées par les règlements et, notamment, de celles qui sont prévues par le présent code ou en application de celui-ci, il doit régler sa vitesse en fonction de l'état de la chaussée, des difficultés de la circulation et des obstacles prévisibles.


Il doit réduire sa vitesse notamment :

- dans la traversée des agglomérations ;

- lorsque la route ne lui apparaît pas libre ;

- lorsque les conditions de visibilité sont insuffisantes ;

- lorsque la visibilité est limitée du fait de l'usage de certains dispositifs d'éclairage et, en particulier des feux de croisement ;

- dans les virages, les descentes rapides, les sections de routes étroites ou encombrées ou bordées d'habitations, et à l'approche du sommet des côtes et des intersections ;

- lors du croisement ou du dépassement d'une troupe de piétons en marche (civils ou militaires) ou d'un convoi à l'arrêt;

- lors du croisement ou du dépassement de véhicules de transport en commun de personnes, ou de véhicules affectés au transport d'enfants et faisant l'objet d'une signalisation spéciale, au moment de la descente et de la montée des voyageurs ;

- lors du croisement ou du dépassement d'animaux de trait, de charge ou de selle, ou de bestiaux ;

- lorsque la voie ne permet pas le croisement ou le dépassement d'animaux de trait, de charge ou de selle, ou de bestiaux, le conducteur est tenu de s'arrêter jusqu'à ce que la situation de la chaussée lui permette de continuer sa route.

Annexe V - Permis progressif :

Ce qui se fait en métropole :


- Permis Sous-catégorie "A restrictif" ou "A progressif" :

L'âge minimum requis pour se présenter à cette catégorie est de 18 ans. Cette catégorie concerne principalement les personnes âgées de moins de 21 ans au moment du passage de l'examen. Il est à noter qu'une personne âgée de plus de 21 ans peut très bien demander à passer la catégorie "A restrictif". Pendant une durée de deux ans le titulaire de cette catégorie de permis ne pourra conduire qu'une motocyclette avec ou sans side-car d'une puissance inférieure ou égale à 25 kilowatts et d'un rapport puissance poids inférieur ou égal à 0.16 kilowatt par kilo. En terme plus clair la puissance de la machine est "limitée à 34 chevaux".
La catégorie "A restrictif" permet de conduire les quads "MTTE" en respectant la puissance indiquée ci-dessus ainsi que les voiturettes "QTM".


- Permis catégorie "A non restrictif" :

L'âge minimum requis pour se présenter à cette catégorie est de 21. ans. La catégorie "A" non restrictif permet de conduire tous les types de motocyclettes jusqu'à 100 chevaux avec ou sans side-car, ainsi que les quads "MTTE" et les voiturettes "QTM".

Salut,
Je vois que le sujet passionne ! y sont où les gars motivés des différents groupes de travail ? Un petit coup de mou ?
Ou on attend que l'un d'entre nous finisse à l'hosto pour se remettre au taf' ... ? :suismalade:

Ben je pense que c'est malheureusement un peu ça...

à vous pour votre belle implication dans ce vaste chantier !!!
Je vais aller voir le JT sur les archives de RFO...

Le FMNC continuera d'aider ANTINEA et la lutte contre l'insécurité au maximum de ses possibilités !!!
Assez de morts et de blessés graves...

Un peu long à charger le JT, bravo le net calédonien !! :(
Excellente prestation de Manu !!!
C'est quand même très représentatif de ce qui se passe...un peu dommage que ce fut si court, pour un thème aussi vaste...
Le reportage sur les connards* qui ont tout saccagé à Canala était tout aussi long si pas plus...pourtant qu'est ce qui est plus important ??? La sécurité de tous les usagers de la route ou 5 ordinateurs par terre ??
Même si ça me gave au plus haut point ce genre de saccage gratuit et complètement débile, je crois que le chantier de la sécurité routière nous concerne tous.

* (et même pas je me modère !!)

Fab a écrit:Un peu long à charger le JT, bravo le net calédonien !! :(
Excellente prestation de Manu !!!
C'est quand même très représentatif de ce qui se passe...un peu dommage que ce fut si court, pour un thème aussi vaste...
Le reportage sur les connards* qui ont tout saccagé à Canala était tout aussi long si pas plus...pourtant qu'est ce qui est plus important ??? La sécurité de tous les usagers de la route ou 5 ordinateurs par terre ??
Même si ça me gave au plus haut point ce genre de saccage gratuit et complètement débile, je crois que le chantier de la sécurité routière nous concerne tous.

* (et même pas je me modère !!)

Moi dans ce que j ai entendu sur RRB hier soir ma un peu chauffer les oreilles , quand manu a parle de brider les bécanes à 106 CV , oui pour limiter la puissance des jeunes conducteurs même si avec 34Cv tu te tues facilement , je dois avoir une dizaine de "souvenirs" métropolitains , mais si vous voulez des bécanes 106 CV , ben retournez en fronce dixit le zoreille que je suis . Deja qu on a pas de circuit pour se faire plaisir alors si on ne peut pas exploiter nos +de 100Cv en accélération jusqu a 110 bien sur .
Le côté économique de la chose , nos bécanes arrivent d'où? Pas de fronce et déjà ca nous coûte un bras alors si en plus on se ramasse une plus value parce que ca doit passer par un représentant métro , merci l'envoler des prix. Oui pour l obligation des équipements de sécurité , oui à des infrastructures en état plutot que de refaires des routes ( genre BDC et val plaisance) alors qu'au col de la pirogue ca se defonce a vitesse grand V .Oui à une formation adaptée et non à des scooters 3 roues 400CM3 sans permis ni formation obligatoire.
Bon courage

Peut-être que le mot bridé a été lâché, mais dans les propositions, on est tous d'accord pour dire qu'un jeune permis peu importe son âge ne dois pas pouvoir accéder à une hyper sport en full.
C'est surtout de ça dont il a été question...

Moi, je ne suis pas pour fixer un âge, mais plutôt 2 ans de permis assuré.
Parce que sinon ça voudrait dire qu'à 26 ans, tu passes le permis et avec 2 heures de circu (apparemment c'est la mode ici), tu peux rouler sur un gex 1000 ou un R1.
Y'a pas un blême là ??
Et nous ne sommes pas pour brider les motos, mais en limiter l'accès.
J'explique : on dresse une liste de motos susceptibles de convenir à des jeunes permis et on leur interdit l'accès aux bolides : CB500, GSE500, ER5, BANDIT 600,...
Y'a quand même moins de risques avec ces bécanes pour un novice, plutôt que de le mettre sur un avion de chasse...

Fab a écrit:Peut-être que le mot bridé a été lâché, mais dans les propositions, on est tous d'accord pour dire qu'un jeune permis peu importe son âge ne dois pas pouvoir accéder à une hyper sport en full.
C'est surtout de ça dont il a été question...

BRAVO, vous avez bien réagi .
Voila le discours que les politiques vont vous sortir car j'ai interpreter ce que la radio a seulement passer de son interview de MANU que je connais au demeurant et qui est un gars tres bien .
Mais je me suis mis d'un oeil plutot d'une oreille extérieure et j ai écouter la radio et le seul mot qui est sorti est bridage 106Cv et le législateur qui aurait écouter cette interview bridée aurait aussi compris que l on veut que les motos soient bridées à 106CV .
Voila juste pour vous dire faites attention aux interviews et à ce qui est dit . Vous avez le droit de demander d'écouter ou de lire avant publication un article vous concernant . Ca évite des embrouilles sur des mots dits dans un paysage quii donne un vrai sens et que si quelqu un enleve ce paysage, ces mots donnent un autre sens .


MAIS +1 pour vos initiatives et je signe quand vous voulez vos futurs courriers et pétitions .

Judicael a écrit:

106 ch maxi ! jusqu'a 25ans ......

Si on passe le permis avant...parce que ca veut dire que j'ai 27 ans donc je peux me prendre une moto de plus de 106 ch avec seulement 3 mois de permis

Pas des taffioles sur le Fofo, en France c'est dur de faire bouger les pouvoirs publiques, par contre je suis sûr que sur le caillou, si on ne lâche pas le morceau, y'a moyen d'avancer.

Un cousin à moi, journaliste: Gérard Languedepute, m'a dit que pendant la conf' y'a eu des petites phrases qui vont bien, genre:
"En Calédonie on passe le permis "Parking", pour finalement conduire des Motos GP sur un terrain de cross !" Ou quelque chose comme ça...